Retour de commissions. Mes pas rejoignent ceux d’une jeune femme, voisine de barre d’immeuble. « Comment ça va? » « Ça se passe bien, et vous? »
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Retour de commissions. Mes pas rejoignent ceux d’une jeune femme, voisine de barre d’immeuble. « Comment ça va? » « Ça se passe bien, et vous? »
Idole des ménagères humanistes de plus de 50 ans, le neuropsychiatre prophétise de nouveaux lendemains à inventer, après le malheur de la pandémie. Il tient sermon dans une interview accordée le 18 avril à RFI.
Dimanche de Pâques. Je suis installé à l’ombre de grands arbres. Une connaissance passe, à distance respectable. Nous parlons un moment. Il cherche dans la pandémie un signe adressé à l’humanité.
On se souviendra de la fête de Pâques du confinement. Une toute belle météo que l’on goûtera par nos fenêtres et nos balcons. Ça! On a l’air fins à regarder le soleil depuis la pénombre de nos intérieurs.
Cette petite phrase discrète fait mal. Ou mâle. Les tenancières du langage inclusif subissent un camouflet. Je publie ci-dessous l’infographie qui accompagne l’article qui a inspiré mon précédent billet. Ce graphe illustre, en pourcentage, l’exposition des femmes au risque du Covid-19.
On ne sait plus à quel sein saint se vouer. D’abord, un article annonce que les femmes sont plus exposées que les hommes au risque du Covid-19. En cause: leur nombre au front. C’était le 18 mars dans la Tribune de Genève. Olivier Bot ouvrait le feu.
Fin de la brève période hivernale. Pas de record cette semaine. Quelques gelées matinales, une bise supportable, et déjà le thermomètre grimpe l’après-midi. Point de comparaison: à Genève, les derniers coups de froid vifs de fin mars, du 22 au 30, datent des années 1901, 1915, 1962, 1971. Les minima oscillaient alors entre -4° et -6,1°.
Vendredi 27 mars. Les applaudissement sont plus frénétiques ce soir. La trompe est toujours présente, et tout le reste. On ne lâche pas. Les habitants aux fenêtres se répondent en lançant des rythmes. On fait la claque, reprise de près en loin comme une Ola ¡ sonore avant d’être dissoute dans une roulade phonique.
C’est un renversement à 180°. Le ciel est d’azur intense, l’air froid, et des vents d’est soufflent sur toute l’Europe. Après des mois de régime d’ouest les pressions se sont inversées.
Cette pratique s’est installée à la vitesse de l’épidémie. Ce n’est pas encore une tradition, c’est trop récent, mais ça en a le parfum. À tout le moins, on peut déjà parler d’un rituel collectif.
Genève, des habitants à leurs fenêtres applaudissent le personnel soignant dans son ensemble. Comment dire autrement notre gratitude à toutes les personnes engagées pour notre bien?
Quelques mots encore sur la volonté de féminiser des noms de rues et des panneaux signalétiques. Je n’ai pas lu de débat public préalable à ces décisions. Or il y a nécessité d’un débat.
Cela ressemble à la guerre, telle que ma mère la racontait. Des rues vides, un couvre-feu, les italiens interdits de sortir de chez eux sous peine d’être amendés ou emprisonnés.
Pas de panique. Think different. Imaginez une immense autoroute aérienne. Un ruban de vents forts du Québec à l’Oural. C’est le courant jet – le jet stream. Coincé entre le grand froid polaire et les remontées chaudes il file à grande vitesse, trop horizontal pour alterner le froid et le chaud. C’est ce que l’on nomme un flux zonal à courbure dépressionnaire, « donnant un temps venté, assez doux et très humide ».
À Genève le célèbre et très officiel marronnier de la Treille vient d’annoncer le printemps. Sa première feuille est sortie ce dimanche 8 mars. La sortie de cette feuille est suivie depuis 1818. Le graphique sur deux siècles montre deux tendances contradictoires.
De mon correspondant français qui vit sur les côtes de l’Atlantique, cette lettre à la féministe évolutionniste Peggy Sastre. Madame Sastre a publié un des rares articles d’un grand média sur la violence faite aux hommes, sur le site de Marianne. Henri L’Helgoualc’h lui écrit et commente cet article courageux.
J’ai ouvert par hasard mon poste sur W9 hier soir. Un documentaire vous était consacré. J’ai vécu un grand moment de fraîcheur. Je suis pourtant circonspect. Je redoutais des effusions télévisuelles, desquelles je garde une distance.
La grande distribution? Les grandes surfaces? Les grandes marques? Les produits de grande consommation? Les hyper! Les super! C’est bien non? Mais est-ce que tout cela n’est pas un peu trop grand? Comme si tout le monde avait les moyens de tout s’offrir en grand. Comme ça, facilement.
Avec un titre qui fait peur, ce nouvel épisode médiatique nous rappelle combien toute information sur le climat doit faire l’objet d’une contre-enquête. C’est le dernier chapitre en date du roman fleuve de la fin du monde.
Y a-t-il nécessité à nommer de manière spécifique les meurtres commis à l’encontre de femmes dans la sphère domestique? Oui, disent des associations féministes qui demandent l’inscription du terme féminicide dans la loi. Non, ont dit les députés dans leur majorité.