La croisade pour « sauver le climat » est un bien étrange objet. La pression émotionnelle sur l’urgence annoncée réduit l’espace de l’analyse. Pourtant il y a de quoi être étonné.
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La croisade pour « sauver le climat » est un bien étrange objet. La pression émotionnelle sur l’urgence annoncée réduit l’espace de l’analyse. Pourtant il y a de quoi être étonné.
Le Larousse peine à trouver une définition simple et claire de la nation. Ce dico trouve qu’il est « … possible de la rattacher à des données objectives : un territoire, un État, une langue ; mais elle dépasse aussi ces dernières. »
Il faudra peut-être créer des espaces réservés aux hommes. Et des émissions radio et télé cryptées rien que pour eux. Et des salles de retrouvailles entre mecs où ils puissent se déstresser et être solidaires quand ils sont agressés.
Le débat devrait être univoque. Décidons une fois pour toutes que seuls les tenants du progrès ont droit de parole et de vote. Les autres n’étant que des obstacles au sens de l’Histoire.
J’aime beaucoup Goldman, sa musique, son univers sonore et certains de ses textes. Alors j’ai écouté sa dernière production et regardé le clip. Et j’ai été, disons, surpris. Cette chanson en forme d’hymne, «Toute la vie», destinée aux Enfoirés, ne fait pas l’unanimité.
L’écologie est fondamentalement conservatrice. Son discours depuis quarante années est rempli de mots et expressions comme: conserver le patrimoine naturel, préserver les ressources, rétablir l’équilibre antérieur, sauver la planète contre la surconsommation. L’Homme est perçu idéalement comme un gardien de la nature, pas un exploitant. Ou alors un exploitant sage et mesuré, ne cherchant à satisfaire que des besoins fondamentaux.
Le mouvement continue: la ministre responsable de l’immigration du Québec, Diane de Courcy, membre du parti québecois (souverainiste), a déposé cette semaine un projet de loi reformulant les conditions de l’immigration dans la province.
On sait que monsieur Mélenchon ne fait pas dans la dentelle. Ses broderies verbales s’apparentent davantage à un discours de soudard prussien en goguette qu’au langage des précieuses du 17e siècle. A côté de lui Nicolas Sarkozy et son «Casse-toi...» est un gentil chaton.