Montée des océans : des images qui font réfléchir.
En continuant l’exploration de la montée du niveau des océans, je suis tombé sur des documents photographiques. Ils montrent un lieu de bord de mer à environ 100 ans d’intervalle.
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Montée des océans : des images qui font réfléchir.
En continuant l’exploration de la montée du niveau des océans, je suis tombé sur des documents photographiques. Ils montrent un lieu de bord de mer à environ 100 ans d’intervalle.
Enneigement, températures : quelques chiffres intéressants.
Nous sommes si oublieux. Il suffit d’un hiver peu enneigé pour que se déclenche une série de constatations qui vont de: c’était mieux avant, à: c’est le réchauffement, ou mieux: le climat est déréglé.
Une partie de la Grande Barrière a connu une croissance importante ces dernières années, selon une récente étude, alors qu’un grand blanchiment avait eu lieu. On estimait que 98 % des coraux avaient été touchés.
Cela ressemble à la guerre, telle que ma mère la racontait. Des rues vides, un couvre-feu, les italiens interdits de sortir de chez eux sous peine d’être amendés ou emprisonnés.
Le quotidien revient sur les incendies. Dans un article paru le 15 Christian Jacot-Descombes rend compte de deux mois d’observation sur le terrain: quelle était la communication autour des feux?
Dans l’édition papier de la Tribune de Genève de ce jour, la page 15 se trouve à l’intérieur du deuxième cahier. Et la bonne nouvelle, tout en bas à droite. En ligne, une fois sur le site TdG il faut chercher la page Monde, puis un article général sur la nourriture larguée pour les animaux, et dessous, un petit lien bleu: « Australie: le méga-feu est sous contrôle ».
Les feux en Australie et au Portugal ont un élément commun: l’eucalyptus. L’eucalyptus a besoin du du feu pour se reproduire. On le surnomme parfois l’arbre pyromane. Cela se sait. En 2017, lors du terrible incendie, le Portugal étudiait un projet de loi dit « loi de l’eucalyptus ».
Au fil des informations on comprend mieux comment les feux ont pu prendre une telle ampleur cette année. Le facteur humain et la politique environnementale prennent un singulier ascendant sur les autres causes. Petit résumé.
Environ 3 millions d’hectares de forêts ont brûlé depuis septembre en Australie. C’est la taille de la Belgique, soit 0.38 % du territoire. Certains foyers se rejoignent pour former des méga-feux. Ces feux seraient les plus importants jamais enregistrés sur l’île-continent.
Le futur c’est le passé. Par exemple, replanter des arbres pour les génération futures c’est se donner l’objectif de revenir à des périodes bien antérieures à la nôtre. Et pourquoi pas? N’est-ce pas de notre responsabilité de laisser à nos enfants un monde vivable, comme on dit aujourd’hui?
La petite ville néo-zélandaise est plus habituée à trembler sous les séismes que par la main d’un tueur australien. Comment qualifier ce massacre? Des passages de son manifeste indiquent que l’homme est surarmé idéologiquement. C’est un acte de guerre.
En Australie Matilda est un prénom peu fréquent. Pourquoi l’équipe nationale de foot féminin l’a-t-elle pris comme surnom? En mémoire d’une vieille chanson populaire du bush australien, déclinée par de nombreux artistes, Waltzing Matilda. Une chanson du XIXe siècle, aussi importante que l’hymne national.
Je croyais que c’était mal. Que c’était dénoncé comme un non respect. Et qu’on pouvait finir au tribunal pour ça. Eh bien non, c’est drôle. Même en public. Surtout en public peut-être. Une manière de faire le buzz?
L’affaire du bébé refusé par ses parents adoptifs australiens fait des vagues. Sur les réseaux sociaux une quête a été lancée pour opérer le petit garçon, atteint d’une malformation cardiaque dont la nature n’est pas révélée. L’association qui a lancé cette quête a recueilli 140’000 euros. De quoi l’opérer et lui apporter des soins sur une longue période.
Il faut savoir ce que l’on veut. Une petite vie peinard, en bon père de famille, les pieds dans les babouches, le coït étalé dans le temps à raison d’une ou deux fois par semaine. Ou la course intense à l’extase, non stop, furieuse, à se vider les amourettes en deux semaines et en mourir. Le grand flash. Ou le Love Big Bang.
L’île est située dans les quarantièmes rugissants. Des vents d’ouest soutenus, les westerlies, et les courants marins sauvages du détroit de Bass sont connus de tous les navigateurs.
Ah les chanceux! Le nord de l’Australie plongé dans la nuit en plein jour. Deux minutes de bonheur et d’émotion intense. Un expérience totale. Comme en 1999 dans le nord de la France.
Encore un signe de discrimination honteuse. Ici il ne s’agit pas de maladie mais de sexe. Pénétrons sans attendre dans le vif du sujet. On apprend par la presse que Catarina, une brésilienne de 20 ans avec tout ce qu’il faut là où il faut, a mis sa virginité aux enchères sur un site australien spécialisé dans ce genre de transactions.
Eric Stauffer complète sur son blog la question des cellules en conteneurs qu’il propose d’installer en zone aéroportuaire. Il parle de 200 à 300 conteneurs à installer. L'idée étant spectaculaire et audacieuse, il faut voir si elle est réaliste. En particulier au niveau du coût puisque dans une précédente livraison le candidat proposait de renoncer à la politique de la prime au départ au profit de 18 mois de détention administrative. Mais il ne dit rien sur les coûts d’une telle opération. Voyons donc ce qu'il est possible d'estimer.
Ce serait cocasse si la nouvelle n’émanait du très sérieux Bureau Universel du Temps, le Universal Time Office (UTO), organisme affilié à l’ONU. Ce bureau s’occupe des questions de calendrier et de fuseau horaire. Par exemple il a dû récemment donner son accord pour le changement de fuseau horaire des îles Samoa.