Le mot présentiel s’est imposé au fil de la pandémie. Il n’est pas admis par l’Académie. C’est du jargon de bureau qui se veut classieux. Pour le Larousse en ligne il signifie: « Se dit d'un enseignement à suivre sur place et non à distance. »
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le mot présentiel s’est imposé au fil de la pandémie. Il n’est pas admis par l’Académie. C’est du jargon de bureau qui se veut classieux. Pour le Larousse en ligne il signifie: « Se dit d'un enseignement à suivre sur place et non à distance. »
Les électeurs et es électeuses voteront le 13 juin sur la Cité de la Musique dont Genève pourrait se doter. Je ne discute pas ici du projet lui-même mais d’une affiche émanant des milieux opposés au projet, situés en partie dans la gauche Vert-rose.
J’ai trouvé sur le net une illustration parodique bien dans l’air du temps. Et impertinente à souhait. Elle fait malicieusement suite à mon billet sur l’écologiste française qui veut empêcher les enfants de rêver à voler.
J’ai trouvé sur le net une illustration parodique bien dans l’air du temps. Et impertinente à souhait. Elle fait malicieusement suite à mon billet sur l’écologiste française qui veut empêcher les enfants de rêver à voler.
Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
La flamboyante ex-politicienne romande l’avait annoncé au mois de novembre dernier: elle est la nouvelle rédactrice en chef du magazine gratuit Femina. Une feuille de chou comme on en trouve aux caisses des supermarchés français, encartée dans Le Matin chaque dimanche.
Je publie aujourd’hui ce clin d’œil au siècle libertin. Ce mot suggère une forme de liberté des moeurs. Elle en est la forme la plus visible et provocatrice socialement.
Amusons-nous un peu. Je trouve drôle et caricatural à souhait (vidéo en fin d billet). Un comédien et une comédienne présentent la météo sur Canal Plus. Et ils ne font rien comme les autres.
J’ai zappé quelques fois sur cette émission annoncée comme un divertissement « nouvelle génération ». C’est plutôt une sorte de jeu vidéo primitif de bien avant les 64K et les cartes graphiques modernes, et qui reprend ce qui s’est déjà fait ailleurs dans un nouveau décor. Pour ma part, c’est Z comme zéro.
Si vous voulez savoir pourquoi il faudra vous faire vacciner chez votre coiffeur le 24 décembre après 21 heures, prenez le temps de ces 3 minutes.
Rien à voir avec la chanson de feu Johnny « ah que » Hallyday, Noir c’est noir (il n’y a plus d’espoir). Les croque-morts ne sont pas désespérés. Ils sont « chargés », comme le titre le Matin dimanche d’hier. Chargés? Vous avez dit chargés?
Le roman Les Dix petits nègres noirs blacks d’Agatha Christie a montré la voie. Envisageons ensuite la mise en conformité d’autres titres impies. C’est un devoir moral: dans l’actuelle vague submersive de dégagisme culturel, il faut les modifier afin qu’ils deviennent politiquement corrects.
Ce pourrait être la phrase de l’année. Elle fait un tabac. Dans la rue, au supermarkette, à la télé, elle revient en boucle dès qu’une conversation sort de la météo.
Les français adorent mettre la chienlit. Ils se font des polémiques pour des riens, pourvu qu’ils plongent dans l’arène. Ainsi pour ce prof tatoué de la tête aux pieds qui agite l’hexagone.
Le cocovir a provoqué un changement à la vitesse de la lumière : les ploucs anciennement ringardisés par les bobos urbains reviennent sur le devant de la scène. Aujourd’hui Cohn-Bendit est plus ringard que le péquenot du fond de la Creuse. Le coco Vert va devoir se faire à l’odeur.
Voici quelques exemples (en bleu italique) cueillis sur internet. Je ne les relève pas tous, mais ceux-ci m’ont amusé. Je ne cite pas la source pour ne pas surcharger la lecture. Ce n’est d’ailleurs pas important.
Plus besoin de mettre un slip sur sa tête: ils arrivent. Ils sont annoncés pour cette semaine. Les masques de protection sont même déjà disponibles dans certaines officines médicales. Pourquoi maintenant seulement? Et pourquoi ne sont-ils pas disponibles à bas prix dans tous les commerces de détail?
Quelques mots encore sur la volonté de féminiser des noms de rues et des panneaux signalétiques. Je n’ai pas lu de débat public préalable à ces décisions. Or il y a nécessité d’un débat.
Cela ressemble à la guerre, telle que ma mère la racontait. Des rues vides, un couvre-feu, les italiens interdits de sortir de chez eux sous peine d’être amendés ou emprisonnés.
J’ai trouvé cet amusant message sur le net à propos de la place du féminin dans l’écriture dite inclusive. L’autrice fait une proposition délicieusement absurde, histoire d’expliquer l’inclusivité pour les nul(le)s. C’est rafraîchissant.