Une majorité de députés français a voté en faveur du CETA, l’accord de libre échange entre le Canada et l’Union européenne. Pourtant la mondialisation va poser de plus en plus de problèmes. Elle va en sens contraire des efforts environnementaux.
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Une majorité de députés français a voté en faveur du CETA, l’accord de libre échange entre le Canada et l’Union européenne. Pourtant la mondialisation va poser de plus en plus de problèmes. Elle va en sens contraire des efforts environnementaux.
La parité est anti-démocratique. C’est un forçage de la liberté de vote en faveur d’un groupe. Si l’on peut admettre qu’un parlement soit représentatif des régions, dont les besoins diffèrent entre elles, les choix politiques ne sont pas sexués – l’identité sexuée ou de genre devenant un corporatisme.
Le détournement de cette phrase célèbre est dévastateur pour François de Rugy. L’humour est macabre et rappelle sans doutes de mauvais souvenirs à Omar Haddad. Mais il fait mouche et pourrait laisser longtemps son empreinte (carbone) dans le paysage politique français.
Lu sur le site de la télévision suisse romande: une médecin a été acquittée du chef d’accusation de meurtre par aide au suicide. Ce n’est pas tant l’affaire elle-même qui m’intéresse que la féminisation des mots par la RTS.
Le sujet a déchaîné les justiciers de Twitter. Il s’agit du clip sur le mondial féminin diffusé le 17 juin dans le JT de Jean-Pierre Pernaut. On y voit des joueuses filmées au ralenti, avec gros plans sur les mains qui touchent le ballon. Le commentaire est jugé sexiste.
J’ai encore creusé ce sondage pendant la nuit et appliqué un autre calcul. Le nouveau résultat que je livre ici laisse pantois. Rapide rappel: avec 244 dénonciations sur les 755 réponses il y a 14,68% de femmes journalistes harcelées en Suisse. On est loin des 50% annoncés en gros titres.
Selon un sondage Tamedia relayé récemment par la presse romande, environ 50 % des journalistes suisses déclarent avoir subi du harcèlement ou une agression sexuelle dans leur cadre professionnel. Les gros titres donnent le ton.
Cette jeune femme résume tout: « L’an dernier on a soutenu les garçons à fond, maintenant il faut soutenir les filles. » Elle doit avoir 15 ans et s’exprime dans un reportage sur TF1.
Ce livre vient à point pour combler une lacune. On parle beaucoup de sexisme, on le dénonce, avec raison mais aussi avec exagération. Et surtout avec omission: on ne parle presque jamais du deuxième sexisme.
Étrange époque. Les idées présentées comme les plus progressistes aujourd’hui sont éminemment conservatrices – ce qui n'est pas blâmable. C’est le cas de l’écologie qui vise au maintien du statut quo environnemental des années 1950.
En parallèle à la reforestation abordée hier, la capture mécanique du CO2 m’apparaît également comme un traitement d’urgence. La technologie avance rapidement et la valorisation du gaz offre des perspectives économiques.
Lu ce matin une chronique du Journal de Montréal signée Richard Martineau. Un esprit impertinent et très pertinent à la fois. Il commente l’action d’éclat de Madame la Maire d’un arrondissement de Montréal, Sue Montgomery.
Contre toute attente l’Amérique se porte bien et le Donald regagne en popularité. Deux ans du canard orange n’ont pas fait s’écrouler le pays, il n’a pas déclenché de guerre mondiale, et ses adversaires se radicalisent eux-mêmes en tentant de le diaboliser.
Les profs vont apprécier. Le quotidien a publié le 4 mai une tribune en soutien au mouvement des gilets jaunes. Il est signé par environ 1’500 artistes français, connus ou non. La tribune se termine par un bouquet final épicène le plus déjanté que l’on puisse lire – si l’on arrive encore à lire.
Le président français a senti « dans sa chair » ce que vivent les manifestants des Gilets jaunes qui peuplent les ronds-points comme des jonquilles chaque samedi. C’est beau, un président pris d’un élan de compassion mystique.
Les étincelles ont un panache fou dans la chevelure de flammes. Les volutes de fumée grises et orangées se marient si bien au bleu finissant de cette fin d’après-midi. Pourtant sous ces flammes c’est l’Histoire qui brûle. Ou qui revient.
La petite ville néo-zélandaise est plus habituée à trembler sous les séismes que par la main d’un tueur australien. Comment qualifier ce massacre? Des passages de son manifeste indiquent que l’homme est surarmé idéologiquement. C’est un acte de guerre.
Le chiffre est choquant. Pourtant il émane des services de l’État. Comment est-ce possible? 43 % de victimes masculines dans les années 2000, et 51% en Écosse à la même période? Le stéréotype veut que les hommes ne se plaignent pas, et ils sont de toutes façons plus forts (en moyenne).
C’est une tradition récente aux États-Unis. Autour de la St-Valentin un bal est organisé pour les pères et leurs filles. La mère ou des amis sont présents. La dad-daughter dance est considérée parfois comme une initiation personnelle et sociale.
La loi sur la laïcité de l’État, en votation à Genève, n’est pas discriminatoire dans le texte. Elle ne vise pas explicitement les personnes de confession musulmane, sauf sur un point: le visage doit être visible.