L’actrice italienne, figure emblématique de #MeToo, est à son tour accusée d’agression sexuelle. Sur un jeune acteur et rocker, Jimmy Bennett, qui était mineur à l’époque des faits, et dont elle aurait acheté le silence. Cette affaire tombe mal.
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Affaire Weinstein : Asia Argento, l’accusatrice accusée
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Germaine Greer à Beyoncé : « L’affichage sexuel fait-il partie du travail ? »
Le déshabillement féminin sur scène est aujourd’hui banalisé. Les princesses du divertissement rivalisent d’imagination dans une sorte de « croisade » commerciale sexuée. Cela fait réagir l’universitaire Germaine Greer, qui publie prochainement un livre sur le viol dont le propos fait déjà polémique.
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Katy Perry #itou : bye bye consentement
Ça balance pas mal, à Paris (Texas, USA). Cette fois c’est la chanteuse Katy Perry qui se fait reprendre. Après Weinstein et d’autres, elle voudrait montrer que la sexualité doit être festive et que dans une fête il y a des surprises. Vaya con Dios, Benjamin, te voici (presque) déniaisé!
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« La forme de l’eau » : un film anti-Trump ?
Fallait-il donner l’Oscar du meilleur film à cette peinture cinématographique naïve? La forme de l’eau ne mérite pas l’engouement de la critique ni d’Hollywood. Sauf si on le considère comme un film politique anti-Trump.
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Pro-féministe repenti
Comment s’y retrouver dans les différents féminismes? La Tribune de Genève publie aujourd’hui un document web traitant des courants qui traversent ce mouvement. Deux journalistes signent ce docu: Marianne Grosjean et Cécile Denayrouse (image 2).
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Uma Uma
L’actrice, qui a prêté aux films Kill Bill I et II sa captivante présence et son esthétique léchée, se lâche sur Harvey Weinstein, ainsi que sur le réalisateur Quentin Tarantino. Propos discutables.
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#balancetonporc : plainte en diffamation contre Sandra Muller. Qui s’excusera ?
La journaliste qui avait lancé l’expression et hashtag #balancetonporc, Sandra Muller, est aujourd’hui l’objet d’une plainte pénale pour diffamation. De victime elle devient bourreau. En voulant donner l’exemple elle semble en avoir trop fait.
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Harcèlement ? Des femmes libèrent une autre parole… à contre-courant
Catherine Deneuve, Peggy Sastre, Catherine Millet sont parmi les premières signataires. Des femmes qui refusent l’enfermement victimaire et la chasse à l’homme. J’en reproduis le texte ci-dessous. En fin, un lien permet d’envoyer son nom pour signer.
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Femme, ne parle pas en mon nom (2) : un nouveau pacte
J’en viens maintenant aux deux interventions qui m’ont inspiré la présente réflexion. La première a été publiée sur une page Facebook. On y fait endosser aux hommes dans leur ensemble le double rôle d’agresseurs … et de victimes, eux aussi. Cette deuxième partie commence de manière plus conflictuelle que la première, mais comme vous le verrez c’est nécessaire.
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Femme, ne parle pas en mon nom (1) : l’insistance masculine
Ce billet en deux parties m’est inspiré par deux interventions de femmes à propos de la difficile entente entre les sexes. L’une demandait, sous un précédent billet, à ce que les hommes luttent avec les femmes contre les déviants. L’autre voudrait éduquer les hommes.
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Manifs anti-harcèlement sexuel : le grand flop
Dimanche des manifestations se sont déroulées dans une dizaine de villes en France. Annoncées à grand bruit comme une réponse à l’affaire Weinstein et comme une « libération » de la parole, elles ont été très peu suivies.
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Chambre 130
Qui se souvient de l’acharnement des actrices françaises contre Roman Polanski? Personne. Parce qu’il n’y a pas d’acharnement. Il a au contraire été très largement soutenu. Pas de porc non plus. Normal: son visage tient plutôt du rapace.