Rencontre en plateau télé entre le vieux briscard et la jeune femme. Lui? Soixante-quatre ans et toute sa verve. Elle: 18 ans tout juste. Lui: le temps ne semble pas l’atteindre. Elle: elle a la beauté de son âge.
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Rencontre en plateau télé entre le vieux briscard et la jeune femme. Lui? Soixante-quatre ans et toute sa verve. Elle: 18 ans tout juste. Lui: le temps ne semble pas l’atteindre. Elle: elle a la beauté de son âge.
Si j’en avais les capacités je ne ferais pas ce Koh-Lanta. Si l’émission est parfois intéressante une chose majeure me rebute: être jugé par les autres, et éventuellement éliminé par leur décision.
En regardant depuis dimanche cette vidéo, mise en haut à droite de mon blog, et aujourd’hui avancée sous ce billet, je plonge dans cette Afrique que j’aime. Je n’ai pas connu Ouaga mais il y a des paysages et des bonheurs communs en Afrique de l’ouest.
Quelques infos drôles ou pas, glanées au fil des quotidiens. De quoi jeter quelques sorts et donner quelques caresses de chat. Mais qui a dit que les caresses de chats ne sont pas honnêtes?
C’est, par exemple, cette femme inconnue dont on croise le regard, un soir dans un tram. Elle tient en mains un bouquet éclatant. Couleurs d’été dans un soir d’hiver.
Aujourd’hui un brin d’humour, mimosa de l’esprit. Demain je reprends mon tracteur et je laboure les friches sauvages autour de Cologne.
On pourrait changer le nom de Paris. Trouver quelque chose que l’on soit sûr de ne pas oublier. Parce qu’il y a déjà Paris Texas, Paris Hilton, et encore d’autres. Cela sème la confusion.
Nous avons de la lumière dans nos maisons entre autres grâce à Thomas Edison. Il a inventé l’ampoule à incandescence, qui allait remplacer la lampe à gaz ou à pétrole. Bien sûr il avait aussi besoin d’électricité, de fils, et bien d’autres choses encore.
On laisse Manosque à droite. On suit la rive gauche de la Durance. On est dans le pays de Giono, écrivain lumineux qui a longtemps occupé ma disponibilité intellectuelle de jeune homme.
Rien ne va plus chez Charlie. La violence subie en janvier a laissé des séquelles. On peut le comprendre. Leurs amis sont morts sous leurs yeux. Eux-mêmes ont vu la mort dans le canon d’une arme automatique. Ils leur faudra peut-être des années pour digérer le choc.
La mort est rarement joyeuse. Encore moins quand on a 17 ans.
17 ans! Musique dans les oreilles, la vie devant soi. Une famille, des amis, une vie déjà. Mais pas vu. Pas vu le tram. Écrasé par le tram. Écouteurs sur les oreilles.
Terrible, forcément terrible.
Ce qui suit est l’illustration parfaite de l’abus des émotions sur internet, et de la naïveté complaisante de certaines personnes. Après cela, croirez-vous encore ce que l’on vous dit sans chercher à vérifier par vous-même?
A force on ne sait plus qui on est. Moi je sais: je suis Boulet. Parce qu’il n’y a pas de raison. Un Boulet vaut bien un Wolinski. N’y en aurait-il que pour ceux qui reçoivent des balles dans le corps? Non. Un Boulet humilié est aussi digne de notre bienveillance, dût-elle ne s'épancher que le temps d'une nuit d’ivresse.
Pas simple de rester sans réponse devant un événement dramatique. Besoin de comprendre. Sans compréhension pas de sens ni de réflexion utile, pas d'apprentissage de l'événement. Ainsi certains psychiatres racontent à leur manière (fleurie) les motivations ayant guidé le copilote de l'A 320 de Germanwings.
Pourquoi en parler? Il n’y avait dans cet avion aucune personne en lien avec moi. Je ne suis pas concerné. C’est un événement triste et choquant, bien sûr, mais les morts appartiennent à leurs familles.
Florence Arthaud est celle qui avait pris place dans un monde d’hommes: le monde de la mer. Rien à dire. La mer a été longtemps un monde d’hommes. Mais depuis que la course océane est devenue un spectacle de plaisance par rapport par exemple à la découverte des Amériques, des femmes y font leur place.
J’aime beaucoup Goldman, sa musique, son univers sonore et certains de ses textes. Alors j’ai écouté sa dernière production et regardé le clip. Et j’ai été, disons, surpris. Cette chanson en forme d’hymne, «Toute la vie», destinée aux Enfoirés, ne fait pas l’unanimité.
Connaissez-vous ce parc d’attraction dans le centre de la France? Vulcania est à la fois ludique et intéressant. Creusé dans le sous-sol près de Volvic et du Puy-de-Dôme, il fait découvrir les tréfonds de l’une des plus puissantes forces de notre planète: le feu. Quoi de mieux que la région des volcans d’Auvergne pour cela?
C’est l’histoire d’un homme comblé.
D’un homme à qui tout réussit: vie privée, activité publique.
La vie lui a donné le talent, la réussite, la gloire et l’argent.
Et l’a mystérieusement préservé de tout scandale.
Le concours de nouvelles d'Edilivre, «48 heures pour écrire», est presque terminé. Le thème du concours était: le courage. En deux jours les candidats devaient écrire un texte d'au maximum 10'000 signes (3-4 pages). Deux jours, c'est peu, même pour seulement 10'000 signes. Avec plus de temps et de recul j'aurai modifié certains passages. Mais l'expérience est un bon exercice de style.
Les dix finalistes sont en ligne ici. N'en faisant pas partie je publie ici la courte nouvelle que j'ai écrite pour le concours, intitulée: «La présentation».
Il y a la tempête.
Celle du siècle, disait-on.
Ville bloquée, ville fantôme.
New York, New York!