On maltraite la Chine pour ces jeux aux pistes blanches collées dans des paysages sans neige. On la boycotte à cause de ses minorités discriminées. Mais si le CIO a accordé ces jeux, il savait cela.
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On maltraite la Chine pour ces jeux aux pistes blanches collées dans des paysages sans neige. On la boycotte à cause de ses minorités discriminées. Mais si le CIO a accordé ces jeux, il savait cela.
La «construction sociale» est le nouveau monstre des temps modernes. Tel un Leviathan ayant traversé les âges pour manger les enfants et contraindre les femmes à plaire, il sévit toujours lors des jeux olympiques et des compétitions sportives. Analyse d’une thèse féministe, publiée dans Le Monde en octobre 2000 sous la plume de Catherine Louveau.
La tribune des JO est régulièrement utilisée à des fins politiques. Rien de neuf à cela. Attaquer les Jeux garantit une forte médiatisation. Ceux de Sotchi seraient les plus décriés de l’Histoire, selon un commentateur de la RTS. Difficile de distinguer le vrai du faux dans tout ce qui a été dit. Beaucoup d’affirmations, peu de vérifications, et des contradictions. Et puis la campagne anti-Sotchi - et peut-être anti-russe - s’inscrit dans une longue suite de politisation des JO. Rafraîchissons-nous la mémoire.
Comment réussir à être au niveau mondial dans un pays où le sport est une affaire de garçons? En s’accrochant. En insistant jusqu’au bout. Un rêve est un rêve. Quand un rêve devient si fort qu’il remplit notre temps et nos pensées alors il peut devenir réalité.
Dans mon court billet d’hier sur l’attribution des Jeux Olympiques de 2016 au Brésil, j’ai proposé la version d’Astrud Gilberto de «Girl of Ipanema».
Ca y est: Rio a obtenu l’organisation des JO de 2016. Braziiil!