En analysant les programmes des candidats, un Sherlock Holmes de la politique pourrait se demander comment cette idée saugrenue est venue aux français. « Abracadabrantesque, mon cher Watson », s’exclamerait-il, perplexe.
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En analysant les programmes des candidats, un Sherlock Holmes de la politique pourrait se demander comment cette idée saugrenue est venue aux français. « Abracadabrantesque, mon cher Watson », s’exclamerait-il, perplexe.
Les dirigeants de LR ont tranché. Enfin. Le retrait d’Alain Juppé a ressoudé les rangs. L’épreuve de force, remportée par François Fillon, clôt un psychodrame. Du moins provisoirement.
Entre 35’000 et 200’000 manifestants, selon les sources, ont soutenu François Fillon au Trocadéro. Je ne suis pas impressionné. 500’000 personnes au moins auraient donné un caractère de plébiscite. Cependant le résultat d’hier n’est pas négligeable.
Les cérémonies d’auto-congratulation sont à la mode. Il y a un charme fou et très tendance à voir des millionnaires applaudis par d’autres millionnaires. Le peuple aime rêver. Les people, eux, comptent.
Démissions dans l’équipe de campagne, appels au remplacement, premiers parrainages au nom de Juppé: la droite LR donne une très singulière image de panique et de cohue. Digne d’un match de foot dont les supporters en fuite, pour survivre, écrasent les têtes de quelques dizaines d’autres.
« Je ne me défilerai pas » dit Alain Juppé. Il se présente comme un recours après avoir décliné cette hypothèse il y a un mois. Et ce alors qu’un sondage inattendu place François Fillon en deuxième position, légèrement devant l’Emmanuel.
Hier je suggérais que quelqu’un tirait les ficelles dans l’affaire qui touche François Fillon. Les circonstances de l’action judiciaire me paraissent ouvrir la voie à un doute raisonnable. Pourtant je n’en sais rien, bien évidemment. Ce n’est qu’une supposition, une conjecture.
Il devait faire quelque chose. La convocation des juges pour le 15 mars lui en a donné la matière. En effet dans une procédure où tout fuite comme dans un seau sans fond, François Fillon peut maintenant se montrer harcelé par une justice à charge.
François Bayrou, cheval de retour, donne ses voix à l’Emmanuel, grand ado de 39 ans. Celui dont il disait tant de mal il y a peu. Seul les idiots ne changent pas d’avis. Paraît-il. Ce qui ne signifie pas qu’en changer soit malin. Cela peut être signe d’inconséquence.
Elle s’est faite une vie après Malibu. Dans la défense des animaux au sein de l’association PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) en particulier. Elle a aussi tourné récemment dans un clip de Julien Doré (voir à droite).
Le canari c’est Twitter. Le loup c’est le loup. Le Matin dimanche rappelle que le loup tue parfois des humains. Plus de femmes que d’hommes. Ah ça, le loup serait-il misogyne?
Meryl Streep est une actrice majeure. Une icône. Elle est aussi connue pour son engagement politique anti-Trump. Elle s’en est largement ouverte depuis l’élection du canard blond. Pourtant…
Un article de la Tribune de Genève papier du jour mentionne les travaux de Vincent Kaufmann (image 4) sur les limites de la libre circulation. Le titre de l’article: « Les effets pervers du dogme de la mobilité ». Fichtre!
Personne ne leur en a fait grief. Personne ne les a qualifiés de racistes ou xénophobes. Les mexicains n’ont pas fait mur contre eux le long de la frontière, comme c’était le cas il y a deux jours contre le Donald.
Imaginons un instant que la situation soit inversée: le Mexique serait le pays riche, et les États-Unis soient moins développés. Imaginons que tout le sud de ces derniers, en particulier le long de la frontière mexicaine, soit sous la coupe de milices armées au service des cartels de la drogue.
Depuis quelques années plusieurs mammouths ont été sortis bien conservés du pergélisol. Avec des tissus mous et du vieux sang riches en ADN. De quoi en placer des brins dans des cellules d’éléphante d’Asie, en voie de disparition, pour tenter le clonage.
Ce n’arrive pas souvent. La présidente du tribunal de Rouen a lâché une phrase réaliste en plein procès. Un constat du réel. Jugeant en comparution immédiate une agression au couteau dans un couple, elle s’étonne du statut dont a bénéficié la prévenue.
L’Emmanuel a pris un coach vocal, paraît-il. Il ne maîtrise pas sa voix. En effet, ce son de crécelle dès qu’il monte le ton donne le sentiment d’assister à une manif d’ados un peu bourrés et immatures ayant oublié leur mégaphone.
Ce n’est pas l’apologie d’un meurtre mais ça n’en est pas loin. Le meurtre est ici banalisé et présenté comme une solution humanitaire. Comme une forme d’auto-défense, un acte héroïque dans une vie misérable. Il est raconté dans un livre à paraître prochainement.
Invitée à prendre la parole à l’ouverture d’une conférence, Hillary Clinton a tenu des propos… visionnaires. Ou mieux: de l’ordre de la prophétie. Elle dit l’avenir. À sa manière. Mais que veut-elle vraiment dire?