C’est une forme d’injonction assez à la mode, très positiviste. Trop parfois. On la trouve sous cette forme ou sous d’autres dans la publicité, comme celle de Vaudoise Assurance par exemple.
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C’est une forme d’injonction assez à la mode, très positiviste. Trop parfois. On la trouve sous cette forme ou sous d’autres dans la publicité, comme celle de Vaudoise Assurance par exemple.
Combien de québécoises ont tenté de contraindre un homme à une relation sexuelle au moins une fois dans leur vie? Une étude récente donne un chiffre que peu de gens auraient imaginé.
Les événements du monde nous rappellent qu’il n’y a pas d’organisation humaine sans un pouvoir (volé ou délégué), et pas de pouvoir sans force et contrainte. La contrainte est toujours associée au pouvoir, même de manière douce. Les pouvoirs totalitaires qui émergent au Proche-Orient et en Afrique ne sont pas seuls à user de force et de contrainte: tout pouvoir est contraignant.
On se souvient qu’au printemps dernier le Conseil Constitutionnel français avait abrogé la loi de 2002 sur le harcèlement sexuel. La raison en était le manque de clarté et de définition précise du délit. Le nouveau gouvernement propos un nouveau texte qui d’un côté détaille davantage ce délit mais de l’autre contient à nouveau un flou. Commentaire et réflexions.
Cette abrogation survenue il y a peu a fait parler au-delà des frontières françaises. Des associations féministes se sont élevées contre la décision du Conseil Constitutionnel. Décision qui a pour effet de faire cesser toutes les procédures en cours. Elles ne pourront pas être reprises.
Amina avait 16 ans. Elle avait été violée. La loi de son pays, le Maroc, l’avait obligée à épouser son violeur. Elle ne le voulait pas. Elle s’est suicidée le 9 mars en ingérant de la mort au rat.
Qu’aurais-je fait à sa place? Je me posais cette question en lisant la déclaration d’une des Amazones de Kadhafi. Il s’agit d’une jeune femme de 19 ans citée par le Figaro: «... elle affirme par ailleurs avoir été forcée à exécuter des insurgés prisonniers, onze en tout. «Ils les ont amenés un par un en me disant : tue-le (...), si tu ne le fais pas c'est nous qui te tuerons».
La liberté fait partie des piliers de notre société. Le mot est inscrit dans la devise de la France et figure dans le premier article de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme. Elle semble évidente. Pourtant elle peut être interprétée de différentes manières.