Aujourd’hui je jette l’ancre – et l’encre – de ma rubrique du côté du Massif central. Précisément à 45 kilomètres à l’ouest du Puy-en-Velay, à Saugues, dans une campagne plutôt pauvre.
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Aujourd’hui je jette l’ancre – et l’encre – de ma rubrique du côté du Massif central. Précisément à 45 kilomètres à l’ouest du Puy-en-Velay, à Saugues, dans une campagne plutôt pauvre.
Je prends pour acquise la défaite de Donald Trump. Pour la suite à donner aux plaintes pour fraude, les tribunaux statueront. Y a-t-il eu fraude? Disons qu’en l’état des éléments paraissent troublants. Il est donc normal que le Donald tienne sa position jusqu’au bout, au cas où il aurait raison.
Je regardais des reportages dans la rue après l’annonce de la victoire de Joe Biden. Surprise: une manifestante espérait que le nouveau président lutte contre la pauvreté.
Le 16 juin dernier Jean-Dominique Michel (JDM) publiait un texte écrit par un jeune homme de 27 ans. Le titre, Coronacolère, donnait un aperçu du contenu. Je n’ai pas été déçu. Je commente aujourd’hui des extraits ce texte et de sa présentation.
Je montrais précédemment que la politique de Donald Trump a été favorable aux minorités ethniques. Eh bien pas seulement. La RTS et France 2 diffusaient hier soir 3 novembre une émission sur l’élection américaine, Le choix américain. Chose remarquable: le ton était posé et réfléchi, bien différent de l’hystérie de certains médias ces derniers jours.
J’écris ce billet à quelques heures des résultats de l’élection. Je sais qu’il n’est pas politiquement correct de trouver du bon au Donald. Mais je m’en fiche. Je suis saturé du bruit du monde et je veux me tenir hors du tourbillon. Trump ne me fait pas peur, et je trie dans le personnage et dans son programme.
Le racisme est donc de retour. Mais pas là où on l’attendait, soit d’une droite autoritaire et archaïque. On a oublié l’implication de formations de gauche dans l’esclavagisme. On a oublié, ou voulu oublier. Eh bien cela revient.
L’accusation est récurrente: Donald Trump serait raciste. Pour moi être raciste c’est professer clairement une théorie discriminante à l’égard d’un groupe humain. C’est aussi discriminer délibérément ce groupe dans la vie sociale et professionnelle. C’est enfin agir matériellement contre les intérêts du groupe. (Image 1: Musée de l’Homme).
Le roman Les Dix petits nègres noirs blacks d’Agatha Christie a montré la voie. Envisageons ensuite la mise en conformité d’autres titres impies. C’est un devoir moral: dans l’actuelle vague submersive de dégagisme culturel, il faut les modifier afin qu’ils deviennent politiquement corrects.
Le XXIe siècle sera austère ou ne sera pas. Les écolos nous préparent un grand retrait: moins d’avion, moins de voiture, moins de liberté, entre autres. Ils sont déjà prêts à passer dans l’illégalité pour contraindre la société à suivre leur agenda.
Si le Donald n’est pas réélu, qu’est-ce qu’on va s’ennuyer! Joe Biden, le spectre, serait plus intéressant en star invitée dans un épisode de Walking Dead.
Vendredi je zappe sur Koh-Lanta en fin d’émission. Une participante, Alexandra, contente de son résultat individuel dans une épreuve de confort, livre ses sentiments à la caméra. On comprend que cela lui donne confiance en elle.
Nous avons vu hier que le rôle précis des adolescents qui ont désigné le professeur Paty au tueur devra être clarifié. Notamment sur tout ce qui s’est dit pendant les quelques heures qu’ils ont partagées aux abords du collège avec le terroriste.
Je reviens plus en détail sur leur cas. Au début j’aurais pu voir leur action comme une grosse connerie d’ado, comme on peut tous en faire. Mais ce que rapporte la presse, si cela est bien vrai, change la donne.
Ce sondage est paru il y a moins de deux mois. Il est instructif d’y revenir pour constater la profondeur de la fracture dans la société française et le désordre induit par un multiculturalisme mal pensé.
Les autorités françaises ont perdu autorité sur certains territoires. Le signal d’alarme a été lancé dès 2002, Mais labienpensence et la correctitude du monde politique, avec la collaboration active des médias, avait alors dénoncé l’amalgame islam-islamisme, et l’islamophobie supposée.
Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
Ce pourrait être la phrase de l’année. Elle fait un tabac. Dans la rue, au supermarkette, à la télé, elle revient en boucle dès qu’une conversation sort de la météo.
C’est aussi une histoire d’eau, mais pas l’eau de la rivière. Cela a commencé par un été particulièrement humide. Les sols du département des Alpes-Maritimes étaient saturés.
Ce peuple est sans mémoire. Sourd à ses anciens, il n’a plus comme repère que l’émotion instantanée et le bric-à-brac réchauffé qui compose son indignation et sa compassion. Pourtant la montagne bouge et les torrents emportent des maisons. On le sait depuis la nuit des temps.