C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
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C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
Disney vous a menti deux fois. Premièrement la Princesse n’est pas embrassée dans son long sommeil. Le film d’animation présente une scène modifiée par rapport au conte, sans doute pour embellir la story et faire pleurnicher dans les chaumières.
Les provocations genrées battent leur plein. On apprend par exemple que l’actrice noire Lashana Lynch interprétera le prochain agent au matricule 007. Elle remplacera Bond, James Bond, parti à la retraite.
Qu’en terme choisis cela est dit. La grossophobie s’étale hors de la bouche de la délicate, la délicieuse, la tendre Valérie. Elle n’a pas encore digéré sa disgrâce. C’est très anecdotique mais bien dans l’air du temps.
Aujourd’hui encore la majorité des gens ne croient pas à la réalité des hommes battus. C’est impossible à leurs yeux. Il n’y en a que pour les femmes: attention, médiatisation, financements pharamineux, culture victimaire valorisante, et rien pour les hommes. C’est presque gênant d’en parler.
Arte diffusait hier Coming Out. Ce documentaire réalisé par Denis Parrot est constitué de séquences vidéos reprises d’internet où des filles et des garçons annoncent leur homosexualité.
La tempête Xynthia de 2010 n’était pas la plus forte connue localement. Historiens et météorologues en conviennent. Mais elle a été présentée comme un effet du réchauffement du climat, selon la logique du CO2.
On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.
Jour de votations ce dimanche, donc jour majeur de la démocratie suisse. Les résultats tombent. Satisfait ou déçu, chacun construit sa position, raconte sa story, pourquoi il a gagné ou perdu. Les gagnants d’abord, qui sont gonflés d’une légitime satisfaction.
On se souvient que la politique migratoire de Trump avait été très attaquée par les démocrates et les humanistes d’occasion. Le Donald avait été traité de manière infamante.
L’appel est clair, entre supplique et ordre. Le ton est plus modéré que celui de Donald Trump mais l’objectif est le même: tarir l’immigration illégale de masse venant du sud. C’est aussi la ligne de Joe Biden.
Qu’aurais-je fait à sa place? Mon envie, comme ça, serait de mettre un pain en pleine figure de celui qui m’a giflé. Mais ça ne se fait pas, surtout pour un président. D’ailleurs la sécurité ne m’en aurait pas laissé le temps.
La culture de l’exclusion contamine les universitaires aux USA. Le scénario est rodé. Cette fois c’est à l’Université de Georgetown, un quartier de Washington. Précédemment c’était à l’Université d’Evergreen.
Le cas de Lisa Keogh dont je parlais il y a deux jours n’est pas unique. Aux USA et au Canada de plus en plus de professeurs et d’étudiants sont ostracisés et parfois poussés au départ sous la pression des « progressistes ».
Mon correspondant breton Henri L’Helgoualc’h s’est penché sur Blanche-Neige – enfin, plutôt sur Rokhaya Diallo, cette néo-raciste française proche des Indigènes de la République. Cette dame s’en prend à l’héroïne du conte. Henri répond, avec un argument que je n’attendais pas.
Mon premier est une drôle de féminisation d’un mot courant. Nous somme à l’hôpital. Il y a des docteurs, des docteures et des doctoresses. Et aussi le médecin.