Températures : le record d’avril 1904 est tombé.
120 ans! 120 ans que ce record tenait: le 15 avril 1904 on mesurait 27.5° à Genève-Cointrin. Et il y a deux jours: 28.1°. À Genève l’ancien record a donc rendu l’âme (image 2 infoclimat).
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Températures : le record d’avril 1904 est tombé.
120 ans! 120 ans que ce record tenait: le 15 avril 1904 on mesurait 27.5° à Genève-Cointrin. Et il y a deux jours: 28.1°. À Genève l’ancien record a donc rendu l’âme (image 2 infoclimat).
Étrangeté : certains villes et régions ne se réchauffent pas
Une intéressante recherche portée au public dans cet article relève que de nombreuses villes et régions ne connaissent pas de réchauffement. L’analyse est réalisée sur la base des données officielles du Goddard Institute (de la Nasa). L’article en mentionne les liens.
Météo d’octobre 2023 : mais d’où viennent ces chaleurs ?
Entendez-vous ces clameurs: « Ce n’est pas normal, il fait trop chaud en octobre! Le temps est détraqué! » Ce n’est pas qu’en 2023, on l’entendait déjà bien avant quand j’étais gamin. (Cette note est inhabituellement longue, la couper en épisodes ne me semblait pas propice).
Questions et réflexions autour des températures.
J’ai beaucoup de questions. En voici quelques-unes. D’où vient la chaleur dont le ciel nous gratifie? Septembre est souvent ensoleillé et doux, mais là c’est plus que doux. Quoiqu’à Genève une légère bise de basse altitude se glisse sous le vent chaud du sud et maintient le thermomètre en zone confortable.
Quelques idées simples que m’inspire le passage du chaud au frais dès demain, de 31° à moins de 20° en quelques heures. Nous sommes encore dans la bande de variation saisonnière chaud-froid. Toute l’Europe peut étouffer un jour et grelotter le lendemain.
Avec 12,9° jeudi le record de froid n’a pas été battu. Mais c’était plus un temps de début avril. Et ensuite un fort coup de bise. Et dès lundi, redoux, Ainsi va la météo.
Suite à mon précédent billet j’attendais des données de différentes sources. Résultat: le record de T° du 23 février 1903 n’est pas annoncé battu. Cependant les relevés indiqués par différents sites sont contradictoires. Les différences sont importantes. Je ne les explique pas.
Le 31 octobre 2018 le magazine Nature publiait un article alarmiste sur le réchauffement des océans. Il serait beaucoup plus rapide qu’on ne le pensait. Nature est une référence. Les articles sont supervisés et validés par des pairs. Les auteurs de l’étude sont des scientifiques de réputation mondiale.
Genève jouit actuellement d’une délicieuse météo de Salon de l’auto. Avec trois semaines d’avance. Mais à 12 ou 13 degrés nous sommes encore loin des records mesurés au XXe siècle.
Ce n’est pas une blague: la phase de réchauffement que nous connaissons a commencé il y a au moins 330 ans. Toutefois l’analyse plus fine du graphique présenté hier montre que ce réchauffement se produit par paliers, avec une alternance de poussées fortes, de plateaux, et de courtes séquences de baisse.
Ce janvier est le plus froid depuis 30 ans, annonce la Tribune de Genève. Il change des hivers relativement doux que nous connaissons majoritairement depuis deux décennies, qui contribuent fortement au réchauffement général des températures.
Canicule? Fraîcheur? Que sera l’été? MétéoSuisse a son idée. Et là, miracle ou scoop, on apprend qu’Einstein n’avait pas encore tout découvert de la relativité. La Tribune de Genève fait le point et relaie MétéoSuisse, sous la plume de Jean-François Mabut.
Mars voudrait nous rappeler l’hiver. Le ciel est repassé en flux de nord-ouest, après de longs mois en dominante sud-ouest. N’empêche: la Terre a pris un coup de chaud. On comprend mieux en voyant les images.
J’ai déjà présenté ce site magnifique qui propose une vue des vents de surface partout sur Terre. L’animation des vents est précise est très belle. L’imagerie en mouvement est rafraîchie toutes les 3 heures et l’on peut quasiment parler de temps réel.
Dix-sept degrés à Limoges, treize à Bruxelles, dix-sept à Postdam, seize à Ljubljana, dix-sept à Kiev, et ainsi jusqu’au nord: onze à Kilsbergen, treize à Oslo: on dirait que la dernière semaine de juillet fait le contrepoids de la petite semaine de canicule du début du mois.
Cette fois l’information ne vient pas du décompte des taches solaires, mais d’un phénomène plus profond. Une équipe d’astronomes anglais de la Royal Astronomical Society (RAS) a mis en évidence et modélisé la double dynamo de notre étoile.