Saga du CO2 (2o) : extrêmes météos surestimés (2).
Les catastrophes météorologiques ont-elles augmenté avec le réchauffement? Suite à ma note précédente j’ajoute deux documents allant dans le même sens. Par exemple Roger Pielke Jr.
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Saga du CO2 (2o) : extrêmes météos surestimés (2).
Les catastrophes météorologiques ont-elles augmenté avec le réchauffement? Suite à ma note précédente j’ajoute deux documents allant dans le même sens. Par exemple Roger Pielke Jr.
Saga du CO2 (19) : extrêmes météos surestimés.
Ce rapport de 2020 (mis à jour en 2024) réfute la croyance populaire mais erronée selon laquelle les phénomènes météorologiques extrêmes d’aujourd’hui sont plus fréquents et plus intenses en raison du changement climatique, en examinant l’histoire des événements météorologiques extrêmes au cours du siècle dernier..
Saga du CO2 (18) : des moussons qui ne manquent pas d’eau.
L’actuel déficit en pluies d’une partie de l’Europe est peut-être une conséquence du réchauffement. Mais pas forcément. Les prédictions du Giec laissent place à diverses interprétations.
Saga du CO2 (17) : mais où est passée la pluie ?
Nous les humains on ne se fiche pas de la météo. De plus en plus nous avons besoin de comprendre ses mécanismes extrêmement complexes. Ce n’est pas simple. Pour cela nous recueillons des données qu’ensuite nous analysons et interprétons.
Saga du CO2 (16) : le grand envol du charbon.
Si même Greenpeace est d’accord… L’Allemagne a rouvert tout grand des centrales à charbon, pour remplacer le nucléaire abandonné. Grâce aux Verts, ce pays devient de plus en plus polluant et émetteur de CO2.
Saga du CO2 (16) : mais d’où viennent ces sécheresses ?
La pluie revient après des semaines de pure sécheresse. Proche de 2022 le manque d’eau inquiète. Pourtant l’automne a ramené des nuages sur l’Europe de l’ouest et de bonnes séquences pluvieuses ont bien mouillé la terre en maintes régions.
Vers un ralentissement du réchauffement ?
(Note mise à jour, déjà publiée sur l'ancien portail TdG de ce blog mais non encore incorporé dans ce nouveau portail.)
Bombe cyclonique est un terme récent qui fait peur. Il illustre la rapidité de formation d’une dépression. Ces bombes cycloniques (ou anticycloniques, il y a les deux), sont associées au réchauffement, dit-on. Pourtant elles ne sont pas nouvelles et n’ont rien d’exceptionnel.
L’intensification des ouragans en nombre et puissance était annoncée comme un signal majeur du réchauffement anthropique. Mais est-ce bien la réalité? L’influence humaine est-elle décelable dans l’évolution des ouragans? La presse l’affirme presque quotidiennement. Certains scientifiques sont plus prudents.
En juin dernier la saison des ouragans de l’Atlantique nord était annoncée comme potentiellement très destructrice. Selon le site Ta Météo du mois de juin: « Tous les scénarios des différentes institutions et agences météorologiques prévoient une activité cyclonique supérieure à la moyenne cette année, ce qui en ferait la septième saison cyclonique consécutive très dynamique et intense. »
Je reviens sur la submersion annoncée d’îles et d’atolls à cause du réchauffement. Les océans monteraient de manière dramatique et l’on devrait créer un statut de « déplacé climatique ».
On parle des algues depuis plusieurs années. Certaines sont des aliments précieux. D’autres permettent de fabriquer du carburant décarboné pour voitures et du kérosène pour avions. Wnder Alpine, une société crée par un freestyler, a même modifié la fabrication des skis.
Les médias adorent dramatiser les événements météorologiques. Une tempête historique, disent-ils. Le public en est friand. Est-ce le réchauffement? Cela fait la une. Est-ce la météo habituelle? Idem.
L’un de mes questionnements sur la variation climatique actuelle est: allons-nous vers une planète invivable ou non? Pour tenter de documenter cette question je plonge régulièrement dans les archives et chroniques du passé.
La mondialisation a ceci de bon: en cas de sécheresse prolongée ou de famine quelque part sur Terre, on peut envoyer rapidement des vivres prélevées sur des stocks excédentaires.
La température moyenne à Genève a baissé de près d’un demi degré depuis janvier, comme le montre l’image 1 (clic pour agrandir) extraite du site prévision-meteo.ch. C’est possiblement un effet de La Niña.
Selon le Giec le réchauffement lié au CO2 augmenterait l’intensité des ouragans et ce serait catastrophique. Qu’en dit la météo dans l’océan Indien? Selon ce site Météoi les météorologues de là-bas ont un avis intéressant sur les ouragans. L’océan Indien est une des surfaces à cyclogenèse de la planète. Les îles de Madagascar et celles plus à l’est de la Réunion et Maurice sont sur leur trajectoire habituelle.
Je continue à explorer l’effet du CO2 sur les esprits, avant ultérieurement de l’aborder dans l’atmosphère. Je dois dire que l’on est servis au-delà de toute espérance. Le CO2 fait dire des choses ineptes. Par exemple sur le blog du politicien genevois René Longet.
À Genève et en France on a presque froid. 17,9° à Cointrin le 1er août, qui a été l’un des 4 plus froids depuis environ un siècle, avec 1998, 1973, 1968. Même dans la première moitié du XXe siècle la température maximale n’était jamais descendue sous les 18 degrés à cette date. Et en France le sud-ouest bat à nouveau des records de froid (après ceux du printemps).
Est.ce le réchauffement, donc supposément le CO2? Au Canada le village de Lytton B.C. a été rayé de la carte. Détruit à 90% par le feu: après le record de chaleur de près de 50° il y a quelques jours, des incendies ont éclaté.
La tempête Xynthia de 2010 n’était pas la plus forte connue localement. Historiens et météorologues en conviennent. Mais elle a été présentée comme un effet du réchauffement du climat, selon la logique du CO2.