Il y aurait des instructeurs militaires russes dans l’est de l’Ukraine. Il pourrait aussi y avoir Popeye, de la kryptonite, des ADM et quelques T-Rex égarés. Et un raton-laveur, utilisé par l’ennemi pour mettre le désordre dans les rangs de la glorieuse armée de bras cassés de Kiev.
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I don’t believe America
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Ukraine: les obstacles à l’accord de Genève et l’attitude américaine
Les résistants de l’est, en particulier ceux de la République autonome autoproclamée de Donetsk, on refusé de reconnaître l’accord de Genève. Deux raisons à cela: d’une part l’accord n’a pas été signé en leur nom. D’autre part les milices d’extrême-droite qui font la loi à Kiev n’ont pas désarmé et la place Maidan ne semble pas être prochainement débarrassée de ses barricades.
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Ukraine: l'accord de Genève entérine la stratégie russe
Etrange collision que la conférence sur l’Ukraine et la diffusion de l’émission Temps Présent sur les révolutionnaires de Kiev. Les seconds ont visiblement pesé lourd sur l’accord annoncé. Cet accord, qui de fait entérine le point de vue de Moscou, marque une relative victoire politique de la Russie et de la stratégie de Vladimir Poutine.
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Après l’Ukraine: le Heartland?
Les tensions se sont à nouveau aggravées dans l’est de l’Ukraine depuis quelques jours. On assiste à la situation en miroir de celle qui a conduit au putsch de Kiev: des milices armées prennent d’assaut et occupent des bâtiments officiels. A Kiev ce sont elles qui ont occupé la Mairie et qui ont fait une haie d’honneur aux députés ralliés.
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France, Europe, Ukraine: la montagne et le mulot
Le nouveau gouvernement français a donc décidé de réduire le millefeuille national. La mesure principale était la réduction du nombre de régions. Ce qui aura pour conséquence: moins d’élus à défrayer, moins de locaux à entretenir, plus de cohérence régionale.
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Calme plat en Crimée
C’est la déflation de l’information sur la Crimée. En une semaine tout se calme. Que s’est-il passé? Que sont devenues les vitupérations et l’agitation, et l’accablement de la Russie par les médias occidentaux? Pfuittt! Presque plus rien.
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Ukraine: la main qui montre et la main qui cache
Imaginer que les gouvernants disent la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, serait être très ingénu. Ainsi quand hier Barak Obama déclarait sans sourciller que les Etats-Unis n’avaient pas besoin d’envahir leurs voisins pour être fort, il faut un aveuglement crasse, délibéré ou très naïf pour lui donner raison.
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L’Ukraine, les pyromanes, l'APT, les Tatars, et Tex Avery
Il n’est ni adéquat ni juste de parler de propagande russe et feindre de croire à l’angélisme de Bruxelles et de Washington. Quand un ancien candidat à la présidence étasunienne, John McCain, va soutenir sur place un mouvement contre un pouvoir élu par les urnes, et alors qu’il ne s’agissait encore que d’une réaction causée par le refus de signer le traité avec l’Europe (ce qui ne regardait en rien les américains), quand la direction européenne reconnaît sans délai un pouvoir instauré par la force dans des conditions douteuses, sans aucune légitimité démocratique, ne pas se poser de questions est au minimum étrange.
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Pacific 231
1923. Dans cette période d’après-guerre tout semble permis. L’Allemagne a été défaite. Humiliée. L’empire austro-hongrois détruit, l’empire ottoman démembré. La France occupe illégalement, de son propre chef, le bassin de la Ruhr, région industrielle de l’Allemagne, pour se payer des dommages de guerre. Personne ne bouge. La France fait ce qu’elle veut.
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Ukraine: la mémoire courte
Barak Obama s’est-il trop précipité à vouloir défendre le nouveau pouvoir ukrainien? Un pouvoir qui n’a en l’état aucune légitimité démocratique, et qui a pris ses décisions - dont la suppression de la langue russe - sous la pression des ultra-nationalistes de la place Maïdan? Ou bien n’avait-il plus d’autre choix pour limiter les dégâts et éviter de perdre l’Ukraine dans un mouvement qui l’avait dépassé?
