Oups ! La banquise de l’Antarctique yoyote de la touffe.
Cette amusante expression s’applique plus aux personnes qu’aux choses mais le continent blanc le vaut bien. Car il nous surprend: sa banquise fait du yoyo. Je m’explique.
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Oups ! La banquise de l’Antarctique yoyote de la touffe.
Cette amusante expression s’applique plus aux personnes qu’aux choses mais le continent blanc le vaut bien. Car il nous surprend: sa banquise fait du yoyo. Je m’explique.
Pardonnez-moi cet emprunt à Balzac, c’était si tentant. Car la femelle beluga euthanasiée a été baptisée. Post mortem donc, comme chez les Mormons. Par qui et de quel droit? Attendez, ça vient!
Faut-il désespérer de l’Homme sur Terre? Un internaute exprimait ainsi son sentiment sous mon précédent billet. Il faut dire que voir toutes ces rivières de plastique couler indéfiniment sans qu’aucune solution n’apparaisse, c’est lourd dans le cœur.
Encore un mot. Depuis 40 ans on nous annonce des ouragans de plus en plus forts et nombreux à cause du réchauffement des océans. Or aucune preuve de cette théorie n’est apportée par les observations, qui montrent une corrélation non significative.
On annonçait la mort des océans, à cause du réchauffement et de l’acidification. Or les coccolithophores, ces organismes minuscules porteurs d’exo-squelettes en pierre selon leur nom, vont bien. Et prolifèrent.
C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme, chante Renaud. Elle prend aussi la femme parfois. Et la rend ensuite. La rend célèbre. De cette célébrité la femme fait usage. C’est légitime. On ne traverse pas les océans à la rame sans quelques mérites.
J’ai déjà mentionné rapidement le fait que l’océan austral absorbe à nouveau le CO2 atmosphérique. Je reviens sur cette bonne nouvelle. On se souvient du cri d’alarme lancé il y a une dizaine d’année: les océans, puits à carbone, étaient saturés.
En cent ans les techniques de mesure et la médiatisation, et la surenchère publique des événements, ont progressé de manière exponentielle. Rien n’échappe au grossissement phénoménal qui en résulte. Les interprétations qui s’en suivent peuvent relever du même grossissement.
Il y a El Niño, La Niña, et il y a le Blob. El Niño, tout le monde connaît. C’est un transfert des eaux chaudes du Pacifique ouest vers les côtes du Chili et parfois d’Amérique centrale. La Niña c’est l’inverse. Le grand océan balance de l’un à l’autre. Mais le Blob, c’est quoi?
«Le catastrophisme des discours politiques et médiatiques est très loin de la réalité sur le terrain»: Esmeralda Longépée, géographe au CNRS, confirme ici une idée qui commence à être documentée. De son côté Simon Donner, maître de conférences en climatologie à l’Université de Vancouver, partisan pourtant du risque réchauffiste, a étudié de près et à plusieurs reprises les îles basses de la République de Kiribati dans l’océan Pacifique.
On entend cette injonction dans les médias, ou dans la bouche de certains politiciens. Elle est également reprise dans les écoles: sauvons la planète. Les enfants pensent qu’ils font du bien à la Terre parce qu’ils répètent ce que des adultes leur assènent en boucle.
L’annonce de l’entrée en dette de la Terre a fait le tour du monde le 21 août. La planète produit ou régénère moins que ce que nous consommons. Chaque année cette dette commence plus tôt. Comment est-ce possible?
Le grand désert blanc - la banquise - est comme une vache. La naissance d’un iceberg s’appelle un vêlage. Le glacier qui produit l’iceberg est comparé à une bonne mère bovidée, une vache qui met bas son veau. La comparaison s’arrête là car le veau en question n’a qu’une petite tête au-dessus de l’eau et de grandes pattes écartées en dessous.
Additionnons les ressources en charbon, en gaz naturel et en pétrole et multiplions le résultat par deux: cela donne la quantité de réserves évaluées en hydrate de méthane. Plus d’un siècle de ressources énergétiques mondiales gisent ainsi sous les océans. L’hydrate de méthane est peut-être en passe de devenir le nouveau pétrole et surtout d’être d’être exploité sans risque pour l’environnement.
La musique réunit les peuples. Les espèces aussi. Les humains ont inventé des chorales et des soirées musicales avec guitare autour du feu. Mais nous ne sommes pas seuls à reprendre en choeur un thème musical à la mode. Le Matin relate comment naît un tube planétaire. Et cela sous l’eau, et d’ouest en est. Une jolie découverte.
Les facéties de la météo sont souvent surprenantes. On voudrait croire que tout est logique: dans notre hémisphère il fait plus chaud au sud et plus froid au nord. Hé oui mais c’est sans compter sur les masses d’air baladeuses qui ne suivent pas toujours les autoroutes du prévisionisme.
Dieu n’est pas plus valaisan que je ne suis chanoine. Mais c’est en Valais que la célèbre phrase du philosophe Nietzsche a été peinte en grand, sur la montagne: «Dieu est mort». Et c’est dans Le Matin de ce jour en page 19 que le dessinateur humoristique Racalbuto en fait un comic strip dont je m’inspire pour le titre de ce billet.
La pédagogie écologiste est fondée sur le catastrophisme. Des éléments du climats changent depuis quelques décennies, et ils doivent forcément être destructeurs et mettre en danger la vie sur Terre.