Après une timide avancée le projet de résidence alternée était en panne en France. Un nouveau projet déposé récemment a fait se rebiffer les membres du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes.
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Après une timide avancée le projet de résidence alternée était en panne en France. Un nouveau projet déposé récemment a fait se rebiffer les membres du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes.
Chaque société se donne les règles qu’elle veut et les fait évoluer. Il y a des standards communs, par exemple l’esclavage est aujourd’hui rejeté par la plupart des sociétés. L’auto-détermination et la liberté individuelle sont des règles qui essaiment. Mais le désaccord sur certaines évolution doit rester possible sans anathème.
Les événements du monde nous rappellent qu’il n’y a pas d’organisation humaine sans un pouvoir (volé ou délégué), et pas de pouvoir sans force et contrainte. La contrainte est toujours associée au pouvoir, même de manière douce. Les pouvoirs totalitaires qui émergent au Proche-Orient et en Afrique ne sont pas seuls à user de force et de contrainte: tout pouvoir est contraignant.
Est-ce encore utile de célébrer une journée des droits de l’enfant ce 20 novembre, alors que la politique familiale des sociétés modernes vise à réduire le rôle des parents et de la famille? Je ne parle même pas des familles monoparentales, car la plupart du temps elles n’en sont pas. Ce sont des familles dont les parents sont séparés et dont l’un d’eux a la résidence habituelle des enfants.
Beaucoup de parents préfèrent un bébé de bonne qualité - je veux dire, de manière provocatrice, en bonne santé - à un enfant malade. Il n’y a pas lieu de s’étonner ni d’en être choqué. Quels parents ne désirent pas des enfants sains et porteurs des meilleures conditions? Et qui ne souhaite pas choisir ces conditions, si c’est possible?
Au nord et à l’est du pays, Boko Haram fait couler le sang. Il tue et fait régner la terreur. Il choisit des êtres plus faibles et en groupe pour en tuer le maximum. Les lycées sont parfaits pour faire du nombre. Depuis deux ans on ne compte plus les garçons, lycéens, étudiants, des centaines probablement, qui ont été assassinés sauvagement. Après mon précédent billet j’adresse aujourd’hui une supplique au nom de tous les parents solidaires des familles de ces garçons.
Les pleurs nocturnes des bébés ne seraient pas faits seulement pour demander à manger. Une drôle d’interprétation vient de sortir: les bébés pleureraient pour empêcher leurs parents de faire crac-crac et ainsi retarder la venue d’un petit frère ou d’une petite soeur.
Oh, c’est vite vu: les zoutils n’ont pas de zizi. Et les poussettes, ont-elles une zézette? C’est quoi d’abord une zézette? Ça dépend laquelle. La zézette de Sète, par exemple. Elle n’a pas beaucoup de goût, à ce qu’on dit. Je ne sais pas, je n’ai pas goûté.
L’initiative sur le dé-remboursement de l’avortement a relancé un débat de fond alors qu’elle porte seulement sur une contingence. Signe que la question n’est pas apaisée. L’abondance de billets et commentaires et l’intensité de la controverse le démontrent.
Le Vert Antonio Hodgers propose de faire distribuer la pilule contraceptive aux adolescentes de moins de 20 ans. L’Etat prendrait la dépense en charge. La distribution serait anonyme. La pilule du lendemain et autres méthodes seraient également à disposition.
Le code civil suisse connaît enfin une avancée majeure dans le droit de la famille. L’autorité parentale conjointe sera désormais la règle en cas de divorce d’un couple marié ou d’une séparation pour un couple non marié.
- Va t’occuper dehors, dit la femme à son homme. Moi je fais des choses sérieuses ici.
L’homme franchit le trou de pierre et regarde devant lui la plaine qui s’étend. Le grognement de l’ours retentit. Il prend sa lance et cherche le plantigrade. C’est cela s’occuper dehors. Il a une bonne musculature. S’il meurt ce n’est pas grave. Il y a d’autres hommes pour faire des petits. Le clan survivra.
L’association Père pour toujours a pris position par voie de communiqué sur le projet d’arrêté fédéral sur la famille. L’association des pères soutien cet arrêté. Voici le communiqué:
Fatigué de faire le pied de grue pour voir son fils, un père est monté dessus. Au sommet de la grue, depuis vendredi. Pour crier sa colère et sa peine d’être séparé de son fils. Un autre père est monté sur une deuxième grue samedi matin par solidarité.
Dans le débat précédent sur l’excision un thème a été soulevé par un débatteur. Il s’agit de la dot. En Afrique les parents du fiancé offrent une dot aux parents de la jeune femme. Cette question révèle des interprétations idéologiques et faussées des relations hommes-femmes.
Enceinte, Rachida Dati laissait planer le mystère. Devenue mère elle n’en a pas dit plus. On ne connaissait pas le père de sa fille. Sa discrétion sur cet aspect de sa vie privée était compréhensible du point de vue people. Elle et son compagnon avaient le droit à leur tranquillité.
Pour faire simple être parent se résume à trois fonctions: nourrir, protéger, éduquer les enfants. Trois petits mots qui occupent la vie pendant au moins vingt ans. Pas de quoi en faire un fromage. Trois mots donc, que l’on peut accompagner d’une courte explication. La simplicité d’être parent n’en sera que plus évidente.
Depuis quelques années on entend parler du pays des Flandres par la politique. Une partie des flamands voudrait se séparer de la Wallonie et mettre un terme à l’Etat belge. Ils veulent être indépendants. On se souvient des tracasseries administratives imposées aux francophones dans les communes flamandes de la région bruxelloise. On se souvient aussi des défilés de séparatistes portant haut le drapeau des Flandres, fond or et lion des sables noir.
Je me souviens de ce film, interprété dans le rôle principal par l’admirable Nicole Garcia. Il était tiré d’un livre de Marie Cardinal. Je me souviens de cette longue errance et du chemin fait par cette femme pour arriver d’abord à reconnaître son mal-être sans plus aucune justification.
L'association Pères pour toujours organise chaque mois à Genève un débat public ouvert à tous et toutes, avec un petit brunch. Le prochain est demain soir mardi 3 mai à 18 h 30 sur le thème de l'aliénation parentale en cas de séparation ou de divorce.
Pour contacter l'association, téléphone en bas du billet ou site: www.pptg.ch