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Le printemps de Crimée
Jolie expression pour qualifier le résultat du référendum. Etonnant qu’elle passe sur la télévision romande, si russophobe habituellement. Mais cela n’a pas duré. Le premier sondage à la sortie des urnes annonce 93% de oui au rattachement à la Fédération de Russie, ce qui fait dire à la présentatrice qu’il ne pouvait en être autrement face à la propagande officielle.
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De la nécessité d’une Russie forte
Les attaques personnelles contre Vladimir Poutine laissent croire qu’il dirige le pays seul, en totale autocratie. Vision simpliste destinée à affaiblir son image dans l’opinion occidentale, dont il est attendu qu’elle soutienne les positions européennes et américaines.
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Pussy Riot agressées: info ou intox?
L’une des infos du jour en provenance d’Europe de l’est est l’agression annoncée de deux Pussy Riots. Un groupe de six hommes jeunes seraient entrés dans le McDo où elles prenaient leur petit déj en compagnie de leur équipe, à 7h20 du matin.
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Poutine du mauvais côté de l’Histoire?
Vladimir Poutine serait du mauvais côté de l’Histoire, selon Obama. Je suis perplexe en entendant le président américain faire cette déclaration au sujet du président de la Fédération de Russie. Je n’arrive pas à croire aveuglément aux propos des dirigeants occidentaux.
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Poutine, Ours patient
Vladimir sait encaisser. Et sait se montrer patient. Après avoir été la cible de commentaires particulièrement agressifs avant et au début des JO - pour mémoire le suisse Massimo Lorenzi qualifiait le spectacle d’ouverture de «propagande soviétique» - Vladimir Poutine est maintenant vilipendé et menacé pour sa politique envers l’Ukraine. Lui ne dit rien et ne bouge pas.
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Ukraine: qui avait intérêt au bain de sang?
Difficile de voir clair dans ce qui se passe en Ukraine. Les faits eux-mêmes ne sont pas limpides, à part la prise de pouvoir par le parlement - ou ce qu’il en reste. Mais on n’a aucune information médico-légale sur les morts.
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Sotchi: dans la lumière
La victoire est belle, forcément belle. Qui ne ressent pas une légitime fierté d’avoir accompli son rêve? De s’être surpassé, d’avoir réussi et rempli son contrat avec soi-même? De l’avoir fait à ses propres yeux et aux yeux de ses pairs, et du monde?
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JO: 100 ans de politisation
La tribune des JO est régulièrement utilisée à des fins politiques. Rien de neuf à cela. Attaquer les Jeux garantit une forte médiatisation. Ceux de Sotchi seraient les plus décriés de l’Histoire, selon un commentateur de la RTS. Difficile de distinguer le vrai du faux dans tout ce qui a été dit. Beaucoup d’affirmations, peu de vérifications, et des contradictions. Et puis la campagne anti-Sotchi - et peut-être anti-russe - s’inscrit dans une longue suite de politisation des JO. Rafraîchissons-nous la mémoire.
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Boycotter Sotchi? Au nom de quoi?
Après avoir annoncé qu’aucun officiel ne sera présent aux JO de Sotchi, la France, en la personne de son président, va s’aplatir devant le prince régnant saoudien pour quelques milliards de dollars. C’est de la géopolitique, ok. Donc du cynisme sans état d’âme. Nous aurions donc tort de nous priver, nous simples citoyens, du même cynisme, de ce cynisme libérateur que l’on nomme sens critique.
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Divna
Peu de parole, peu de mots.
Ceux portés par d'autres, mots et musiques de la fête de Noël, de trois origines: orthodoxe serbe, russe et érythréenne. Les orthodoxes fêtent Noël le 7 janvier. Mais on peut déjà écouter leur musique.