La presse rappelle depuis quelques jours l’horreur du génocide au Rwanda. Vingt ans déjà. Un événement majeur à cause de la systématique des tueries, et du peu de réactions de la «communauté internationale». Pourtant, trois jours après le début des massacres, un humanitaire parlait déjà de génocide dans le quotidien Libération.
souffrance
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Un clou chasse l’autre
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Sida: le sapin pris en otage ou le monopole de l’exclusion
Didier Bonny nous rappelle sur son blog que, chaque année, le sapin d’une commune genevoise porte le ruban rouge principalement attribué à la lutte contre le Sida. Cette année c’est le sapin de Meyrin. Même si cela part d'un bon sentiment, je trouve regrettable cet accaparement du sapin pour un seul type de maladie. Si au moins on en changeait chaque année, il y a tant de causes à défendre. Pourquoi uniquement le Sida?
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Relève-toi et bats-toi
Le tapage suscité en France par le verdict de Créteil est un déni de justice. Il permet cependant de réfléchir au fait d’être victime, à sa représentation sociale, à la souffrance qu’il impose et aux bénéfices qu’il apporte. Car aujourd’hui être victime est de moins en moins «innocent» - même si cela peut sembler paradoxal.
Catégories : Féminisme, Guérison, Philosophie, Politique, Psychologie, Santé, société 1 commentaire Tweet -
Ségolène Royal: la stratégie de Caliméro
Ségolène Royal revient sur son échec aux législatives à La Rochelle. Pour elle, et selon le Figaro de ce jour, c’est «une injustice. Un crash. Un accident de parcours. Je ne mérite pas ça.» Un tel discours, le choix des mots, valent bien un petit décorticage.
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Ségolène Royal: la stratégie de Caliméro
Ségolène Royal revient sur son échec aux législatives à La Rochelle. Pour elle, et selon le Figaro de ce jour, c’est «une injustice. Un crash. Un accident de parcours. Je ne mérite pas ça.» Un tel discours, le choix des mots, valent bien un petit décorticage.
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Une douleur sans identité
Depuis quelques années on entend parler du pays des Flandres par la politique. Une partie des flamands voudrait se séparer de la Wallonie et mettre un terme à l’Etat belge. Ils veulent être indépendants. On se souvient des tracasseries administratives imposées aux francophones dans les communes flamandes de la région bruxelloise. On se souvient aussi des défilés de séparatistes portant haut le drapeau des Flandres, fond or et lion des sables noir.
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Le suicide des enfants
Un garçon de huit habitant le Doubs ans a été retrouvé mort dans sa chambre, pendu à un crochet de lustre. Selon la police il s’agit vraisemblablement d’un suicide. L’enfant venait d’être réprimandé par son père pour des chamailleries.
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Naturellement bon, l’humain?
Vaste débat qui agite les esprits depuis des siècles. Naturellement bon signifierait spontanément bienveillant, porté à rendre service et à faire du bien plutôt que du mal. Jean-Jacques Rousseau avait lui-même écrit: «L'homme est naturellement bon, c'est la société qui le corrompt.» Je ne compte pas analyser la pensée du philosophe, mais poser quelques questions autour de ce thème de «l’Homme bon naturellement».
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L’iniquité du monde
Pourquoi le monde est-il comme il est: pourquoi les êtres vivants se mangent-ils entre eux? Certains animaux en dévorent d’autres pour survivre. Les bactéries parasitent d’autres organismes. Les humains se «mangent» aussi par les guerres ou l’esclavage.
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Disparus (L’écriture, mon espace)
Il y a, jour après jour, tant à voir dans le monde. Même dans le petit espace de monde où mon regard va. D’une bataille de fourmis dans l’herbe d’un parc aux larmes de joie d’un amour retrouvé, d’un insolent éclat de soleil au regard d’une mère qui attend des nouvelles de ses enfants, chaque jour nos pas délimitent l’espace du possible.
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Adam et Eve: relecture du péché originel
Le mythe d’Adam et Eve est peut-être un de ceux qui ont fait couler le plus d’encre. C’est à la fois une tentative d’explication de la souffrance humaine (la chute du paradis), de l’incomplétude (apparition de la sexualité et reproduction en chaîne) et un modèle - tendancieux - du couple. C’est aussi une mise en perspective du sentiment de culpabilité vécu spontanément par les humains, avec apparition de la notion de faute, c’est-à-dire plus que d’une simple erreur de parcours mais une erreur intentionnelle, délibérée.
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Père infanticide: la perpétuité, et des questions
Son acte avait profondément choqué. En juin 2008 il donnait la mort à son fils de 6 ans de manière atroce. La Cour criminelle du canton du Jura vient de le reconnaître coupable d’assassinat. Elle retient donc la préméditation. Il est condamné à la perpétuité.
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Nous irons tous au paradis (bis)
Je reprends le titre du billet de ce matin de Barbie, «the» Barbie, que vous pouvez trouver ici. C’est en effet un thème qui me court régulièrement par les neurones et qui vaut bien d’ajouter un haut-parleur à la hifi de Barbiegirl.
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Santé et maladie: ce que dit le corps (1)
La maladie ne serait-elle qu’un phénomène désagréable sans raison ni lien avec la vie? Qu'une chose dérangeante à faire taire? Une telle vision me semble incongrue. Imaginer qu’une perturbation, un déséquilibre ou un dérèglement ne soit qu’un phénomène isolé ôterait singulièrement du sens au vivant et à son organisation.
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Père absent: la souffrance des filles
Ce billet, posté il y a déjà un certain sur La Libre Belgique, a donné lieu à des témoignages de femmes, jeunes ou moins jeunes, qui m'ont touché. Je le poste à nouveau ici, car c'est un thème qui me tient à coeur.
Les raisons et conséquences de l’absence d’un père dans l’éducation intellectuelle, morale et affective de ses enfants sont multiples. Voici quelques pistes. Ce sont des généralités certes, qu’il faut ajuster selon les cas, mais qui proposent une réflexion pour les parents.
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Gratitude
Pour ce soir de Noël, et en cette période troublée, je retouche légèrement et remets un billet paru il y a déjà quelques mois, un de ceux que j’ai préféré écrire.
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Père absent: la souffrance des filles
Les raisons et conséquences de l’absence d’un père dans l’éducation intellectuelle, morale et affective de ses enfants sont multiples. Voici quelques pistes. Ce sont des généralités certes, qu’il faut ajuster selon les cas, mais qui proposent une réflexion pour les parents.