Ce festival reçoit chaque année environ 750’000 spectateurs et visiteurs, dont 80’000 payants. Il se tient sur dix jours pendant lesquels danse, musique, costumes identitaires, langue régionale sont mis en valeur.
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Ce festival reçoit chaque année environ 750’000 spectateurs et visiteurs, dont 80’000 payants. Il se tient sur dix jours pendant lesquels danse, musique, costumes identitaires, langue régionale sont mis en valeur.
Le Bråvalla attire 50’000 spectateurs par édition. Il se déroule dans la petite ville de Norrköping au sud de Stockholm. Malgré son succès, ce plus important festival de rock en plein air de Suède sera annulé en 2018.
De notre envoyé spécial sur le front. – Chers auditeurs, la situation est dramatique. Il ne passe pas un jour sans que de nouvelles preuves en images n’apparaissent sur internet. L’épidémie ne connaît pas de fin. Son ampleur est difficile à mesurer mais le phénomène, massif, est constaté sur toute la planète.
On dirait une guerrière grecque d’il y a très longtemps. Ses cuissardes à talon devraient faire de l’effet aux clients dans les tavernes de Sparte. Et ses cuisses longues, sa cuirasse très courte, son visage de madone: elle a beaucoup pour elle.
Quand ce n’est pas une chose, c’en est une autre. Chaque année, voire plus fréquemment, un nouveau thème apparaît. Le harcèlement est sans fin. Entre les attaques de base et celles, secondaires, visant un point de détail du comportement, tout est bon.
Dur dur d’être sortie de nulle part. Une candidate d’En Marche en a fait l’amère expérience lors d’un débat sur France 3 (vidéo ci-dessous). Fabienne Colboc est candidate en Indre-et-Loire. Elle a reçu l’investiture du parti d’Emmanuel Macron.
Tout mène à tout et inversement. Pourvu qu’on ne se pose pas trop de questions. L’Aubainerie, chaîne de magasins de mode au Québec, ne s’en est pas posé. Les Matilda’s non plus.
Le tube Femme libérée avait obtenu son succès sur l’intitulé et le refrain et dans une époque propice aux théories féministes de libération, malgré un texte peu intéressant qui pose les femmes (la femme pour les femmes) en victimes et en petites choses fragiles. Ce paradoxe entre le titre et les couplets n’a à ma connaissance pas été souligné.
Le jeune Emmanuel est-il un pion placé là par une savante planification occulte? L’élection de cet hybride mi-gauche mi-droite cache-t-elle la main invisible et l’intention secrète de quelque groupe déterminé à croquer les français tout crus?
Le plus comique en ce moment c’est François Fillon: il refuse de rendre aux Républicains les millions non utilisés de sa campagne. Il est vrai que désormais il doit payer ses costumes lui-même. Mais sourions aussi de cette France aimée, plongée dans son psychodrame quinquenal.
Fin de campagne. En attendant de voir le jeune Ken Emmanuel organiser sa disco du triomphe sur l’esplanade du Louvre, je livre mon choix définitif. Non, je ne vote pas en France, mais si c’était le cas…
Finalement le jeune Emmanuel Macron a endossé le costume de ses aînés. Fini le printemps et les petits oiseaux, ou le petit Jésus en croix. Le clivage est de retour, le mensonge débité à la hache. La violence verbale et morale marche au turbo.
Un chercheur suisse a réalisé une étude sur les libellules femelles Æschne des joncs. Il a mis en évidence leur stratégie pour se soustraire aux sollicitations des mâles quand elles sont en période de ponte. Une chroniqueuse canadienne du Journal de Montréal s’est saisie de cette étude pour faire une théorie.
Un peu de légèreté mais pas de l’anodin. Cela se passe à Rochefort en Charente-Maritime, pas loin de La Rochelle. Une petite ville charmante de 24’000 habitants. C’est le quotidien Sud-Ouest qui relate le fait divers.
Le peuple de France se préparait à acclamer son nouveau roi. Le trône semblait promis à Ken Macroniño, premier du nom. Sa jeune épouse Barbiebelle en était toute énamourée. Certes il devait compter avec une solide concurrence en la personne de Marina Lepénissova, dite Barbida Maxima.
Pas mécontents de voir bientôt les talons du parti socialiste, les français. Il en a fait assez. De la fétide théorie du genre à l’école, où l’on apprenait que Mehdi mettait du rouge à lèvres, à l’interdiction de proposer une information contradictoire sur l’avortement ou les vaccinations, ils fallait qu’ils dégagent.
L’as des As(selineau) sort de sa posture immobile. Son masque de cire fond. Il vit, respire, s’emporte. Interviewé, le ton monte. Il crie. Puis hésite. Reste bouche bée… avant d’engueuler le journaliste et de déployer ses ailes sur un air de printemps. Que s’est-il passé?
Le candidat du PS prédit que l’élection du jeune Emmanuel provoquera une crise sociale. Celui-ci veut en effet gouverner par ordonnances, un mode de décision qui n’a dans un premier temps pas besoin de passer devant le parlement.
Renaud annonce qu’il votera pour Macron. Il est libre, Renaud, il fait ce qu’il veut. Pour autant, les raisons de son message et de son choix sont-elles transparentes? J’ai un doute. Décryptage.
Ça y est: tel Jules César en son temps Manu a franchi le Rubicon. Il se rallie au jeune Emmanuel. Quelle bouillabaisse! On se souvient qu’il avait d’abord joué à Brutus, le fils parricide, en décembre.