Le thème des migrations est un des plus clivants aujourd’hui. C’est donc un bon sujet. Pour certains l’immigration est une chance. Pour d’autres une plaie. Comme souvent il y a du vrai dans les deux affirmations.
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Le thème des migrations est un des plus clivants aujourd’hui. C’est donc un bon sujet. Pour certains l’immigration est une chance. Pour d’autres une plaie. Comme souvent il y a du vrai dans les deux affirmations.
Il existait déjà le «Bonheur national brut». Un indice du degré de satisfaction d’une population, initié par le Bhoutan en 1972. Cet indice est évalué selon un ensemble de critères, mais il reste très subjectif tant il dépend de la collecte des informations. Et ces informations proviennent essentiellement des déclarations des personnes. On imagine combien cette évaluation peut dépendre de facteurs ponctuels et personnels.
La presse rappelle depuis quelques jours l’horreur du génocide au Rwanda. Vingt ans déjà. Un événement majeur à cause de la systématique des tueries, et du peu de réactions de la «communauté internationale». Pourtant, trois jours après le début des massacres, un humanitaire parlait déjà de génocide dans le quotidien Libération.
(Une petite fiction pour le jour de l'an.)
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A quatre-vingt-huit ans elle disait en avoir quarante-huit. Quarante ans de retard inexplicables. Ceux qui l’avaient fréquentée dans le passé connaissaient le secret. Mais tous avaient disparu. Il ne restait pas un seul témoin de ce jour du nouvel-an 1973. Célibataire et sans enfants elle n’avait plus d’histoire.
Plus on monte au ciel plus il fait froid. C’est physique. Essayez de sortir vous balader sur l’aile de l’avion quand il vole à 10’000 mètres. Il fait froid. Le Paradis c’est encore plus haut au-dessus du ciel. Enfin d’après les dépliants. Alors cela doit être encore plus froid. Mais bien que très froide la destination se vend toujours bien.
Ce matin un banc de brume septembruaire était posé sur Annemasse. Le soleil montant lui faisait des tuyaux d’orgue avec ses rayons, ou des pieds de travers, en éventail. L’air était presque frais.
Il est des campagnes de promotion désopilantes. Si elles n’existaient pas nous perdrions une occasion de nous amuser. A bien y regarder il y a tant de faits ludiques: si personne ne les met en évidence nous passons à côté, on the grey side of the street.
185 millions d’euros. Faut-il toucher autant pour être heureux? Doit-on permettre un tel gain? Certains trouvent cela normal, d’autres indécent, ou disproportionné et inconvenant comme le dit un député français, Eric Straumann. Qui propose de plafonner les gains à 30 millions.
Parfois je navigue sur le net comme je marcherais dans un bois: sans trop savoir où je vais. Je me laisse porter par les mots, les liens, les images. De fil en aiguille des idées plus précises me viennent. C’est ainsi que je suis arrivé dans la clairière paisible des mots de cette chanson connue, dans une version moins entendue.
Je suis bien content. Je ne suis pas le seul. Nous sommes des milliers, des millions à être bien contents. Nous n’aurions pas pu vivre sans en être informés. Il y a des choses si importantes à savoir, celle-là en faisait visiblement partie. Elle a donc senti au plus profond d’elle-même qu’elle devait nous le dire, Adriana, et que nous étions dans l’attente de connaître le fin fond du problème, de partager, en larmes sous notre couette, cette abomination: Christian ne la rendait pas heureuse!
Elle est assise à une table dans la cafétaria. Elle lit un journal et boit un ristretto. C’est le matin, 7h45. Après quelques minutes de lecture elle détache ses yeux de la page et le voit. Il vient d’entrer.
On admet que la durée est un signe de réussite pour le mariage. Selon ce critère quels sont les mariages qui marchent le mieux, c’est-à-dire qui durent globalement le plus longtemps?
Il y a deux jours j’ai entendu cette petite phrase et je ne résiste pas à l’envie d’en faire un billet. C’est joliment dit, et cela vient du chanteur Seal. Il laissait entendre qu’il faisait les choses pour que sa femme soit heureuse.
Mais c’est incroyable! Quel charme a saisi la ville, les terrasses, les parcs? Les passants relax, les visages souriants. On nous a changé Genève!
Le monde est vacillant, comme sur un volcan. Les vieilles croyances s'évaporent pendant que vient peu à peu un nouveau regard sur l'humain.