Vous l’avez peut-être lu ou entendu il y a deux semaines: la première greffe d’un cœur de porc a réussi. C’est un grand pas pour les êtres humains. Un peu moins pour les cochons.
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Vous l’avez peut-être lu ou entendu il y a deux semaines: la première greffe d’un cœur de porc a réussi. C’est un grand pas pour les êtres humains. Un peu moins pour les cochons.
J’en viens maintenant aux deux interventions qui m’ont inspiré la présente réflexion. La première a été publiée sur une page Facebook. On y fait endosser aux hommes dans leur ensemble le double rôle d’agresseurs … et de victimes, eux aussi. Cette deuxième partie commence de manière plus conflictuelle que la première, mais comme vous le verrez c’est nécessaire.
Petites infos incorrectes. Un peu de tout, du meilleur et du pire. Surtout du pire. On aurait tort de s’en priver. Si besoin, cliquer sur les images pour les agrandir.
Dans une interview récente Marine Le Pen explique la ligne que suivront les maires Front National récemment élus. En particulier ils rétabliront les menus à base de porc dans les cantines scolaires où ils ont été supprimés, ou renonceront à proposer des menus de substitution.
Marcela Iacub est une femme d’une grande intelligence. Féministe, elle ne se situe sur aucune ligne préfabriquée. Les mamys de la Feminista comme Clémentine Autain et autres filles plan-plan ne s’y trompent pas, qui culbutent le nouveau livre de madame Iacub dans le lit de l’indignation de circonstance. Retour annoncé au puritanisme.
Pourquoi traiter traiter les hommes de cochons ou les femmes de cochonnes avec un regard d’opprobre tout en retenant sa salive? Cette appellation devrait être une fierté: ne dit-on pas que «tout est bon dans le cochon»?