Mon premier est une drôle de féminisation d’un mot courant. Nous somme à l’hôpital. Il y a des docteurs, des docteures et des doctoresses. Et aussi le médecin.
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Mon premier est une drôle de féminisation d’un mot courant. Nous somme à l’hôpital. Il y a des docteurs, des docteures et des doctoresses. Et aussi le médecin.
Les œufs en chocolat ne sortent pas du cul d’une poule, même brune. Même pas si vous la gavez de cacao. Le cacao étant amer le seul effet sera de passer cette saveur à votre poulet rôti. Pour en atténuer l’amertume nourrissez le poulet pour moitié avec du sucre de canne. Vous aurez un poulet confit au cacao.
Pauvre langue française torturée! Je découvre presque quotidiennement une nouvelle métastase inclusive dans un média. Il y a quelques jours c’était Le Courrier. « Les procès des militant·es climatiques accompagnés de leur défilé d’expert·es… » (image 2).
Stellia s’est faite recaler samedi dernier sur The Voice. C’est le sort de tous les candidats sauf un: le gagnant. Rien de particulier donc. Sauf que Stellia ne digère pas son éviction et s’estime victime d’une injustice. Focus sur un biais générationnel.
J’ai repris et modifié un ancien texte sur l’Afrique, celle que j’ai connue il y a quelques années. C’est une manière de réponse au film Black Panther dont je parlais précédemment.
Quelques commentaires extérieurs sur les amusantes différences femmes-hommes dans Koh Lanta. Ils sont tirés de l’excellent magazine Causeur sous la plume de Nicolas Lévine. Pour le journaliste, ça chiale un max sur les camps.
Je découvre sur le blog Civitas ce que Bernard Pivot a dit de l’écriture inclusive: « C’est du scribouillage, du bricolage, du tripatouillage. On ne peut pas l’utiliser. C’est illisible, donc c’est idiot. »
Il était gentil Hercule. Familier, pas agressif. Il aimait la compagnie. Il n’avait pas peur des humains. Il en avait l’habitude. L’un d’eux, prénommé Alain, l’avait recueilli et sauvé.
Le cinquantième anniversaire du suffrage féminin en Suisse réactive le thème de l’inégalité salariale. Qui serait encore massive: près de 20% de différence au détriment de la classe des femmes. Mais la Confédération manipule les chiffres sous ce titre aguicheur: Inégalités salariales: les femmes ont gagné 19,6% de moins que les hommes en 2016.
Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
Elle est jeune et jolie, Camille Callen. Il faut ça dans son travail d’influenceuse. Car elle vend, ou du moins pousse à l’achat de mode les jeunes filles qui la suivent sur les rézos. Elle fait partie de ces jeunes femmes bien faites qui servent de mannequin pensant.
La flamboyante ex-politicienne romande l’avait annoncé au mois de novembre dernier: elle est la nouvelle rédactrice en chef du magazine gratuit Femina. Une feuille de chou comme on en trouve aux caisses des supermarchés français, encartée dans Le Matin chaque dimanche.
J’ai hésité à publier ce billet dans la rubrique Belle histoire. Mais celle-ci parle de personnes et de leurs actions. Aujourd’hui je mets en valeur non des personnes mais le génie créatif de l’homme.
Je publie aujourd’hui ce clin d’œil au siècle libertin. Ce mot suggère une forme de liberté des moeurs. Elle en est la forme la plus visible et provocatrice socialement.
J’ai zappé quelques fois sur cette émission annoncée comme un divertissement « nouvelle génération ». C’est plutôt une sorte de jeu vidéo primitif de bien avant les 64K et les cartes graphiques modernes, et qui reprend ce qui s’est déjà fait ailleurs dans un nouveau décor. Pour ma part, c’est Z comme zéro.
La sentence attendue est tombée: une lourde condamnation, à la mesure du crime. L’avocat du condamné a indiqué que celui-ci ne fera pas appel.
BFMTV diffusait hier les deux premiers épisodes d’une mini-série de quatre sur l’affaire Daval. La disparition et la mort d’Alexia à Gray-la-Ville (image 2) avaient déclenché une forte onde de choc émotionnelle en France, il y a trois ans.
Le roman Les Dix petits nègres noirs blacks d’Agatha Christie a montré la voie. Envisageons ensuite la mise en conformité d’autres titres impies. C’est un devoir moral: dans l’actuelle vague submersive de dégagisme culturel, il faut les modifier afin qu’ils deviennent politiquement corrects.
Vendredi je zappe sur Koh-Lanta en fin d’émission. Une participante, Alexandra, contente de son résultat individuel dans une épreuve de confort, livre ses sentiments à la caméra. On comprend que cela lui donne confiance en elle.
Ce pourrait être la phrase de l’année. Elle fait un tabac. Dans la rue, au supermarkette, à la télé, elle revient en boucle dès qu’une conversation sort de la météo.