Normal 1er est entouré de nombreuses femmes dans sa garde rapprochée. Certaines d’entre elles donnent une touche très people au pouvoir. Ainsi Vava Trierweiler - sa Fanfreluche.
françois hollande - Page 3
-
Chronique de Normalie: Ségolène, mythique en Harley
-
Audrey Pulvar de retour chez Ruquier
Elle a bien des soucis la journaliste Audrey Pulvar, compagne d’Arnaud Montebourg. Arnaud Montebourg? La grande gueule ministre du redressement improductif. Celui qui en juin promet de mettre Peugeot au pas et qui en septembre va se coucher discrètement après avoir validé le plan de licenciements qu'il avait promis d'abroger. On dirait le gouvernement Dalida: "Parole, parole".
-
Riches, je vous hais!
C’est le cri du coeur de la gauche française. De l’extrême droite aussi. En ce moment c’est la gauche qui crache sur les riches. Et fort. La une de Libération d’hier est un modèle de populisme qui aurait fait belle figure sur l’ancien canard facho «Je sais tout».
-
Ségolène Royal: la stratégie de Caliméro
Ségolène Royal revient sur son échec aux législatives à La Rochelle. Pour elle, et selon le Figaro de ce jour, c’est «une injustice. Un crash. Un accident de parcours. Je ne mérite pas ça.» Un tel discours, le choix des mots, valent bien un petit décorticage.
-
Ségolène Royal: la stratégie de Caliméro
Ségolène Royal revient sur son échec aux législatives à La Rochelle. Pour elle, et selon le Figaro de ce jour, c’est «une injustice. Un crash. Un accident de parcours. Je ne mérite pas ça.» Un tel discours, le choix des mots, valent bien un petit décorticage.
-
Chronique de Normalie (3): «Aimez-moi!»
D’abord il part en vacances. Normal, tous les présidents partent en vacances. Mais lui, il prend le train. Ah, ça, comme normalitude, il se place un peu là Fanfrelande. C’est bien le train. On peut regarder passer les vaches.
-
Ségolène-Vava: les enfants alimentent la guerre
On croyait que tout avait été dit. Que la saga socialo-élyséenne se calmait. Que Ségo avait vidé son sac et se mettait enfin à réfléchir à ses échecs. Que ses enfants n’allaient pas en rajouter une couche.
-
Ségolène attaque fort
Je ne sais pas si elle a raison. D’un côté elle dit tout haut ce que beaucoup pensent. L’image du parti socialiste lors de la présidentielle de 2007 était la désunion. On n’a pas senti de soutien enthousiaste derrière la candidature de Ségolène Royal. Elle qui voulait tant être capitaine.
-
Ségolène Royal: l’honneur d’être une cible
Cela aurait pu n’être qu’une boutade. Il semble pourtant que ce soit la profession de foi de Ségolène Royal. Elle reprend à son compte la réplique d’un personnages de fiction parmi les plus populaires en France: Cyrano de Bergerac. «On n’abdique pas l’honneur d’être une cible».
-
Ségolène Royal: un objet sacrificiel?
Après avoir reçu de plein fouet le tweet assassin de la Madame Ben Ali française (Vava Trierweiler), et bien que les sondages lui soient très défavorables, Ségolène Royal veut encore y croire à La Rochelle. Non élue elle perdrait la possibilité d’être présidente de l’Assemblée Nationale.
-
Vava imposera-t-elle sa censure à la presse?
Les différentes interventions de Valérie Trierweiler pour museler la presse posent problème. Elles mettent question la liberté de la presse.
-
Revue de presse: Divorce du siècle - Fanfreluche - Voler heureux - Parking de la honte
Même les plus vieux couples, qu’on croyait indestructibles, peuvent un jour céder à la mauvaise humeur et envoyer leur partenaire dans les cordes. Les vieux amants ne sont pas toujours comme ceux de Jacques Brel. Et la tendresse, bordel?! Mais d'abord le spectacle du jour.
-
Valérie Trierweiler bafoue François Hollande
Fanfreluche est-elle une femme violente? Elle en présente certains signes. Par exemple la volonté de tout contrôler, qu’elle montre depuis la sortie de l’article de Paris Match en mars dernier. Elle en a d’autres: caractère acariâtre, impulsive, ton brutal et facilement colérique, revendicative versant dans l’agressivité, jalousie déraisonnable, volonté de couper le conjoint d’une partie de son entourage. Nicolas Sarkozy avait mis plus de temps pour se faire détester.
-
Le drapeau japonais flotte sur Ploucland
Nous à Ploucland, quand on a vu que le drapeau japonais flottait tout seul sur l’Elysée, on a fait pareil. Et comme on devait prendre une photo de notre président, on a demandé au photographe Ramon Sanpardon s’il voulait bien réaliser deux ou trois clichés souvenirs à l’extérieur, comme à la plage.
-
Hollande l’acratopège et le syndrome Lady Di
La photo officielle de Fanfrelande est explicite du président lisse, normal, tellement qu’on dirait le majordome de l’Elysée. C’est l’image qu’il veut donner. Visage lisse, regard éteint, posture instable, costume de Monoprix, mains gênées. Ennuyeux et convenu.
-
France: les harpies de la Féminista se déchaînent
C’était prévisible: l’élection de François Hollande, le commis des groupes féministes radicaux, et la mise en place de son gouvernement Javel, va faire se déchaîner la Féminista. Et cela commence tout de suite. Les mecs, cette fois réveillez-vous et ne vous laissez pas faire.
-
Les promesses de Hollande pour les femmes
Le magazine Elle en ligne rappelait hier les promesses du candidat François Hollande en faveur des femmes. A plusieurs reprises pendant sa campagne, il a pris l’engagement de mesures en leur faveur.
-
Hollande? Houlala...
Après le débat en France.
François Hollande va devoir changer sa personnalité et son fonctionnement s’il veut appliquer ses propositions. Tiens, un exemple: «J’organiserai de grands débats». Mais il ne l’a jamais fait au Parti socialiste. Il va devenir le contraire de ce qu’il a été. Magique... Cet homme est un héros. Comment se fait-il que cela ne se soit jamais vu avant? -
«Posez le drapeau rouge»: Nicolas Sarkozy à nouveau audible
Le 1er mai à Paris a été significatif. Et un peu surréaliste. Trois défilés battaient le pavé: celui traditionnel des syndicats, drapeaux rouges haut levés; celui du Front National qui honore habituellement la mémoire de Jeanne d’Arc, symbole de souveraineté nationale; et enfin celui de l’UMP, nouveau, battant drapeau français.
-
Le Pen a gagné
S’il en est un qui doit sabler le champagne aujourd’hui c’est Jean-Marie Le Pen. Une quarantaine d’année après être entré en politique et après son petit 0,74% de votants à l’élection présidentielle de 1974, son programme est devenu à certains égards le programme commun de la gauche et de la droite réunies.