Ça chauffe, ça cuit même sous le crâne de certains élus écologistes. Et ça rugit à gros bouillons avant de lâcher des bulles de vapeur brûlante sur la civilisation.
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Ça chauffe, ça cuit même sous le crâne de certains élus écologistes. Et ça rugit à gros bouillons avant de lâcher des bulles de vapeur brûlante sur la civilisation.
Nouveau buzz chez les voisins: un député écolo aurait commis des actes extrêmement graves de harcèlement sur des collègues. Venant d’un homme de gauche, alors que celle-ci a fait son crédo du puritanisme moral, ça la fout mal.
C’est en tous cas la demande d’un nombre grandissant d’élus et de représentants de la gauche française. Hier la gauche du parti socialiste a ajouté sa voix dans ce concert de demandes. Au nom des statuts du PS, art. 5.3.1:
«… le candidat à la présidence de la République est désigné au travers de primaires citoyennes ouvertes à l’ensemble des citoyens. »
J’ai traversé Genève en voiture à quelques reprises ces derniers mois. Mon impression est qu’il est pire d’y circuler sous l’ère Barthassat que sous l’ère Künzler. Les ondes vertes en particulier sont aléatoires, voire inexistantes. Les feux clignotants oranges mis en place à certains carrefours la nuit ne modifient pas la donne.
La saga Eva Joly continue. On devrait lui décerner la palme de l’originalité, voire du plus bel enlisement de la campagne présidentielle 2012. Son déficit d’image est tel qu’elle sort une autobiographie pour tenter de le combler: «Sans tricher», édition Les Arènes.
Ça y est! Enfin l’esprit est venu souffler sur la campagne présidentielle française. Il était temps. Les propositions destinées à alléger la vie des français ne fusent guère. Tous les candidats parlent de politique, encore de politique, comme si c’était la préoccupation majeure de la population.
Faut-il qu’elle ait le cuir épais pour supporter les missiles de campagne. Faut-il qu’elle ait un gosier bien large pour avaler autant de couleuvres! Le dernier missile contre elle est tiré par l’écrivain et journaliste Patrick Besson. Sur une page dans le magazine Le Point, il raille l’accent de la candidate des Verts.
Depuis trois semaines le chaman rêve. Il ne dort pas vraiment: il est en transe et voyage autour de la Terre. Cela a commencé par un soubresaut dans son corps. Il marchait dans la forêt, attentif à chaque son et à tout mouvement autour de lui. Il suivait un sentier le long d’un ruisseau presque sec.
Le coup de pub du parti Socialiste français est réussi. On parle d’eux depuis une semaine et les primaires font la une. Bien joué. Ils ont placé deux références: une de procédure, celle des primaires. L’autre quantitative. C’est au chiffre d’hier que seront jaugée, pour longtemps, les prochaines primaires de gauche ou de droite.
Non, le phtalate n’est pas un euphorisant. C’est un plastifiant. Précisément un adjuvant qui permet d’assouplir les plastiques de certains objets. Y compris les sex toys. Mais pourquoi donc les assouplir? Ne remplacent-ils pas majoritairement l’attribut masculin? Et ne préfère-t-on pas que cette chose-là soit dure?
Quelques images fortes dans les affiches de campagne. De la castagne, de la vulgarité, de la douceur. Une palette d’émotions. Chaque parti ou groupe d’intérêt a son langage. Je propose une nouvelle fois une analyse visuelle et textuelle de la forme, de la manière de communiquer, sans prendre parti sur le fond, sur le contenu des positions. Ce qui ne m’empêche pas de dire ce mon avis sur le message véhiculé. Ce n'est qu'un point de vue, appuyé sur les éléments mis en images des affiches. J'aime tenter de décoder les images au-delà de ce qu'elles veulent nous montrer.