Comment parler de cette femme d’exception, cette icône? Elle représente ensemble, pour moi, l’extrême exposition et l’extrême discrétion.
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Comment parler de cette femme d’exception, cette icône? Elle représente ensemble, pour moi, l’extrême exposition et l’extrême discrétion.
Cela se dit dans différents médias. En particulier à cause de la répétition des épisodes depuis quatre ans. Celle de 2022 est qualifiée d’historique. Mais ce qui est présenté comme exceptionnel l’est-il vraiment?
Les événements météorologiques de cette année 2022 se superposent à un fond de réchauffement de l’atmosphère. Ils font désormais partie de la dramaturgie de notre époque. Est-ce une « annus horribilis » et marque-t-elle une rupture dans le fil du climat?
Depuis le temps qu’on le martèle sur tous les médias, vous commenciez peut-être à y croire? Certaines femmes ont-elles développé de bonne foi un complexe victimaire sur la base de ce mythe? Je reviens plus en détail sur ce sujet chaud.
Je suis surpris par la levée de boucliers contre ce projet d’aménagement des retraites bientôt soumis au vote. J’entends en particulier des femmes qui se revendiquent féministes et font une bronca d’enfer aux accents populistes non dissimulés, simplificateurs et générateurs d’amalgames improbables.
Alors que d’autres concerts ont été récemment annulés pour raison « d’appropriation culturelle », le Matin Dimanche publie une interview d’un sociologue, Henri-Michel Yéré, sur ce thème polémique.
Lamya Essemlali, directrice de Sea Shepherd France, s’était emballée pour Lys. Mais Lys, le beluga euthanasié, n’a peut-être rien fait d’extraordinaire susceptible de nous aider à mieux comprendre les océans, comme elle le suggérait en icônisant l’animal marin.
La première ministre finlandaise a reçu une volée de bois vert parce qu’une vidéo la montrait faisant la fête au mois d’août. Et comme elle est jeune (36 ans) elle a été soupçonnée d’avoir consommé de la drogue.
Les autorités françaises et les associations affiliées ont décidé de foncer dans l’idéologie dégenrée. Il n’y a plus d’autre genre que celui que l’on décide subjectivement. Au placard la biologie! Aux oubliettes les millions d’années de l’évolution.
Pas sûr que les gens d’armes devenus des cibles entonnent encore ce refrain. Le plus souvent les policiers sont attaqués dans les rues, lors de patrouilles par exemple. Récemment c’est une unité entière, un commissariat, qui a été la cible. C’était pendant la nuit, il y plus d’une semaine, à Vitry-sur-Seine.
Aujourd’hui chaque orage local peut faire l’objet d’une couverture médiatique. Il y a 40 ans seuls les très grands événements étaient relatés, en quelques minutes aux infos. Aujourd’hui tout fait ventre et des télés proposent des heures de direct avec les témoignages de ceux « qui n’ont jamais vu ça ».
En Suisse le canton de Vaud est à son tour contaminé par l’écriture dite inklusive. Raaahhh... C’est une tache. N’y cherchez pas d’intelligence ou de fluidité de l’expression, le PolitBüro l’a décidé et c’est tout. Les élus craignant d’être traités de machinphobe suivent sans se poser de questions.
Pardonnez-moi cet emprunt à Balzac, c’était si tentant. Car la femelle beluga euthanasiée a été baptisée. Post mortem donc, comme chez les Mormons. Par qui et de quel droit? Attendez, ça vient!
Le président Macron est donc allé soutenir les pompiers sur le terrain. Il a promis un grand chantier de replantation. Tiendra-t-il sa promesse?
Après les incendies en Gironde Emmanuel Macron promet un « chantier national » pour les forêts française. Il me fait penser à Sarkozy qui promettait une nouvelle loi à chaque actualité un peu chaude.
À Genève il n’y a pas eu trois nuits consécutives à plus de 20°, donc techniquement il n’y a pas eu de canicule malgré les températures élevées diurnes. L’effet îlot de chaleur a cependant pu chauffer davantage certains quartiers, comme on lecteur me l'avait fait remarquer l'an dernier. Aujourd'hui il pleut sur Genève. Derrière ma fenêtre ouverte le clapotis de la pluie est de retour. Ciel gris, petite fraîcheur, la météo de la mi-août prend ses marques habituelles. Le pire est derrière nous. Celui de 1976.
Reçu une critique de mon précédent billet sur un autre site, où il est en attente de validation. Je la trouve intéressante et la reproduis et commente ci-après.
Il est arrivé au bon moment, dans le creux estival de l’information. Très rapidement les caméras se sont braquées sur lui. On se demandait: « Que vient-il faire ici? »
Parce qu’elle est amputée chaque année de surfaces importantes. La forêt maintient l’humidité, la biodiversité, et produit de l’oxygène. On ne peut penser le monde sans forêts.
Deux petits cailloux extrait de la grande mosaïque du monde. Deux parcelles du monde qui se déroulent presque simultanément. Avec à la clé de petites questions.