Je termine cette série impromptue avec trois catastrophes qui ont marqué l’Histoire de la Provence. C’est un peu long mais nécessaire. Les inondations font régulièrement la une. Nous verrons que le réchauffement n’est pas déterminant.
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Je termine cette série impromptue avec trois catastrophes qui ont marqué l’Histoire de la Provence. C’est un peu long mais nécessaire. Les inondations font régulièrement la une. Nous verrons que le réchauffement n’est pas déterminant.
Avant de livrer la date je souhaite signaler cette étrange et belle lumière qui a baigné Genève ce matin. Sous un stratus peu dense on devinait une couleur beige-rose, presque sombre comme lors d’une éclipse de soleil cinq minutes avant la phase totale, et très diffuse. Elle teintait l’atmosphère autrement que d’habitude. C’était une grosse couche de sable du Sahara au-dessus du Léman. Les voitures en étaient couvertes.
Sacrée fille, la Garonne. Un tempérament de garçonne quand elle dévale les pentes des Pyrénées. Elle est connue pour ses excès. Et cela ne date pas d’hier. Son nom signifie soit La rivière caillouteuse, soit pour les Celtes La rivière de l’Eau (en tant que divinité). La mère des rivières est aussi l’une des plus dangereuse.
Je viens aujourd’hui sur une histoire plus médiatique, moins intimiste que les précédentes. Celle-ci a fait le tour du monde. Une histoire qui a fait rêver et a réuni des scientifiques à la fois très sérieux et délicieusement fous, et des millions de profanes aux yeux grands ouverts.
À plusieurs reprises ce prix fait figure d’essai non transformé. Je rebondis ici sur le commentaire posté sous mon précédent billet, Nobel de la Paix : Trump ou Black Lives Matter ? Le commentateur suggérait que « … ce prix devrait être supprimé car il ne pourra jamais faire consensus ».
Petter Eide, parlementaire populiste-socialiste norvégien, propose le mouvement Black Lives Matter (BLM) au Nobel de la Paix 2021. Il fait partie des privilégiés – élus et ministres, profs d’Uni – qui peuvent proposer une candidature.
Les fashion weeks, grand-messes de la mode mondiale, sont des temps de surenchère dont les médias raffolent. Surenchère dans le ridicule. Ce petit monde fermé représente le front avancé du gloubiboulga occidental.
Elle est jeune et jolie, Camille Callen. Il faut ça dans son travail d’influenceuse. Car elle vend, ou du moins pousse à l’achat de mode les jeunes filles qui la suivent sur les rézos. Elle fait partie de ces jeunes femmes bien faites qui servent de mannequin pensant.
La flamboyante ex-politicienne romande l’avait annoncé au mois de novembre dernier: elle est la nouvelle rédactrice en chef du magazine gratuit Femina. Une feuille de chou comme on en trouve aux caisses des supermarchés français, encartée dans Le Matin chaque dimanche.
J’ai hésité à publier ce billet dans la rubrique Belle histoire. Mais celle-ci parle de personnes et de leurs actions. Aujourd’hui je mets en valeur non des personnes mais le génie créatif de l’homme.
Elle déploie un marketing assassin. Avec sa candeur et sa voix accrocheuse elle alimente sans complexe le mouvement néo-raciste. Et personne ne trouve trop à y redire. D’aucuns ont été condamnés pour des propos moins graves.
Je publie aujourd’hui ce clin d’œil au siècle libertin. Ce mot suggère une forme de liberté des moeurs. Elle en est la forme la plus visible et provocatrice socialement.
Les paysages d’Arabie sont sublimes. J’ai regardé quelques fois le résumé du Dakar sur France 4. Rien que pour les images cela vaut le coup. Les paysages somptueux de dunes à perte de vue, des canyons vertigineux, des roches étranges, et cet ocre décliné en dizaines de nuances: un régal pour les yeux.
Donald Trump l’a fait. Il fallait une personnalité hors normes pour s’en prendre à la Chine. Car l’Empire du Milieu est clairement un rival des États-Unis. Donald Trump a cassé les accords existants et oeuvré pour rééquilibrer la balance commerciale.
Alors que depuis Noël l’Europe grelotte et que des records de froid sont battus en plusieurs régions, la presse a encore pris prétexte de la tempête Bella (et des autres) pour incriminer le réchauffement climatique. À tort, une fois encore.
Le spectacle de l’assaut contre le Capitole est impressionnant. Mais pas plus que la violence extrême et la dévastation de villes par les néo-fascistes rouges vifs (anti-fa et Black Lives Matter) suite au décès de Georges Floyd. La menace fasciste, s’il y en a une, vient aujourd’hui de l’ultra-gauche.
Deux belles histoires en une: je vous invite cette fois dans un univers peu connu, celui des éleveurs d’oiseaux. L’histoire d’Alan, résumée, commence dans son enfance quand il s’occupe avec passion de petits animaux de compagnie.
Amusons-nous un peu. Je trouve drôle et caricatural à souhait (vidéo en fin d billet). Un comédien et une comédienne présentent la météo sur Canal Plus. Et ils ne font rien comme les autres.
Parce qu’il y a des grands nains. Enfin, des nains plus grands que d’autres. Ils n'ont pas tous la même taille. Sinon ça n’a pas de sens de dire p’tits nains. C’est juste gentil. Un nain, c’est petit, ça ne peut pas faire de mal. Alors, p’tit nain c’est une manière gentille de s’adresser aux autres.
Bonne année inclusive aux détériorés, aux restreints, aux étroits, et à tous les offensés du monde moderne. Et il y en a! On a vu précédemment que, pour des universitaires états-uniens, faire un pique-nique est offensant car supposément raciste. À tort, mais peu importe, c’est le progrès, paraît-il.