Grâce au réchauffement, et s’il continue, on pourra envisager des plantations tardives plus vers le nord de l’Europe. Ce mois d’octobre 2022 est annoncé comme le plus chaud jamais enregistré depuis environ 150 ans.
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Grâce au réchauffement, et s’il continue, on pourra envisager des plantations tardives plus vers le nord de l’Europe. Ce mois d’octobre 2022 est annoncé comme le plus chaud jamais enregistré depuis environ 150 ans.
En juin dernier la saison des ouragans de l’Atlantique nord était annoncée comme potentiellement très destructrice. Selon le site Ta Météo du mois de juin: « Tous les scénarios des différentes institutions et agences météorologiques prévoient une activité cyclonique supérieure à la moyenne cette année, ce qui en ferait la septième saison cyclonique consécutive très dynamique et intense. »
Aujourd’hui chaque orage local peut faire l’objet d’une couverture médiatique. Il y a 40 ans seuls les très grands événements étaient relatés, en quelques minutes aux infos. Aujourd’hui tout fait ventre et des télés proposent des heures de direct avec les témoignages de ceux « qui n’ont jamais vu ça ».
À Genève il n’y a pas eu trois nuits consécutives à plus de 20°, donc techniquement il n’y a pas eu de canicule malgré les températures élevées diurnes. L’effet îlot de chaleur a cependant pu chauffer davantage certains quartiers, comme on lecteur me l'avait fait remarquer l'an dernier. Aujourd'hui il pleut sur Genève. Derrière ma fenêtre ouverte le clapotis de la pluie est de retour. Ciel gris, petite fraîcheur, la météo de la mi-août prend ses marques habituelles. Le pire est derrière nous. Celui de 1976.
L’urbanisation s’est accélérée au 20ème siècle. En 1900 seuls 10 % de la population habitait dans une ville. En 1950, 30 %, en 2000 50% et en 2025, 62% sont prévus.
Extension Rébellion (XR), mouvement des activistes du grand flip climatique, fait campagne par affiches à Genève. Et dépeint pour 2040 une ville « cauchemardesque » selon Le Temps. Plusieurs thèmes sont déclinés sur les affiches.
Les Français n’ont pas cette chance: une émission télé qui est une éloge de la lenteur (RTS 18h20 environ). La présentatrice jusqu’à janvier dernier était Licia Chery. Elle prenait un malin plaisir à faire durer un suspens sur d’improbables questions de culture générale posées par des téléspectateurs très divers.
Une partie de la presse met à peu près tout ce qui touche à l’environnement sur le compte du réchauffement. Même quand elle sait que ce n’est pas le réchauffement. Exemple.
La température moyenne à Genève a baissé de près d’un demi degré depuis janvier, comme le montre l’image 1 (clic pour agrandir) extraite du site prévision-meteo.ch. C’est possiblement un effet de La Niña.
Selon le Giec le réchauffement lié au CO2 augmenterait l’intensité des ouragans et ce serait catastrophique. Qu’en dit la météo dans l’océan Indien? Selon ce site Météoi les météorologues de là-bas ont un avis intéressant sur les ouragans. L’océan Indien est une des surfaces à cyclogenèse de la planète. Les îles de Madagascar et celles plus à l’est de la Réunion et Maurice sont sur leur trajectoire habituelle.
Je continue à explorer l’effet du CO2 sur les esprits, avant ultérieurement de l’aborder dans l’atmosphère. Je dois dire que l’on est servis au-delà de toute espérance. Le CO2 fait dire des choses ineptes. Par exemple sur le blog du politicien genevois René Longet.
Ce n’est pas moi qui le dis. C’est Le Centre National des Ouragans, le NHC (image 1, clic pour agrandir), à propos de l’Atlantique. Mais d’autres disent le contraire. Météo France propose, toujours pour l’Atlantique et sur la même période, un autre graphique (image 2).
Les pompiers avaient prévenu mais n’ont pas été écoutés. Le Parisien publiait le 25 juillet 2018 un article détaillant la situation des forêts grecques. Les feux, leur ampleur, étaient inévitables. La chaleur prédispose aux feux, mais plus encore la sécheresse. Et surtout la main humaine, ou l’absence de main humaine.
Jour de votations ce dimanche, donc jour majeur de la démocratie suisse. Les résultats tombent. Satisfait ou déçu, chacun construit sa position, raconte sa story, pourquoi il a gagné ou perdu. Les gagnants d’abord, qui sont gonflés d’une légitime satisfaction.
La science aurait réglé la question climatique? Détrompez-vous. Voici un des scientifiques de haut niveau qui conteste les méthodes et les conclusions du GIEC. Il a pourtant été un des conseillers climat de Barak Obama.
Cela a commencé avec l’assèchement du Sahara, qui était vert jusqu’à environ 6’000 ans BP (Before Present). Des rivières y coulaient. Le Lac Tchad était presque une mer intérieure avec 26’000 km2.
Combien en reste-t-il? Les chiffres divergent et l’on ne sait qui croire. Depuis des décennies on nous annonce la fin de l’ours blanc. Il serait décimé par la variation climatique haussière et la fonte estivale partielle de la banquise.
Avant de livrer la date je souhaite signaler cette étrange et belle lumière qui a baigné Genève ce matin. Sous un stratus peu dense on devinait une couleur beige-rose, presque sombre comme lors d’une éclipse de soleil cinq minutes avant la phase totale, et très diffuse. Elle teintait l’atmosphère autrement que d’habitude. C’était une grosse couche de sable du Sahara au-dessus du Léman. Les voitures en étaient couvertes.
Le 16 juin dernier Jean-Dominique Michel (JDM) publiait un texte écrit par un jeune homme de 27 ans. Le titre, Coronacolère, donnait un aperçu du contenu. Je n’ai pas été déçu. Je commente aujourd’hui des extraits ce texte et de sa présentation.
La mesure du réchauffement pose problème. Par exemple, le centre de Paris est surchauffé d’environ 5 degrés à cause de son îlot de chaleur. Les villes deviennent des iles chaudes. Très chaudes. La nuit en été on peut y relever une différence de plusieurs degrés, jusqu’à 10° exceptionnellement, avec les campagnes environnantes. Quelle incidence sur les moyennes globales?