Il est largement admis que la période de l’an 900 à 1300 environ était au moins aussi chaude qu’aujourd’hui. Jusqu’à 2° de plus qu’au XXe siècle. Des recherches récentes attribuent ce refroidissement à des volcans.
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Il est largement admis que la période de l’an 900 à 1300 environ était au moins aussi chaude qu’aujourd’hui. Jusqu’à 2° de plus qu’au XXe siècle. Des recherches récentes attribuent ce refroidissement à des volcans.
Sa fraîcheur persistante a fait de cet avril 21 un mois plus froid que la moyenne. Selon MétéoSuisse sur son blog bien fait, il accuse un déficit de 1° sur la moyenne 1981-2010. Mais il y a eu de nombreuses journées avec des déficits allant jusqu’à - 5°.
Ça chauffe, ça cuit même sous le crâne de certains élus écologistes. Et ça rugit à gros bouillons avant de lâcher des bulles de vapeur brûlante sur la civilisation.
Il a proposé et mis en place l’expérience CLOUD au CERN (image 3). Cette expérience étudie l’importance du rayonnement cosmique galactique sur le climat. Il en est le porte-parole officiel.
Nouveau DélirÉco avec Jacques Dubochet. Est-il un extrémiste? Une caricature du Muppet Show? Ou a-t-il renoncé à la raison? Ses propos sur le CO2 et les voitures devraient marquer l’Histoire de la bêtise. Plus irresponsable et démago tu meurs.
Cela a commencé avec l’assèchement du Sahara, qui était vert jusqu’à environ 6’000 ans BP (Before Present). Des rivières y coulaient. Le Lac Tchad était presque une mer intérieure avec 26’000 km2.
Je n’éteindrai pas d’appareil ou de lumière pendant une heure samedi soir. Je n’adhère pas à l’idée d’un acte symbolique pour économiser de l’électricité.
Les océans vont-ils monter brutalement? Que se passe-t-il en Antarctique? Récemment un iceberg géant s’est encore détaché de sa base glaciaire. Il est est grand comme l’agglomération de Paris: 1’270 km2. De quoi impressionner.
Faut-il désespérer de l’Homme sur Terre? Un internaute exprimait ainsi son sentiment sous mon précédent billet. Il faut dire que voir toutes ces rivières de plastique couler indéfiniment sans qu’aucune solution n’apparaisse, c’est lourd dans le cœur.
Images saisissantes de la prolifération de déchets en plastique. Il y a une rivière dessous. On ne la voit plus, ou presque. On la devine. Et l’on se demande comment une telle pollution peut continuer.
Combien en reste-t-il? Les chiffres divergent et l’on ne sait qui croire. Depuis des décennies on nous annonce la fin de l’ours blanc. Il serait décimé par la variation climatique haussière et la fonte estivale partielle de la banquise.
L’homme est une tête. Il étudie la neige et les avalanches depuis 35 ans et a inventé un modèle de prédiction. Il observe l’état et l’évolution du couvert neigeux au-dessus de 1’500 mètres. Cet homme de terrain s’étonne.
La Suède n’est pas le seul pays à subir les aléas de l’énergie éolienne (voir précédent billet). Le Texas a dû procéder à des coupures de courant. Plus d’un million de personnes sont chez elles sans électricité alors qu’une vague de froid historique frappe l’État. En Europe la douceur revient sur l’ouest pendant que la vague de froid se déplace vers la Turquie (image 2 Windy, clic pour agrandir).
Les très basses températures en Scandinavie jettent un froid sur les énergies non carburées. La Suède remplace ses centrales nucléaires et à charbon par des éoliennes. Mais en hiver, le froid est souvent signe d’anticyclone et de vent plat.
Deux siècles ont suffi pour chambouler l’emprise urbaine sur les sols. En comparant la carte de Draguignan au XIXe siècle et une image aérienne récente, on comprend que les crues ne peuvent être que de plus en plus dévastatrices et coûteuses.
Ils savaient qu’un gros ruisseau de montagne peut se transformer en une déferlante dévastatrice. Alors, comme sur l’image 1 (source VTT à 2), ils construisaient de manière adéquate.
Je termine cette série impromptue avec trois catastrophes qui ont marqué l’Histoire de la Provence. C’est un peu long mais nécessaire. Les inondations font régulièrement la une. Nous verrons que le réchauffement n’est pas déterminant.
Avant de livrer la date je souhaite signaler cette étrange et belle lumière qui a baigné Genève ce matin. Sous un stratus peu dense on devinait une couleur beige-rose, presque sombre comme lors d’une éclipse de soleil cinq minutes avant la phase totale, et très diffuse. Elle teintait l’atmosphère autrement que d’habitude. C’était une grosse couche de sable du Sahara au-dessus du Léman. Les voitures en étaient couvertes.
Alors que depuis Noël l’Europe grelotte et que des records de froid sont battus en plusieurs régions, la presse a encore pris prétexte de la tempête Bella (et des autres) pour incriminer le réchauffement climatique. À tort, une fois encore.
C’est une bonne nouvelle et un exemple de résilience. Ravagée par l’ouragan Irma en 2017, l’île de Saint-Martin semblait agonisante. Avec 95% des habitations détruites ou endommagées et une perte importante de la biodiversité marine, les plus sombres pronostics étaient avancés.