C’est une histoire naturelle. Celle de la forêt, encore. Deux mois après les feux dans le département, feux parmi les plus ravageurs depuis un siècle, les premiers signes du renouveau sont là.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
C’est une histoire naturelle. Celle de la forêt, encore. Deux mois après les feux dans le département, feux parmi les plus ravageurs depuis un siècle, les premiers signes du renouveau sont là.
L’intensification des ouragans en nombre et puissance était annoncée comme un signal majeur du réchauffement anthropique. Mais est-ce bien la réalité? L’influence humaine est-elle décelable dans l’évolution des ouragans? La presse l’affirme presque quotidiennement. Certains scientifiques sont plus prudents.
En juin dernier la saison des ouragans de l’Atlantique nord était annoncée comme potentiellement très destructrice. Selon le site Ta Météo du mois de juin: « Tous les scénarios des différentes institutions et agences météorologiques prévoient une activité cyclonique supérieure à la moyenne cette année, ce qui en ferait la septième saison cyclonique consécutive très dynamique et intense. »
La recherche ne chôme pas. Comme celle de nouveaux matériaux, plus propices à nous adapter au nouveau paradigme environnemental et climatique.
Il y a trois choses quasi-quotidiennes en France: la violence teigneuse, les refus d’obtempérer qui se terminent dans le sang, et les polémiques incertaines. En voici une.
Cela se dit dans différents médias. En particulier à cause de la répétition des épisodes depuis quatre ans. Celle de 2022 est qualifiée d’historique. Mais ce qui est présenté comme exceptionnel l’est-il vraiment?
Les événements météorologiques de cette année 2022 se superposent à un fond de réchauffement de l’atmosphère. Ils font désormais partie de la dramaturgie de notre époque. Est-ce une « annus horribilis » et marque-t-elle une rupture dans le fil du climat?
Pardonnez-moi cet emprunt à Balzac, c’était si tentant. Car la femelle beluga euthanasiée a été baptisée. Post mortem donc, comme chez les Mormons. Par qui et de quel droit? Attendez, ça vient!
Le président Macron est donc allé soutenir les pompiers sur le terrain. Il a promis un grand chantier de replantation. Tiendra-t-il sa promesse?
Après les incendies en Gironde Emmanuel Macron promet un « chantier national » pour les forêts française. Il me fait penser à Sarkozy qui promettait une nouvelle loi à chaque actualité un peu chaude.
À Genève il n’y a pas eu trois nuits consécutives à plus de 20°, donc techniquement il n’y a pas eu de canicule malgré les températures élevées diurnes. L’effet îlot de chaleur a cependant pu chauffer davantage certains quartiers, comme on lecteur me l'avait fait remarquer l'an dernier. Aujourd'hui il pleut sur Genève. Derrière ma fenêtre ouverte le clapotis de la pluie est de retour. Ciel gris, petite fraîcheur, la météo de la mi-août prend ses marques habituelles. Le pire est derrière nous. Celui de 1976.
Reçu une critique de mon précédent billet sur un autre site, où il est en attente de validation. Je la trouve intéressante et la reproduis et commente ci-après.
Parce qu’elle est amputée chaque année de surfaces importantes. La forêt maintient l’humidité, la biodiversité, et produit de l’oxygène. On ne peut penser le monde sans forêts.
Deux petits cailloux extrait de la grande mosaïque du monde. Deux parcelles du monde qui se déroulent presque simultanément. Avec à la clé de petites questions.
Une partie de la Grande Barrière a connu une croissance importante ces dernières années, selon une récente étude, alors qu’un grand blanchiment avait eu lieu. On estimait que 98 % des coraux avaient été touchés.
De nouveaux feux pourraient avoir été allumés par un 0u des pyromanes. C’est une plaie. Ils sont difficile à repérer puis à arrêter. Toutefois certains sont identifiés après enquête.
Maintenant on sait que le risque d’incendies de forêt était depuis des années classé au plus haut dans le sud-ouest français. Et quand c’est arrivé les moyens n’étaient pas à la hauteur du risque, la région méditerranéenne semblant davantage protégée que les Landes de l’Atlantique.
Victime: la forêt millénaire de la Teste-de-Buch. Elle est morte. Un règlement vieux de cinq siècles l’a terrassée. Indirectement, en tous les cas. Car c’est une forêt usagère.
L’urbanisation s’est accélérée au 20ème siècle. En 1900 seuls 10 % de la population habitait dans une ville. En 1950, 30 %, en 2000 50% et en 2025, 62% sont prévus.
Bientôt une semaine que les feux ravagent la forêt des Landes. Chaleur et sécheresse ont rendu la végétation particulièrement inflammable. Après six jours les pompiers n’ont toujours pas fixé le feu.