Le déshabillement féminin sur scène est aujourd’hui banalisé. Les princesses du divertissement rivalisent d’imagination dans une sorte de « croisade » commerciale sexuée. Cela fait réagir l’universitaire Germaine Greer, qui publie prochainement un livre sur le viol dont le propos fait déjà polémique.
criminalité
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Germaine Greer à Beyoncé : « L’affichage sexuel fait-il partie du travail ? »
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Quand l’ADN tire le portrait
Jusqu’où ira la science? Il y a quelques années le code génétique fournissait des informations sur la filiation et sur certains troubles de santé. Aujourd’hui il permet de définir des caractéristiques morphologiques. Demain il fournira les éléments d’un portrait robot peut-être détaillé.
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Dépénaliser le cannabis? La France relance le débat
La France est le pays où la législation contre la consommation de cannabis est la plus dure d’Europe. Et aussi celui où la consommation est la plus forte chez les adolescents. Tentez d’y comprendre quelque chose! Cela signifie au moins que la prohibition ne marche pas. Des décennies de guerre policière et judiciaire n’ont pas changé la donne.
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Violence domestique (3): trouble dans les statistiques
Dans le précédent billet sur ce thème, j’abordais la question du tabou qui entoure la violence féminine. Je rappelle que la question n’est pas d’accuser les femmes dans leur ensemble mais de démontrer que les campagnes sur la violence conjugales sont mensongères, biaisées, teintées de misandrie, et in fine que les groupements féministes qui ont depuis des décennies inspiré ce thème ont tout intérêt à ce que rien ne change et à maintenir la population dans le mensonge des chiffres (c’est le volet armé de la guerre faite aux hommes), dans une relecture historique non objective et en évacuant la notion de nature biologique au profit d’une théorie des genres destinée à semer la confusion (volet politique) et la croyance en l’origine essentiellement masculine de la violence (volet idéologique).
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Violence domestique (2): le clip détourné!
Un grand pas vers l’égalité aura été franchi quand on verra sur les écrans un clip comme celui qui figure à la fin de ce billet, détournement du clip scélérat qui passe actuellement en France. L’une des questions que je pose devant l’unilatéralité des campagnes contre la violence domestique est la suivante: pourquoi la violence féminine est-elle généralement évacuée du champ social et culturel?
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Brûler des voitures: un sport français
La nuit du réveillon été calme selon les médias de l’hexagone: Plus de 1‘000 voitures incendiées, contre 1‘147 l’année précédente. Dire que c’est calme montre à quel point cette violence est devenue banale.
Sur l’ensemble de l’année
«Les événements n'ont pas changé de nature et conservent des proportions inquiétantes», commente le directeur départemental de la Sécurité publique d'une grande ville. Selon lui, «les voitures se consument par dizaines de milliers en une année dans l'hexagone. Nul ne saurait se satisfaire de cette situtation unique en Europe, et surtout pas les personnes qui, jeudi, se sont réveillées en découvrant que leur outil de travail était devenu un tas de métal calciné et de plastique fondu.»
Que se passe-t-il dans la tête de ceux qui mettent le feu? Est-ce un rite de passage dans les bandes? Un défoulement facile? Certainement pas une révolte: la révolte peut détruire parfois mais au nom d’une vraie raison, puis elle reconstruit derrière. Là, rien. Pas de revendication, juste démolir ce que de simples citoyens s’achètent au prix souvent de sacrifices.
Alors, non merci. Rien n’est à prendre dans ce genre de délit. Et quand je vois que ce sont de simple citoyens qui conduisent, on peut imaginer à quel point notre société est malade, très malade.PS: Si le sable brûlait en Libye même un peu, les otages pourraient peut-être profiter de prendre la tangeante.
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Jaycee, la recluse de Californie
Encore une affaire d’enlèvement et de séquestration pendant des années. Après l’Autriche, l’Italie, la France, c’est aux Etats-Unis cette fois. Certes ces affaires sont peu nombreuses, voire rares, mais leur nature et leur étalage médiatique les rendent très présentes à notre esprit.