Deux petits cailloux extrait de la grande mosaïque du monde. Deux parcelles du monde qui se déroulent presque simultanément. Avec à la clé de petites questions.
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Deux petits cailloux extrait de la grande mosaïque du monde. Deux parcelles du monde qui se déroulent presque simultanément. Avec à la clé de petites questions.
Aujourd’hui, petite légèreté sans importance pour jour d’été. Juste pour le fun, quelques « décryptages » décalés d’expressions françaises courantes ou poétiques.
Ainsi la ministre urbaine en charge de l’aménagement et des constructions a reconnu une erreur d’appréciation. Ses services auraient pu laisser croire aux écoactivistes que leur projet avait reçu l’assentiment de la Ville de Genève.
Les woke n’ont pas encore tout déconstruit. Allons, je leur donne une piste: le conte de Perrault du Chat Botté. Quoi de plus malsain que cette histoire?
Première conséquence: l’acteur a démissionné spontanément de l’Académie des Oscars après avoir réitéré sa grande contrition. L’Académie continue son enquête pour peut-être décider d’une sanction disciplinaire. Qui n’aura plus d’effet puisqu’il n’y est plus.
Cela sent l’écurie. La ligne d’arrivée est en vue. Il faut marquer les derniers mètres de sa griffe, de son odeur. Les gens votent aussi sur une odeur – enfin, sur une impression. Voici les miennes.
Bing! Paf! Boum! Ça c’est dans la tête de Will Smith. Clac! Ça c’est sur la joue de Chris Rock. Une baffe bien amenée et claquante à souhait sur la face de ce plaisantin de mauvais goût – en tous les cas aux yeux de l’acteur.
Parenthèse dans la guerre qui monopolise énormément d’attention, la campagne présidentielle égrène son lot de sorties que chacun juge comme il le veut.
J’ai noté deux affiches amusantes pour les votations du 13 février en Suisse. Il y a celle de la gauche, SolidaritéS et d’autres formations. En passant rapidement un mot m’a paru de consonance basque, langue riche en Z et K.
Le wokisme, maladie sénile du communisme qu’elle essaie de rétablir par la bande en prêchant un égalitarisme forcené, fait pitié autant que peur. Peur pour la fascisation des esprits, le néoracisme, la violence d’exclusion du différent. Pitié pour la bêtise ou la folie qu’il signale.
Les inclusifs excluent beaucoup plus qu’on n’imagine Mots, fêtes, personnes, tout y passe. C’est la purge du monde occidental. Pour « n’offenser » personne nous devrions éviter de citer la fête de Noël, éviter de mentionner le prénom Maria, et nous soumettre à cette novlangue que des politiciens nous vendent comme le sommet du progrès sociétal.
Ciel! Le dictionnaire Petit Robert en ligne a franchi le pas. Il a inscrit le pronom « inklusif » iel dans ses pages. Pour il et elle, ensemble. Ma mère, fervente lectrice, qui possédait le Grand Robert en je ne sais plus combien de volumes, doit se retourner dans sa tombe.
Je rebondis sur une remarque postée sous mon précédent billet pour en faire une illustration humoristique. Il s’agit du travail féminin et de parité. La phrase est celle-ci: « … je ne croirai jamais en la bonne foi des féministes tant qu’elles ne demanderont pas aussi leur part de travail ingrat, dangereux et dévalorisant. »
Femmes et hommes sont égaux devant la loi. Ok. Mais ils ne sont pas semblables. Et les femmes, comme les hommes, continuent à véhiculer des stéréotypes sexués. Et pourquoi pas?
Un nouveau concours va être proposé. Il s’agit d’élire Miss Esthétique France. C’est anecdotique et en même temps révélateur de quelques comportements qu’il m’a semblé intéressant de soulever.
L’équipe norvégienne de Beach handball a refusé, il y a trois jours, de porter le bikini. C’est pourtant la tenue officielle exigée par la Fédération européenne (image 1). Elles ont porté un short (image 2) et ont été sanctionnées par une amende.
Quelques pensées légères, acides, drôles ou sarcastiques pour célébrer le retour du soleil et de la chaleur estivale. Je commence par France. Météo France, précisément. (Clic sur les images pour agrandir).
On n’a pas fini de s’amuser avec les trouvailles des féminiseurs déchaînés. J’en ai entendu une nouvelle hier en zappant sur le meeting d’athlétisme Herculis à Monaco. Jusque là je connaissais « la » mannequin, qui est pourtant un nom masculin et non pas féminin, mais autre chose allait advenir.
Les provocations genrées battent leur plein. On apprend par exemple que l’actrice noire Lashana Lynch interprétera le prochain agent au matricule 007. Elle remplacera Bond, James Bond, parti à la retraite.
Qu’en terme choisis cela est dit. La grossophobie s’étale hors de la bouche de la délicate, la délicieuse, la tendre Valérie. Elle n’a pas encore digéré sa disgrâce. C’est très anecdotique mais bien dans l’air du temps.