Cette fois ça y est. Un record vieux de 94 ans est tombé à Genève. 39,7° ont été enregistrés à l’aéroport de Cointrin. Après une semaine de canicule la masse d’air venue d’Afrique a atteint son maximum pour notre ville.
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Cette fois ça y est. Un record vieux de 94 ans est tombé à Genève. 39,7° ont été enregistrés à l’aéroport de Cointrin. Après une semaine de canicule la masse d’air venue d’Afrique a atteint son maximum pour notre ville.
Il s’agit bien d’une controverse. Il n’y a aucune certitude absolue sur les causes du réchauffement actuel, aucune possibilité de prédire l’avenir à long terme, et aucune réflexion des responsables politiques ( GIEC compris ) sur l’opportunité positive d’une modification du climat.
Vue d’en haut cette vague semble relativement limitée en taille. Il s’agit plutôt d’une sorte de bulle, ou d’un cône inversé qui s’étend vers le nord. Cette bulle est limitée assez précisément à l’Espagne et à la presque totalité de la France.
Une grosse chaleur est annoncée pour cette semaine. Episode caniculaire extrême et précoce. Normalement les canicules surviennent vers la fin du mois. Mais le ciel fait parfois le grand écart.
Qui l’eut crû? Une étude parue ce jour et publiée dans The Lancet révèle que l’on meurt davantage par temps froid que par temps chaud. C’est le Dr Antonio Gasparrini de la London School of Hygiene and Tropical Medicine, qui l’affirme.
En septembre déjà, l’agence météorologique américaine, la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), annonçait les températures moyennes les plus chaudes jamais relevées sur la planète depuis 1880 pour un mois d’août. J’avais alors fait remarquer que les moyennes «mondiales» de la NOAA ne s’appliquaient pas... au monde entier. L’Europe de l’ouest a connu un été assez humide et frais, le plus frais depuis une quarantaine d’années pour un mois d’août.
La vague de chaleur actuelle a des antécédents. Les fortes températures estivales, de juin à septembre, sont régulières. On trouve ainsi un rythme de plus ou moins 30 ans où l’on constate un épisode de très forte chaleur accompagné le plus souvent de sécheresse.
Cabrel pourrait bien chanter «Tournez les ventilos» ces prochains jours. Ça va chauffer. Les vaches d’Auvergne vont transpirer. Ça chauffe déjà pour Christian Varone, dont la présumée pierre turque est montrée depuis hier sur tous les médias de Suisse et de Turquie mais qui n’arrive pas à la reconnaître. Ça a chauffé pour les Pussy Riots envoyées en camp de vacances en Sibérie.
Ce matin un banc de brume septembruaire était posé sur Annemasse. Le soleil montant lui faisait des tuyaux d’orgue avec ses rayons, ou des pieds de travers, en éventail. L’air était presque frais.
Allez y comprendre quelque chose. Ça monte ou ça descend? Les deux. Et c’est même prévu pour descendre fort. Ça devrait nous tomber dessus.
Badaboum! Patatrac! Crac boum aïe!
Qu’elles sont belles, ces robes légères qui habillent les rues dans la chaleur pesante des canicules.
Qu’elles sont belles, les femmes qui portent ces robes légères!
Tout le monde ne peut pas s’appeler Sally. Comment saurait-on à qui on parle? On crierait de loin: «Hé! Sally!» Et tout le monde dans la rue se retournerait et dirait: «Oui?»
Nul ne connaît non plus son destin. Pas même Harry. Lui que l’on disait assez proche de Pippa («The» Pippa, une sans-culotte à la cour d’Angleterre), le voilà à la colle ou presque avec Gertraud. Enfin, pas le même Harry. Un autre. Mais qu’a-t-elle donc de si attractif, cette Gertraud?
(Cliquer sur les images pour les agrandir).
L’été 1947 avait commencé en avril. Après un hiver long et très rigoureux pendant lequel on patinait sur les lacs et les rivières, l’été fut exceptionnellement chaud. L’année a donné un très grand millésime pour les vins de Bordeaux. Bordeaux, justement: 30° cet après-midi. Pareil à Orange. En 47 les 30° n’avaient été atteints que le 25 avril.
Voilà, j'ai terminé les retouches et corrections de mon roman écrit sur ce blog l’été dernier. Ce fut un gros travail. En écrivant et publiant par bouts, sous forme de feuilleton je n’avais pas le recul nécessaire. A la relecture globale il y avait pêle-mêle: des incohérences, redoublements de mots, lourdeurs, et de nombreuses faiblesses de style.
Les humains ont parfois la mémoire courte et la vue limitée. Leur attention porte à quelques kilomètres autour d’eux et à quelques années en durée. Que reste-t-il du passé 10 ans après? Quelques grands événements. Une naissance, un mariage. Les deux tempêtes de décembre 1999.
Aujourd’hui c’est Science et Avenir de septembre qui est à l’honneur.
Chaud, très chaud, esprit ralenti. Avant l’orage il reste peu de place pour penser. Pas bouger. Tout s’écrase: feuilles, arbres, trottoirs, regards, pas lents. A 34 degrés il reste peu de place pour rien.
Les prévisions météo sont certes empreintes de prudence mais elles semblent converger vers l’hypothèse d’un été très chaud en Europe de l’ouest. Vous me direz: cela a déjà commencé! Oui, mais depuis à peine plus d’une semaine. Qu’en sera-t-il sur deux mois?
6 heures du mat. Ciel partiellement couvert de nuages sympathiques. Pas de quoi fouetter un parapluie. Léger vent de sud-ouest: courant du sud en altitude, la journée sera chaude.
Le soleil… chaud, chaud… passer la journée à rien faire, regarder les rares nuages qui ne donnent même pas d’ombre…