La nièce de la Marine nationale se met en retrait de la politique. Elle ira promener son look de rockeuse flamboyante dans le privé et mettre les mains dans le cambouis. Et s’occuper de sa pitchoune de trois ans.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La nièce de la Marine nationale se met en retrait de la politique. Elle ira promener son look de rockeuse flamboyante dans le privé et mettre les mains dans le cambouis. Et s’occuper de sa pitchoune de trois ans.
En 1944 il aurait été traité d’hitléro-trotskiste. Et aujourd’hui? Mélenchon est revenu, la bouche pleine de mots. Son silence d’entre deux tours laisse place à une nouvelle logorrhée de conquête.
L’annonce faite ce matin confirme les intentions du candidat devenu président. Elles concernent d’abord la loi travail. Cette loi qui avait suscité tant de résistances et miné la fin du quinquennat de François Hollande ira plus loin que l’actuelle loi El Khomri.
Deux votants sur trois: le résultat est tranché. En chiffres du moins. En adhésion à son programme c’est une autre affaire. Najat Vallaud Belkacem avait mis de beaux habits colorés pour la télé. Elle félicitait le jeune Emmanuel.
Le thème des migrations est un des plus clivants aujourd’hui. C’est donc un bon sujet. Pour certains l’immigration est une chance. Pour d’autres une plaie. Comme souvent il y a du vrai dans les deux affirmations.
Fin de campagne. En attendant de voir le jeune Ken Emmanuel organiser sa disco du triomphe sur l’esplanade du Louvre, je livre mon choix définitif. Non, je ne vote pas en France, mais si c’était le cas…
C’était sur le plateau de L’émission politique Spéciale présidentielle, hier soir jeudi 4 mai sur France 2. Plusieurs personnalités connues ou moins connues s’exprimaient sur le thème de l’identité nationale.
À minuit je regarde quelques commentaires sur Facebook. Chacun prend parti selon des préférences que je connais déjà. Pas envie de cela. Dire autre chose. Être subjectif pour sortir de la fatigue qui me reste de ce débat médiocre.
La peur, la haine et le rejet extrêmement violent contre Marine Le Pen m’apparaissent comme stupéfiants, dans les deux sens du terme. Cet orgasme émotionnel agit comme un opium ou une drogue euphorisante par lesquels toute réflexion nuancée et personnelle est balayée ou annihilée.
Finalement le jeune Emmanuel Macron a endossé le costume de ses aînés. Fini le printemps et les petits oiseaux, ou le petit Jésus en croix. Le clivage est de retour, le mensonge débité à la hache. La violence verbale et morale marche au turbo.
On sait que le programme de Marine Le Pen n’est ni fasciste, ni raciste. On sait par sondage que la majorité des français approuve certaines de ses thèses (61% souhaitent l’arrêt de l’immigration, entre autres). Pourquoi n’arrive-t-elle pas au pouvoir? Quels sont les freins?
On le disait déprimé. Trop atteint par sa défaite. Pétri d’une amertume indicible. On se demandait par où il allait resurgir, et si même il allait resurgir. Le revoilou, pimpant comme un diable à ressort qui ressort de sa boîte.
Un chercheur suisse a réalisé une étude sur les libellules femelles Æschne des joncs. Il a mis en évidence leur stratégie pour se soustraire aux sollicitations des mâles quand elles sont en période de ponte. Une chroniqueuse canadienne du Journal de Montréal s’est saisie de cette étude pour faire une théorie.
Un peu de légèreté mais pas de l’anodin. Cela se passe à Rochefort en Charente-Maritime, pas loin de La Rochelle. Une petite ville charmante de 24’000 habitants. C’est le quotidien Sud-Ouest qui relate le fait divers.
Mon récent billet sur l’uberisation du sexe par la mise aux enchère de la virginité a suscité une discussion vive avec une internaute canadienne. J’avais posté un lien vers mon billet sur un site au Québec. J’y publie parfois ceux de mes billets qui peuvent entrer dans la thématique: progrès et liberté.
Anne Nivat, épouse de Jean-Jacques Bourdin, est une femme passionnante et intelligente. Reporter de guerre, prix Albert Londres en 2000, elle présentait hier au Salon du Livre son dernier ouvrage: elle a choisi six villes pour entendre les français sur l’identité, le déclassement, la sécurité, le chômage, entre autres.
Le peuple de France se préparait à acclamer son nouveau roi. Le trône semblait promis à Ken Macroniño, premier du nom. Sa jeune épouse Barbiebelle en était toute énamourée. Certes il devait compter avec une solide concurrence en la personne de Marina Lepénissova, dite Barbida Maxima.
Pas mécontents de voir bientôt les talons du parti socialiste, les français. Il en a fait assez. De la fétide théorie du genre à l’école, où l’on apprenait que Mehdi mettait du rouge à lèvres, à l’interdiction de proposer une information contradictoire sur l’avortement ou les vaccinations, ils fallait qu’ils dégagent.
J’aime les paradoxes. Ils ouvrent une porte sur la complexité du monde. Là je suis servi: Macron, sorte de Magic Ken porté par sa Barbie, libéral pur jus, arrive en tête du premier tour en bonne partie grâce aux voix de gauche. Une gauche pourtant très remontée contre le libéralisme.
Les français aiment rêver. Macron et Mélenchon ont joué sur ce désir, comme Hollande en 1012. Macron a gagné. Avec le fantôme de Fanfrelande dans son dos. En effet la vieille garde socialiste a quitté le navire depuis un moment pour rallier l’adolescent.