Le gouvernement du Sri Lanka a lancé en mars 2021 une campagne de suppression des engrais chimiques et des pesticides dans l’agriculture de l’île. Le but: être le premier pays au monde à ne produire plus que du bio.
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Le gouvernement du Sri Lanka a lancé en mars 2021 une campagne de suppression des engrais chimiques et des pesticides dans l’agriculture de l’île. Le but: être le premier pays au monde à ne produire plus que du bio.
Drôle de moi de mai. Quand elle souffle la petite brise délicieuse maintient un 24° confortable et l’on se dirait en juin. Mais on se croit en juillet, quand la masse d’air apporte au hasard des vents une humidité épaisse.
Avec 12,9° jeudi le record de froid n’a pas été battu. Mais c’était plus un temps de début avril. Et ensuite un fort coup de bise. Et dès lundi, redoux, Ainsi va la météo.
La nouvelle est importante. Des chercheurs américains ont conçu une super-enzyme capable de dégrader très rapidement les plastics, en particulier le PET.
Ah ça, c’est fort de café. Voilà que ce gaz honni à cause de la fracturation hydraulique, dont la simple prospection est même interdite en France, le voilà qui va sauver l’Europe de sa dépendance à l’ours russe.
Je reviens sur la submersion annoncée d’îles et d’atolls à cause du réchauffement. Les océans monteraient de manière dramatique et l’on devrait créer un statut de « déplacé climatique ».
À Genève ce début avril est le plus froid depuis 103 ans, je parle des températures maximales. Cela devrait encore être le cas demain. On ne va pas pour autant transférer la ville dans la Drôme au nom d'un statut de déplacé climatique. Il sera temps d'émigrer en Afrique lors de la prochaine ère glaciaire.
Les Français n’ont pas cette chance: une émission télé qui est une éloge de la lenteur (RTS 18h20 environ). La présentatrice jusqu’à janvier dernier était Licia Chery. Elle prenait un malin plaisir à faire durer un suspens sur d’improbables questions de culture générale posées par des téléspectateurs très divers.
On parle des algues depuis plusieurs années. Certaines sont des aliments précieux. D’autres permettent de fabriquer du carburant décarboné pour voitures et du kérosène pour avions. Wnder Alpine, une société crée par un freestyler, a même modifié la fabrication des skis.
Mike Horn a jeté un froid récemment. Il a critiqué ouvertement Greta Thunberg. À son inaction il oppose son projet. «Pangaea X, sorte de concours et d’appel à projets pour favoriser des initiatives de protection les océans. »
Une partie de la presse met à peu près tout ce qui touche à l’environnement sur le compte du réchauffement. Même quand elle sait que ce n’est pas le réchauffement. Exemple.
Les médias adorent dramatiser les événements météorologiques. Une tempête historique, disent-ils. Le public en est friand. Est-ce le réchauffement? Cela fait la une. Est-ce la météo habituelle? Idem.
En Antarctique la disparition attendue du glacier Thwaites, appelé aussi « glacier de l’Apocalypse », relance l’alarmisme climatique. Sa fonte ferait monter les océans de 2,5 mètres. Mais il n’y a pas le feu au lac, si j’ose dire.
Miracle entre guillemets car il n’y a pas eu d’intervention surnaturelle. Le miracle c’est la volonté politique et sa mise en application par des milliers de mains, de pelles, de femmes et d’hommes.
Je rebondis sur le dernier billet de Philippe Meyer. Il tient le blog PremiAirClasse sur le traffic aérien. Dans ce billet il s’exprime sur notre irréductible besoin de voyager.
Le parti écologiste de gauche Les Verts reflue dans les intentions de vote. Après sa forte progression en 2019 il recule aujourd’hui de 1,5%.
La Commission européenne souhaite que l’énergie d’origine nucléaire soit incluse dans le développement durable et profite d’un label vert qui facilitera son implantation dans les pays de l’Union.
Début décembre différentes agences météorologiques annonçaient un anticyclone et un temps sec au moins jusqu’à la première semaine de janvier. Ce n’est pas le cas et la pluie revient en force, en même temps que le redoux de Noël.
L’un de mes questionnements sur la variation climatique actuelle est: allons-nous vers une planète invivable ou non? Pour tenter de documenter cette question je plonge régulièrement dans les archives et chroniques du passé.
La mondialisation a ceci de bon: en cas de sécheresse prolongée ou de famine quelque part sur Terre, on peut envoyer rapidement des vivres prélevées sur des stocks excédentaires.