Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
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Contrôler le langage c’est prendre le pouvoir sur les esprits. En France, des pétroleuses en robe, de Bure, l’ont bien compris et pratiquent l’inclusion façon 1984, par l’inversion du sens: l’inclusion c’est l’exclusion.
Une fake news récurrente est parue dans Le Matin en ligne. Le journal cite Me Lorella Bertani. L’avocate féministe genevoise semble sûre d’elle: « La violence conjugale tue plus de femmes que le tabac, l’alcool et la route ». Vérification.
La télé romande n’a plus de sous pour payer des rédacteurs et rédactrices compétentes. Ils mettent des novices prêts à bien faire. J’en ai découvert un. Un prosélyte zélé qui vient de lire la leçon 0 du cours de genre, celle intitulée: Tiret à gauche, tiret à droite, tiret à vue!
À première vue ce que dit Denis Brognard est plutôt gentil pour les gagnantes. Il souligne avec insistance la présence de deux femmes en tête de la finale. Il y ajoute l’aura du petit qui gagne contre le grand. La légende de David et Golliath sert la victimisation féminine.
Le sujet a déchaîné les justiciers de Twitter. Il s’agit du clip sur le mondial féminin diffusé le 17 juin dans le JT de Jean-Pierre Pernaut. On y voit des joueuses filmées au ralenti, avec gros plans sur les mains qui touchent le ballon. Le commentaire est jugé sexiste.
Certains jours des gamins nous regardent jouer à la pétanque. Deux sont particulièrement intéressés. L’un, environ 12 ans, est passé plusieurs fois. Il m’a demandé s’il pouvait essayer. Je n’étais pas disponible, les équipes commençaient une partie.
J’ai encore creusé ce sondage pendant la nuit et appliqué un autre calcul. Le nouveau résultat que je livre ici laisse pantois. Rapide rappel: avec 244 dénonciations sur les 755 réponses il y a 14,68% de femmes journalistes harcelées en Suisse. On est loin des 50% annoncés en gros titres.
Selon un sondage Tamedia relayé récemment par la presse romande, environ 50 % des journalistes suisses déclarent avoir subi du harcèlement ou une agression sexuelle dans leur cadre professionnel. Les gros titres donnent le ton.
Lu ce matin une chronique du Journal de Montréal signée Richard Martineau. Un esprit impertinent et très pertinent à la fois. Il commente l’action d’éclat de Madame la Maire d’un arrondissement de Montréal, Sue Montgomery.
Un ton dépourvu de manières, des paroles fortes et l’affection de sa fille: c’était Alain Delon à Cannes. Il recevait hier une palme d’or d’honneur, malgré la polémique. Il lui était reproché d’être raciste, homophobe et misogyne.
Les profs vont apprécier. Le quotidien a publié le 4 mai une tribune en soutien au mouvement des gilets jaunes. Il est signé par environ 1’500 artistes français, connus ou non. La tribune se termine par un bouquet final épicène le plus déjanté que l’on puisse lire – si l’on arrive encore à lire.
Les enfants trinquent. C’est Kramer contre Kramer. Ou presque, la différence étant que Sandrine et Valérie sont homosexuelles. Mais les enfants sont identiquement utilisés comme des armes. Ce cas fait beaucoup pour la reconnaissance du mariage gay. Il montre qu’homos ou hétéros, nous pouvons être pareils. Dans le pire en tous les cas.
C’est un petit gars d’une banlieue de l’ancienne ceinture rouge parisienne. La population y est d’origine ouvrière. Elle a plus que doublé dans les années 1960 avec l’immigration africaine. C’est là qu’il a grandi et foulé ses premiers gazons.
Belle, riche et célèbre? Cela ne suffit pas. L’actrice sud-africaine se morfond. Et le dit à qui veut l’entendre ou veut profiter de l’opportunité. Elle, généralement discrète sur son intimité, lance un véritable appel d’offre via les médias.
La firme nippone l’a fait. En pleine frayeur climatique et anti-bagnoles il fallait oser. Cette pub iconoclaste, à contre-courant et provocatrice, joue sur la rupture d’avec les nouveaux codes vertueux et sur le retour du désir.
C’est une tradition récente aux États-Unis. Autour de la St-Valentin un bal est organisé pour les pères et leurs filles. La mère ou des amis sont présents. La dad-daughter dance est considérée parfois comme une initiation personnelle et sociale.
La loi sur la laïcité de l’État, en votation à Genève, n’est pas discriminatoire dans le texte. Elle ne vise pas explicitement les personnes de confession musulmane, sauf sur un point: le visage doit être visible.
Dans ces épisodes de la guerre des sexes, Marie Laguerre s’est fait un nom. On se souvient peut-être de cet incident près d’une terrasse de café à Paris. Elle avait été frappée dans la rue par un inconnu. La scène commence à 0’13’’ sur la vidéo 1. N’hésitez pas à agrandir l’une ou l’autre vidéo ou image selon le besoin.
Des femmes et des hommes expriment leur incompréhension, leur désaccord ou leur colère suite au visionnement du clip de la marque. Parfois aussi leur accord. Je propose un petit florilège de ces réactions.
Des milliers d’hommes ont déjà jeté leur rasoir. Internet bouillonne suite au clip sexiste de la marque Gillette. Un clip carrément méchant, sorte de prolongement de MeToo en vue d’éduquer les mâles vers le Bien.