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La vue des images, la pensée de l’événement, stimulent mes neurones. Mais aussi la formidable organisation qui a permis de tout imaginer et mettre en place, dont des centaines de milliers de collaborateurs directs ou sous-traitants, ainsi que l’état d’esprit qui a prévalu. De la première idée au dernier boulon serré, tout était scruté, transparent et évolutif. Ci-après, quelques extraits d’un article de Marc Tison paru dans lapresse.ca qui expose cela point par point.
Il y en a beaucoup. La mienne est banale à force d’avoir été exposée un peu partout. Elle est l’une des plus célèbres, et ne date pas de la mission Apollo 11 mais d’Apollo 8. Anders, Borman et Lovell étaient en orbite autour de la Lune.
Le 7 décembre 1972 le vaisseau spatial Apollo 17 décolle de Cape Kennedy (ancien nom de Cape Canaveral) au sommet d’une fusée Saturn V. Pour raisons d’économie c’est la dernière mission habitée envoyée sur la Lune. Une mission plus longue que les précédentes puisque les astronautes Gene Cernan et Harrison Schmitt passeront 3 jours sur notre satellite, précisément 75 heures.
Si l’exploration spatiale était une saga de science-fiction la Lune serait déjà une ruche bourdonnante, avec des excavations, des camions, des navettes volant en allers-retours incessants vers la Terre. Dans la vraie vie cela pourrait être moins facile.
Belle surprise concoctée pas le magazine Ciel & Espace de novembre: un numéro pour voir des images de l’univers en 3D. Avec les fameuses lunettes rouges et vertes fournies dans le numéro. Le résultat est saisissant!
Les Pink Floyd avaient à l’époque sorti un album à succès sur ce thème: “The dark side of the moon”. La face cachée est bien sûr celle qu’on ne voit jamais de nos yeux. Car la lune équilibre très précisément sa rotation sur elle-même et autour de la terre. Quelle que soit sa phase, nous voyons toujours la même face.