La France ressemble par certains aspects à une république bananière. Par exemple: le fait que des députés puissent utiliser à leur discrétion 150 millions d’euros pour subventionner des associations qui ont leur faveur.
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La France ressemble par certains aspects à une république bananière. Par exemple: le fait que des députés puissent utiliser à leur discrétion 150 millions d’euros pour subventionner des associations qui ont leur faveur.
Le jeune Emmanuel est-il un pion placé là par une savante planification occulte? L’élection de cet hybride mi-gauche mi-droite cache-t-elle la main invisible et l’intention secrète de quelque groupe déterminé à croquer les français tout crus?
L’as des As(selineau) sort de sa posture immobile. Son masque de cire fond. Il vit, respire, s’emporte. Interviewé, le ton monte. Il crie. Puis hésite. Reste bouche bée… avant d’engueuler le journaliste et de déployer ses ailes sur un air de printemps. Que s’est-il passé?
Renaud annonce qu’il votera pour Macron. Il est libre, Renaud, il fait ce qu’il veut. Pour autant, les raisons de son message et de son choix sont-elles transparentes? J’ai un doute. Décryptage.
J’ai signalé en mars cette expression confuse: le référendum d’initiative populaire. Un référendum et une initiative sont deux objets politiques différents. Ils ne peuvent pas être mélangés. Eh bien j’ai trouvé mieux.
Ça y est: tel Jules César en son temps Manu a franchi le Rubicon. Il se rallie au jeune Emmanuel. Quelle bouillabaisse! On se souvient qu’il avait d’abord joué à Brutus, le fils parricide, en décembre.
Des cinq candidats trois m’ont donné le sentiment d’une solidité personnelle et d’un programme élaboré: François Fillon, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon. Les deux autres sont trop juvéniles pour faire le poids.
Instantanés de quelques candidats. Grands ou petits, en taille, en idées, peu importe. Ils sont égaux devant l’électorat, ils ont franchi les mêmes étapes constitutionnelles. Commençons par celui qui a fait le buzz hier: NDA.
François Fillon veut faire de la France un pays d’entrepreneurs. Est-ce possible? En partie probablement. De plus en plus de français désirent être à leur compte. Pour certains entreprendre est comme respirer: naturel et vital. Et motivant: par ses idées, ses projets et son énergie un individu peut être à l’origine d’un grand groupe. Les exemples ne manquent pas.
Les dirigeants de LR ont tranché. Enfin. Le retrait d’Alain Juppé a ressoudé les rangs. L’épreuve de force, remportée par François Fillon, clôt un psychodrame. Du moins provisoirement.
Entre 35’000 et 200’000 manifestants, selon les sources, ont soutenu François Fillon au Trocadéro. Je ne suis pas impressionné. 500’000 personnes au moins auraient donné un caractère de plébiscite. Cependant le résultat d’hier n’est pas négligeable.
Démissions dans l’équipe de campagne, appels au remplacement, premiers parrainages au nom de Juppé: la droite LR donne une très singulière image de panique et de cohue. Digne d’un match de foot dont les supporters en fuite, pour survivre, écrasent les têtes de quelques dizaines d’autres.
Hier je suggérais que quelqu’un tirait les ficelles dans l’affaire qui touche François Fillon. Les circonstances de l’action judiciaire me paraissent ouvrir la voie à un doute raisonnable. Pourtant je n’en sais rien, bien évidemment. Ce n’est qu’une supposition, une conjecture.
Je lis deux commentaires sur un forum à propos du résultat de la primaire socialiste. Deux soutiens au candidat investi pour la présidentielle. L’un de ces commentaires dit: « Je suis profondément pour les gens et contre l’économie ».
Le gouvernement français a publié une statistique comparant l’évolution des niveaux en orthographe depuis trente ans. Entre 1987 et 2016 le taux moyen de fautes a presque doublé.
Une portion d’électeurs de gauche aurait voté à la primaire de la droite, et donc partiellement financé la campagne des Républicains et de l’UDI. Aux dernières nouvelles ils n’ont pas mangé leur chapeau.
Je suis surpris par le dernier billet (lien ici) du blogueur Didier Bonny. Je pourrais répondre sur son blog car j’ai eu l’occasion de constater par moi-même qu’il est toujours ouvert au dialogue, courtois et qu’il ne refuse pas la confrontation des idées.
Alain Juppé est comme un rat en cage. La secousse électorale de dimanche est son choc électrique. Ce choc produit trois réponses de la part des rongeurs: la lutte, la fuite ou l’inhibition.
Le monde ouvert est mort. La guerre, celle des armes et celle des mots, gagne du terrain. Face au déchaînement de violence il n’est pas possible de rester neutre.
Dans une proposition politique j’écoute le thème et le contenu, mais aussi celui ou celle qui le porte et comment il ou elle communique. Non pas pour juger « au faciès » mais parce que le non-verbal est à mon avis souvent éclairant sur la personnalité des candidats et leur capacité à aller au charbon.