Récemment les responsables d’Ecopop se sont défendus devant la presse. Le texte de leur initiative n'est pas raciste. Selon le directeur Andreas Thommen, «Il peut avoir un certain attrait pour les électeurs xénophobes, mais nous n'avons jamais voulu de ces gens».
eugénisme
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Les failles de l’initiative Ecopop
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Bébé trisomique refusé : suite et démenti
L’affaire du bébé refusé par ses parents adoptifs australiens fait des vagues. Sur les réseaux sociaux une quête a été lancée pour opérer le petit garçon, atteint d’une malformation cardiaque dont la nature n’est pas révélée. L’association qui a lancé cette quête a recueilli 140’000 euros. De quoi l’opérer et lui apporter des soins sur une longue période.
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La grande peur de l’eugénisme
A un degré ou à un autre l’eugénisme fait partie de notre monde. La question n’est pas d’être pour ou contre l’eugénisme - qui refuserait l’idée que son enfant puisse naître sans risque de handicap? - mais de distinguer les différents types d’eugénisme, et qui prend la responsabilité de mettre en place une pratique médicale ou hygiénique eugénique.
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Surpopulation: Ecopop et la bête immonde (1)
René Dumont ne disait pas autre chose: la démographie galopante est une bombe qui fera exploser la planète. Il l’a répété pendant des décennies. Il l’a clamé haut et fort en Europe, en Afrique, ou lors de conférences internationales sur l’agriculture. Il a appelé les pays à forte démographie à limiter les naissances. Cet ingénieur agronome, ancien candidat à l’élection présidentielle française en 1974, icône écolo de tous les grands combats des Verts (qui n’étaient pas encore devenus rouges) de son époque, avait donné une assise théorique à un thème fondamental du mouvement écologiste: la limitation de la démographie.
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Un juge italien invoque le «gène du meurtre»
La Cour d’appel de Trieste, dans le nord de l’Italie, a invoqué pour la première fois un lien entre un acte criminel et une prédisposition génétique. Un meurtrier d’origine algérienne a vu ainsi sa peine réduite de 9 à 8 ans de prison. Après une «psychologisation» que je trouve parfois excessive dans les affaires pénales, va-t-on arriver à une «génétisation» des comportements criminels?