Anciennement, si l’on voulait être accepté dans un groupe, on devait faire preuve de ses compétences, ou de sa volonté d’intégration. Aujourd’hui il suffit de se dire discriminé pour voir une nuée d’angelots en faire une affaire politique.
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Anciennement, si l’on voulait être accepté dans un groupe, on devait faire preuve de ses compétences, ou de sa volonté d’intégration. Aujourd’hui il suffit de se dire discriminé pour voir une nuée d’angelots en faire une affaire politique.
Je termine momentanément en reprenant les informations sur le harcèlement de rue. Le chiffre avancé de 72% des jeunes femmes de 16 à 25 ans victime de harcèlement est-il fiable? L’étude lausannoise pose question. Ou plutôt sa diffusion, car elle n’est pas, de l’aveu même de ses commanditaires, représentative de la population.
En vrac. 52 minutes c’est très court pour creuser un thème. Il faut partager le temps bien sûr et garder une dynamique d’émission. Mais le temps n’est pas en cause: je ne suis globalement pas satisfait de mon intervention. Pas assez incisif, manquant des points importants, des synthèses. Pas assez méchant. Il y avait heureusement Myret Zaki et Alain Valtério, des méchants de qualité.
C’est ce que déclare Nigel Farage, leader des opposants à l’Union Européenne. Il ajoute même: « … la victoire des vrais gens ». Oups!… Parce qu’il y aurait des gens vrais, et donc aussi, par contraste, des gens faux? Curieuse distinction, vrai et faux!
Pas de petit coeur aux couleurs de la Belgique. Le rituel s’épuise. L’émotion ne peut être à chaque fois la même: la répétition use et corrompt. Heureusement que Manu a trouvé les mots.
Les tensions se sont à nouveau aggravées dans l’est de l’Ukraine depuis quelques jours. On assiste à la situation en miroir de celle qui a conduit au putsch de Kiev: des milices armées prennent d’assaut et occupent des bâtiments officiels. A Kiev ce sont elles qui ont occupé la Mairie et qui ont fait une haie d’honneur aux députés ralliés.
Le Marché Commun puis l’Union Européenne se sont mis en place sur l’idée de créer un marché ouvert des biens, des marchandises et de la culture, sans plus de taxes et de règles nationales. Le but était de favoriser les échanges commerciaux, source de développement économique.
Mais y avait-il vraiment besoin d’Europe? Theodore Dalrymple*, que j’ai déjà mentionné, est cruel envers l’Europe. Il en comprend l’idée mais il y voit surtout une caisse de retraite pour politiciens au rancart «qui soit ne parviennent plus à se faire élire dans leur pays respectifs, soit sont las de lutter pour y parvenir». Il y voit aussi le besoin initial des français, dont la puissance militaire était émoussée, d’être plus puissants donc plus grands, et celui des allemands de se fondre dans autre chose que la nation au vu de leur malaise post-nazisme.
On compte actuellement une dizaines de navires de la marine de guerre russe en Méditerranée, plus un nombre inconnu de sous-marins. Plusieurs de ces navires sont des amphibies, possiblement pour évacuer des ressortissants russes en cas de nécessité.
Madame Peeters, je ne marche pas avec vous. Je crois que votre production, mal documentée et partiale, poursuit un but caché malhonnête. Ne serait-ce que celui de vous faire de la pub injustifiée. Votre documentaire étale votre complaisance et votre incompétence, et peut-être votre capacité à manipuler l’information et les images dans un but à éclaircir.
Sofie Peeters, en a eu assez de se faire traiter de salope et de chienne dans les rues de Bruxelles. Elle en a fait un petit film, travail de fin d’études. C’est une histoire belge. Une histoire qui fait la une des médias en Belgique.
Je n’y suis jamais allé. Toi non plus. Nous n’en parlions même pas. Pas de rêve, pas d’histoire. Nos voyages étaient plus modestes. Bruxelles. Paris. Le sud de la France. Ah, il y eut le désert, aussi. Et puis la Toscane.
La première marche blanche a été organisée le 20 octobre 1996 à Bruxelles. La participation varie selon les sources de 350’000 à plus de 600’000 personnes. Toute l’Europe s’était fortement émue du calvaire des deux fillettes, Julie et Melissa, mais aussi des autres victimes connues qui ont survécu.
Première historiette fantaisiste d’une série sur des bêtes non moins originales. Aujourd’hui: l’hippopotame bruxellois.
Boum, boum, boum, boum. On les entend bien les pas de Bruce dans la galerie marchande de la Gare du Nord. Boum, boum, ils résonnent, boum, boum. Tous les matins Bruce fait ses emplettes avant de prendre le train pour la mer. Il adore les grandes plages et les pêcheurs de crevettes à marée basse.
Y a-t-il vraiment une sortie pour les grecs? Les plans drastiques d’austérité leur permettront-ils de ne pas faire faillite et de rembourser leur dette? Rien n’est moins sûr. Economie en forte récession à cause des plans d’austérité, baisse des recettes fiscales: la Grèce est quasiment déjà en faillite.
Météo capricieuse, nuages inattendus, vents contraires: Solar Impulse n’a pas pu relier Bruxelles à Paris hier. Parti en fin d’après-midi, tentant de profiter d’une fenêtre météo, il a rebroussé chemin presque à mi-parcours. L’avion solaire n’a pas été en mesure de charger suffisamment ses batteries faute de soleil. Une partie du vol devait être effectué de nuit et le risque de panne était trop grand.
Ce n’est pas le Boulevard du Rhum ni le Boul’Mich’. Pas non plus les grands boulevards chers au baron Haussmann. Selon Wiki: «Un boulevard est une voie relativement importante (quatre voies de circulation ou plus) avec de larges allées piétonnières sur ses bords.»
Imaginez… une plage à perte de vue. A gauche la plage. A droite la plage. Et si vous venez à marée basse, devant vous: des centaines de mètres de plage, parsemée de creux doux où les enfants pêchent les crevettes dans 15 centimètres d’eau tiédie par le soleil.
Pluie froide ce matin. Fouettée par un vent tendu. Ciel bas des plaines habillées de près où des nuages déchirés alternent les gris.
Le 3e congrès de la condition masculine “Paroles d’homme” présente son programme complet. Après Genève en 2003 et Montréal en 2005, c’est Bruxelles qui accueille la troisième édition de cette manifestation d’envergure internationale.