Le grand run vers la vertu.
La tendance s’affirme davantage de jour en jour. C’est plus qu’une simple course: c’est presque une surenchère. Qui est meilleur ? Qui en fait le plus?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le grand run vers la vertu.
La tendance s’affirme davantage de jour en jour. C’est plus qu’une simple course: c’est presque une surenchère. Qui est meilleur ? Qui en fait le plus?
Les derniers développements ne sont plus de l’ordre de la vie privée. Ils sont une illustration directe de la politique de François Hollande et de ses valeurs. Un morceau d’anthologie que ce feuilleton.
Deux jours en Valromey, dans le Bugey, entre le Grand Colombier et Hauteville-Lompnes. Ici s’entrelacent forêts, pâtures, et rivières bordées de hauts buis et de rocs moussus et magiques. Les elfes sont là, me dit-on.
Après avoir annoncé qu’aucun officiel ne sera présent aux JO de Sotchi, la France, en la personne de son président, va s’aplatir devant le prince régnant saoudien pour quelques milliards de dollars. C’est de la géopolitique, ok. Donc du cynisme sans état d’âme. Nous aurions donc tort de nous priver, nous simples citoyens, du même cynisme, de ce cynisme libérateur que l’on nomme sens critique.
Ils se sont dressés comme un seul homme - ou comme une seule femme. Ils ont poussé des cris d’indignation. Les anathème fusent: «La faute est faite», «une certaine atmosphère, un certaine ambiance complètement délétère qui a été installée, instillée, par le ministre de l'Intérieur», «démission», «perdre son âme».
L’été de l’automne est aisément reconnaissable.
La lumière est feutrinée, elle se couche, oblique. Les particules d’humide et de poussière n’étincèlent plus comme en pleine juillettude.
Instaurer une société multiculturelle est l’objectif de certains philosophes et hommes ou femmes politiques. D’autres, comme Elisabeth Badinter, sont opposés à ce concept. Faut-il ouvrir la culture d’un pays à toutes les autres cultures, avec ce que cela implique, ou faut-il repenser à la baisse ce concept?
Un aspect déroutant du débat autour du mariage élargi est la somme des contradictions individuelles qu’il recèle. D’un côté la liberté individuelle, si précieuse: chacun a le droit de choisir sa vie. De ce point de vue la loi récemment votée en France et déjà appliquée dans d’autres pays trouve son sens.
Cette question a déjà sa réponse. Les valeurs enseignées par le christianisme sont en grande partie celles que l’on trouve dans la société laïque et dans ses lois. Ce qui différencie l’un de l’autre est la foi dans un créateur ainsi que les rites. Et le rapport à la mort.
Un sondage Ifop réalisé en France et en Allemagne vient d’être publié. Il porte sur la manière dont l’islam et les musulmans sont perçus de part et d’autre du Rhin. Le résultat confirme la tendance que l’on remarque depuis quelques années.
La loyauté est une valeur importante. Elle instaure la confiance et la durée dans les relations humaines. Mais toute loyauté n’est pas bonne à prendre.
Pour changer de ces deux derniers jours, en peut-être en mouvement de balancier pour rééquilibrer un peu les choses, j’aimerais écrire aujourd’hui sur la bienveillance. Car polémiquer n’est pas ma seule tasse de thé. L’esprit combatif est une chose, le coeur en est une autre. Trop d’esprit sans coeur est dessèchement. Et aussi trop de coeur sans esprit est noyade.