Blanche-Neige revient au cinéma, avec une méchante reine comme on en aimerait plus souvent: Julia Robert herself! Les ti nenfants vont être contents: un vrai film avec des effets spéciaux. Oui, oui, mais... Mais ce n'est pas sympa d'avoir encore une fois laissé Blanche-Neige dans l'ignorance des choses de la vie. C'est vrai quoi, elle s'imagine dans un monde merveilleux comme dans les images de Dysney où tout le monde est gentil, loyal, franc, et où vous êtes est appréciée pour votre personnalité autant que pour vos mensurations. (L'un n'empêche pas l'autre, mais ceci est un autre débat).
reine
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Si Blanche-Neige savait...
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Si ce n'est toi-5: il faut choisir
Nous avons vu précédemment que le passé a deux visages. Le premier visage, fait de lois supposées conditionner l’ensemble de la société voire de l’humanité, serait celui d’une femme soumise, taiseuse, molle, éventuellement famélique, yeux baissés, obéissante, dépendante, cloîtrée au poulailler-cuisine à pondre ses bébés, en face de laquelle se dresse l’homme grand, puissant, fort, décideur de tout, contrôlant, dur, tyrannique, ne considérant la femme au mieux que comme une servante, au pire comme une esclave. Quelle est la part de névrose dans cette image?
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La fourmi n’est pas l’avenir de l’Homme
Le monde des fourmis est épatant. Quelle superbe organisation. Tout est en place. Chacun son rôle, une armée efficace, des travailleuses infatigables, par de sexualité sauf pour la reine donc pas de problème de fesses. Pas de couple, pas de psychologue pour expliquer la bonne éducation ou la gestion de crise. Pas non plus d’individu rebelle qui viendrait mettre à mal la structure organisée de la société fourmilière.
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DOGMA 6: la force de la femme
Qui a dit que les femmes sont de “faibles femmes”? L’histoire montre bien souvent le contraire.