De nouveaux feux pourraient avoir été allumés par un 0u des pyromanes. C’est une plaie. Ils sont difficile à repérer puis à arrêter. Toutefois certains sont identifiés après enquête.
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De nouveaux feux pourraient avoir été allumés par un 0u des pyromanes. C’est une plaie. Ils sont difficile à repérer puis à arrêter. Toutefois certains sont identifiés après enquête.
Maintenant on sait que le risque d’incendies de forêt était depuis des années classé au plus haut dans le sud-ouest français. Et quand c’est arrivé les moyens n’étaient pas à la hauteur du risque, la région méditerranéenne semblant davantage protégée que les Landes de l’Atlantique.
Je prends quelques lignes pour surfer sur l’idée que j’écrivais dans mon précédent billet: faire de la Grèce un nouveau paradis en Europe. Les forêts y joueront un rôle majeur. Elle offriront un adoucissement des fortes chaleurs, des espaces de vie confortables, et pourquoi pas des créations extraordinaires.
Au fil des informations on comprend mieux comment les feux ont pu prendre une telle ampleur cette année. Le facteur humain et la politique environnementale prennent un singulier ascendant sur les autres causes. Petit résumé.
Images à l’appui je reviens à l’expression autoroute espagnole que j’utilisais précédemment. Je forme l’hypothèse qu’une revégétalisation des zones arides ou en voie de désertification d’Espagne, soit 31% de sa surface (environ 155’000 km2) peut partiellement contribuer à affaiblir les canicules en Europe.
Dans les forêts sauvages les arbres ont une « vie sociale » intense. Ils s’entraident et s’envoient des messages au moyen de leurs composés organiques volatiles, véhiculés par l’air comme par un wifi, ou au moyen des racines, reliées entre elles par des kilomètres de filaments mycéliens.
Selon Jean-Pierre Chalon, l’impact des nuages sur le bilan radiatif de la Terre est 40 fois supérieur à celui attribué aux variations des teneurs en gaz à effet de serre enregistré au cours de ces dix dernières années.
Dans les années 1960-70, la grande peur était la destruction de la planète par les pluies acides. Le problème a été identifié depuis 1870 mais il a commencé à être vraiment documenté il y a une cinquantaine d’années. Des études montraient une augmentation dramatique de l’acidité par rapport au début du 20e siècle. La fin de la planète était quasiment annoncée pour les 30 années à venir. Les arbres allaient perdre leurs feuilles, les végétaux mourir par manque de nutriments dissous par l’effet de l’acidité du SO2, principal accusé à l’époque.