Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
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Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
C’est un mot fort, peuple. Chargé d’émotions et de mythes. Dont celui d’une masse homogène marchant derrière son chef. Parce que, si l’on y regarde bien, le mot peuple n’est jamais invoqué par le peuple lui-même mais par quelques-uns qui parlent en son nom – ou qui l’utilisent pour parler de manière indirecte en leur propre nom.
Qu’il est douloureux, le texte d’Addolorata – Ada Marra. Elle provoque et exclut pour marquer sa différence, soit. En réalité nous savons tous et toutes que la Suisse existe: un territoire historique, une administration et une armée, des institutions, une culture politique, des traités internationaux, et des citoyens et citoyennes.
Le monstre décrit par Mary Shelley, cet être fabriqué de toutes pièces, ressemble un peu à ce que l’on imagine d’un apprenti de Daech. Rempli de bouts de croyances, de théories, aux cultures rapiécées, aux idées disparates tenues ensemble par des coutures de fortunes.
Si les blog TdG se sont enflammés pour la Grèce depuis le référendum, certains blogueurs français ont carrément joui ! Pour témoin ce titre emblématique : « Je suis Grec. » Pour ma part, réflexion faite, je ne suis pas Grec.
Examinons aujourd’hui quelques aspects de la mythologie de la soumission. La maison, ancien royaume de la famille sur lequel la femme avait le pouvoir, est devenue un lieu d’abjection et d’aliénation. Alors que dans l’Histoire et dans la représentation symbolique elle est le lieu d’émergence de la famille, du couple, de la personnalité, de l’individu, du soin, et un haut lieu de civilisation, elle serait devenue une prison comme par magie. On imagine la pauvre femme nettoyant à genoux la cuisine familiale. Et l’on passe sous silence le paysan qui pataugeait dans le purin des vaches et dans la boue.
Soyons encore plus précis que précédemment. Une journaliste féministe affirmait sur son blog que les hommes savent exactement pourquoi ils veulent des femmes «pures» - c’est-à-dire excisées. Elle laisse entendre, selon la stratégie féministe d’accablement des hommes, que l’excision est voulue par eux. C’est faux. Elle est demandée par les femmes.
Depuis quelques décennies on assiste en direct à la naissance d’un mythe. Un mythe aux conséquences ravageuses. Une théorie qui doit être abordée frontalement et demande une nouvelle analyse par rapport à celle, trop systématique et politisée, qu’en avait faite le sociologue Pierre Bourdieu: la supposée domination masculine. L’avenir des relations femmes-hommes, c’est-à-dire la collaboration ou la guerre des sexes, se joue en grande partie sur l’analyse que l’on fait de ce mythe.
On en se rend pas assez compte de l’énormité qui est advenue il y a 2’000 ans. Dans une société décrite comme très patriarcale et supposément esclavagiste des femmes, l’histoire de Jésus est un grand coup de pied dans ce que la modernité dit du passé.
En visitant le blog de l’Acratopège et son récent billet «Images de l’Achilléion», j’ai lu une citation de l’impératrice Sissi postée par Barbie, dont le blog est revenu sur la Tribune depuis quelques temps.
Dans un mémoire de fin d’études sur la pensée symbolique, un étudiant décrit la transition de la pensée religieuse mythologique à la pensée symbolique dans la Grèce des grands philosophes. La pensée religieuse était incarnée dans la mythologie et les dieux qui la peuplaient, racontant l’histoire humaine comme on peut la lire dans diverses cosmogonies: proche de la science-fiction.
Il commence très doucement. A peine audible. On croit n’entendre rien, alors il faut parfois monter le son. Et peu à peu il vient, comme de loin, comme du fond du ciel au-dessus des montagnes, là-bas, là où parfois le ciel rougeoie.
Patrick McGoohan est décédé le 13 janvier. Je ne le connaissais pas avant qu’Azrael m’en parle. Il était le héros d’une série culte des années 60, “Le Prisonnier”. Série que je n’ai pas vue mais que je compte bien découvrir prochainement en DVD.
Le rêve a toujours accompagné les humains. Il peut être une représentation du monde présent ou des origines, comme le mythe. Il donne aussi la force de lever l’espoir dans la vision d’un monde nouveau. Un monde sans rêve est livré à l’intendance entropique ou à la désespérance. Rêvons, rêvons encore, plus que jamais prenons en nous la puissance du rêve.
“C’est pour aujourd’hui...” pensait-il en se réveillant. Non, en fait il n’avait pas dormi. Il repensait à tout ce qu’il allait perdre, à tous ses rêves non réalisés. L’homme qui avait peur sentait monter l’angoisse. Comme un chat s’agrippe désespérément au tronc d’arbre au-dessus de la rivière en furie.