La température moyenne à Genève a baissé de près d’un demi degré depuis janvier, comme le montre l’image 1 (clic pour agrandir) extraite du site prévision-meteo.ch. C’est possiblement un effet de La Niña.
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La température moyenne à Genève a baissé de près d’un demi degré depuis janvier, comme le montre l’image 1 (clic pour agrandir) extraite du site prévision-meteo.ch. C’est possiblement un effet de La Niña.
On le sait, la présence humaine aggrave les conséquences des extrêmes météorologiques. Dans de nombreux cas la part anthropique de ces désastres est indiscutable. Un article publié dans cairn.info fait le point à partir d’études de terrain.
Selon le Giec le réchauffement lié au CO2 augmenterait l’intensité des ouragans et ce serait catastrophique. Qu’en dit la météo dans l’océan Indien? Selon ce site Météoi les météorologues de là-bas ont un avis intéressant sur les ouragans. L’océan Indien est une des surfaces à cyclogenèse de la planète. Les îles de Madagascar et celles plus à l’est de la Réunion et Maurice sont sur leur trajectoire habituelle.
On aurait dit une semaine du blanc. Lundi le vent blanc a soufflé sur Genève. Ce vent d’ouest descend du Jura en longue et larges rafales caressantes. Il dessine des courbes souples dans les arbres. Il est très agréable et doux.
L’adaptation au réchauffement pourrait modifier nos paysages. Bientôt finies les grandes étendues blondes de juillet que rien ne semble limiter? Il ne serait plus étonnant de voir pousser les céréales non plus en plein soleil mais sous la protection d’allées d’arbres.
Le boomer, on le sait, est cet individu né pendant le baby-boom entre 1945 et 1964. Sa génération ne comprendrait rien aux débats contemporains, elle est enfermée dans des préjugés datés et elle a ruiné la planète. Rien que ça.
Je continue à explorer l’effet du CO2 sur les esprits, avant ultérieurement de l’aborder dans l’atmosphère. Je dois dire que l’on est servis au-delà de toute espérance. Le CO2 fait dire des choses ineptes. Par exemple sur le blog du politicien genevois René Longet.
Ce n’est pas moi qui le dis. C’est Le Centre National des Ouragans, le NHC (image 1, clic pour agrandir), à propos de l’Atlantique. Mais d’autres disent le contraire. Météo France propose, toujours pour l’Atlantique et sur la même période, un autre graphique (image 2).
NYC: « C’est du jamais vu, c’est historique. » « C’est le réchauffement climatique », tac, tic, tac, égrènent les infos qui diffusent les propos des autorités new-yorkaises sur les inondations.
Grâce à un commentaire reçu hier, j’ai découvert l’importance d’un fait pouvant expliquer en partie l’incendie dramatique du Var. C’est la présence du loup dans les montagnes et les forêts des Maures et du Var, où le feu s’est déroulé comme un serpent.
La France est plutôt un bon élève dans la protection de ses forêts. C’est ce que j’écrivais il y a quelques temps. Les feux récents, amples et violents, contredisent-ils cette assertion?
Je prends quelques lignes pour surfer sur l’idée que j’écrivais dans mon précédent billet: faire de la Grèce un nouveau paradis en Europe. Les forêts y joueront un rôle majeur. Elle offriront un adoucissement des fortes chaleurs, des espaces de vie confortables, et pourquoi pas des créations extraordinaires.
Les pompiers avaient prévenu mais n’ont pas été écoutés. Le Parisien publiait le 25 juillet 2018 un article détaillant la situation des forêts grecques. Les feux, leur ampleur, étaient inévitables. La chaleur prédispose aux feux, mais plus encore la sécheresse. Et surtout la main humaine, ou l’absence de main humaine.
Que le réchauffement rende la nature plus sensible au feu est normal. Que l’on ne fasse rien pour protéger les forêts est un problème. C’est apparemment le cas en Grèce.
Alors que la France est plutôt bon élève dans la gestion de ses forêts à risque, d’autres pays semblent n’avoir pas encore pris la mesure de l’importance de les protéger. Résultat: le sud de l’Europe brûle. Le sud, ou presque.
Pendant que l’Europe de l’ouest s’offre une météo digne de Woodstock, le sud-est et l’Asie mineure concentrent toute la chaleur du continent. Les grands incendies actuels confirment cette accumulation de chaleur.
À Genève et en France on a presque froid. 17,9° à Cointrin le 1er août, qui a été l’un des 4 plus froids depuis environ un siècle, avec 1998, 1973, 1968. Même dans la première moitié du XXe siècle la température maximale n’était jamais descendue sous les 18 degrés à cette date. Et en France le sud-ouest bat à nouveau des records de froid (après ceux du printemps).
Je ne doute pas de l’idéologie alarmiste par principe. Mais je refuse l’angoisse et le matraquage apocalyptique. Alors je cherche des continuités dans l’histoire des événements météorologiques extrêmes, et j’en trouve, et j’ai des raisons sérieuses de questionner les conclusions apocalyptiques.
Débit du Rhin en 2021: 4’000 m3/s. Et en 1926: 12’000 m3/s. La crue d’il y a 95 ans était trois fois plus intense que celle d’aujourd’hui. Mais on n’avait pas d’images télé montrant avec insistance les détresses et les pertes subies par la population.
J'ai entendu sur BFMTV que c’était le réchauffement. Je ne le crois pas. Dans mon enfance j’entendais déjà parler d’immenses inondations. Mais cela ne prouve rien. Alors lisons, c’est écrit.