Ils savaient qu’un gros ruisseau de montagne peut se transformer en une déferlante dévastatrice. Alors, comme sur l’image 1 (source VTT à 2), ils construisaient de manière adéquate.
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Ils savaient qu’un gros ruisseau de montagne peut se transformer en une déferlante dévastatrice. Alors, comme sur l’image 1 (source VTT à 2), ils construisaient de manière adéquate.
Avant de livrer la date je souhaite signaler cette étrange et belle lumière qui a baigné Genève ce matin. Sous un stratus peu dense on devinait une couleur beige-rose, presque sombre comme lors d’une éclipse de soleil cinq minutes avant la phase totale, et très diffuse. Elle teintait l’atmosphère autrement que d’habitude. C’était une grosse couche de sable du Sahara au-dessus du Léman. Les voitures en étaient couvertes.
N’importe quelle petite rivière de montagne peut monter de 8 mètres en quelques heures. La phase de réchauffement n’y est pour rien. Elle n’influence pas ni n’aggrave les épisodes méditerranéens.
On ne voit que de l’eau. Est-ce une prairie inondée? Un fleuve? Le bout d’une ville? Je l’ignore. Rien n’indique où la photo a été prise. Une seule chose compte: l’eau. L’eau est partout.
Rebelotte dans le sud de la France. Une semaine après la première vague d’inondations une deuxième assomme encore une fois la région. Quelques habitants désabusés se consolent: tout avait été dévasté la première fois, il n’avaient plus rien à perdre.
Ce nouvel épisode méditerranéen me permet de citer un document officiel que j’ai découvert récemment. Bien que le sud de la France, et particulièrement la Provence, soit réputé peu humide il subit de graves inondations de manière récurrente. Et cela n’a rien à voir avec le réchauffement. Ou si peu.
Nous avons vu qu’en 113 ans et plus les vagues de chaleurs, canicules et sécheresses ne concrétisent pas les effets catastrophiques annoncés depuis la décennie 1980. Pas plus qu’une tendance franche à l’augmentation. J’explore aujourd’hui d’autres marqueurs. Je réserve l’analyse des températures pour la troisième partie.
L’accumulation médiatique d’épisodes météorologiques extrêmes (comme dans l’Aude) donne l’impression d’une augmentation exponentielle et d’un encerclement continu d’événements alarmants. « Nous y sommes » est la petite phrase de 2018. Je rappelle que nous y étions déjà il y a 200 ans, et même 300 ans.
La submersion de villages comme Villegailhenc, Trèbes, Puichéric est-elle due aux restes de l’ouragan Leslie ou à la variation haussière des températures moyennes? D’ordinaire ces noms sont synonymes de rocaille, de paysages intenses et de soleil. Pourtant après cet épisode méditerranéen de type cévenole, c’est la désolation.
Lu dans Le Matin dimanche du 8 juillet cette petite phrase pas innocente mise en chapeau d’un article: « La semaine dernière, le Japon a connu des pluies diluviennes et le Canada une vague de chaleur sans précédent, montrant ainsi le visage du réchauffement climatique. »
Je parlais récemment des risques météo et des inondations. En référence à un article du Matin je mentionnais la climatologue Martine Rebetez, de l’Université de Neuchâtel. Je contestais son affirmation sur le volume grandissant de la pluviosité en Suisse. Elle récidive dans la Tribune de Genève en ligne du 8 juin.
Michel Polnareff a passé quinze mois en studio pour réaliser son nouvel album. Le groupe Queen était à l’époque resté enfermé une semaine, douze heures par jour, rien que pour mettre en boîte la partie des choeurs – 180 voix empilées interprétées à trois – de Bohemian Rapsody. Le Floyd est resté huit mois en studio pour enregistrer The Wall. La location d’un studio peut aller jusqu’à 10’000 euros par jour. Chacun fait au mieux selon ses moyens.
Le Royaume-Uni a connu un cumul record de pluies pendant l’année 2012. Signe que le pays serait déjà soumise aux aléas du réchauffement climatique. C’est ce qu’affirment des climatologues. Il devrait en être de même pour tous les pays situés à cette latitude.
La Thaïlande vit les plus graves inondations depuis 25 ans. On compte des centaines de morts et un tiers du pays est sous un mètre d’eau ou plus. Dans le centre de la capitale, Bangkok, on redoute un mètre cinquante d’eau. Ces inondations durent maintenant depuis trois mois. Comment expliquer cette situation?
L'été 2010 est-il si exceptionnel? Certains le prétendent, mais c'est avoir la mémoire un peu courte. Un article de la Tribune de ce jour met en lien les catastrophes météorologiques de cet été et le réchauffement climatique. Un prof d’université, Dominique Bourg, philosophe et professeur ordinaire à la faculté des géosciences et de l’environnement de l’Université de Lausanne , est catégorique: