Si le Donald n’est pas réélu, qu’est-ce qu’on va s’ennuyer! Joe Biden, le spectre, serait plus intéressant en star invitée dans un épisode de Walking Dead.
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Si le Donald n’est pas réélu, qu’est-ce qu’on va s’ennuyer! Joe Biden, le spectre, serait plus intéressant en star invitée dans un épisode de Walking Dead.
Il y a les bons noirs. les vrais. Et les autres. Skeleton Joe, le candidat pâle, connaît la différence. Il explique même à un noir ce qu’est être noir: c’est voter pour lui.
Gérald Darmanin est la cible d’un féminisme en pleine dérive dangereuse et antisociale: accusations sans preuve, harcèlement médiatique, manifestations-commandos de rue, jugements hâtif pour raisons idéologiques, diffamation.
Bien qu’en désaccord sur l’idée même de cette écriture dite inclusive j’ai tenté de dépasser ma légitime résistance. Depuis quelques temps je lis tout texte, politique ou non, sans savoir s’il contient cette forme. Histoire de tester la forme dans la pratique.
Seule la victoire est belle. Benoît « Grande-Oreilles » Hamon, candidat du PS à la présidence, est éliminé sans ménagements. Sa ligne pointant vers la gauche dure et son charisme d’asperge l’avaient placé sous les 7% de voix le 23 avril. Une débâcle historique.
Deux votants sur trois: le résultat est tranché. En chiffres du moins. En adhésion à son programme c’est une autre affaire. Najat Vallaud Belkacem avait mis de beaux habits colorés pour la télé. Elle félicitait le jeune Emmanuel.
Fin de campagne. En attendant de voir le jeune Ken Emmanuel organiser sa disco du triomphe sur l’esplanade du Louvre, je livre mon choix définitif. Non, je ne vote pas en France, mais si c’était le cas…
C’était sur le plateau de L’émission politique Spéciale présidentielle, hier soir jeudi 4 mai sur France 2. Plusieurs personnalités connues ou moins connues s’exprimaient sur le thème de l’identité nationale.
La peur, la haine et le rejet extrêmement violent contre Marine Le Pen m’apparaissent comme stupéfiants, dans les deux sens du terme. Cet orgasme émotionnel agit comme un opium ou une drogue euphorisante par lesquels toute réflexion nuancée et personnelle est balayée ou annihilée.
On le disait déprimé. Trop atteint par sa défaite. Pétri d’une amertume indicible. On se demandait par où il allait resurgir, et si même il allait resurgir. Le revoilou, pimpant comme un diable à ressort qui ressort de sa boîte.
J’aime les paradoxes. Ils ouvrent une porte sur la complexité du monde. Là je suis servi: Macron, sorte de Magic Ken porté par sa Barbie, libéral pur jus, arrive en tête du premier tour en bonne partie grâce aux voix de gauche. Une gauche pourtant très remontée contre le libéralisme.
Jean-Luc parle de bonheur et de France heureuse. Marine dans ses trémolos porte tout le malheur du monde. Si j’étais français ce ne serait ni l’un ni l’autre. Les deux sont trop étatistes et leurs bouches sont prêtes à mordre.
Il ne peut s’en empêcher. C’est plus fort que lui. C’est son argument ultime. Son Arme fatale à lui. De quoi banaliser Nicolas Sarkozy et son Pov’ con, expression que le candidat du parti de gauche avait renvoyée à son auteur lors d’une manifestation (image 1).
Instantanés de quelques candidats. Grands ou petits, en taille, en idées, peu importe. Ils sont égaux devant l’électorat, ils ont franchi les mêmes étapes constitutionnelles. Commençons par celui qui a fait le buzz hier: NDA.
En analysant les programmes des candidats, un Sherlock Holmes de la politique pourrait se demander comment cette idée saugrenue est venue aux français. « Abracadabrantesque, mon cher Watson », s’exclamerait-il, perplexe.
Entre 35’000 et 200’000 manifestants, selon les sources, ont soutenu François Fillon au Trocadéro. Je ne suis pas impressionné. 500’000 personnes au moins auraient donné un caractère de plébiscite. Cependant le résultat d’hier n’est pas négligeable.
« Je ne me défilerai pas » dit Alain Juppé. Il se présente comme un recours après avoir décliné cette hypothèse il y a un mois. Et ce alors qu’un sondage inattendu place François Fillon en deuxième position, légèrement devant l’Emmanuel.
Hier je suggérais que quelqu’un tirait les ficelles dans l’affaire qui touche François Fillon. Les circonstances de l’action judiciaire me paraissent ouvrir la voie à un doute raisonnable. Pourtant je n’en sais rien, bien évidemment. Ce n’est qu’une supposition, une conjecture.
L’Emmanuel voit sa cote d’amour grimper. Il est devenu la personnalité politique préférée des français. Au point d’inquiéter le parti socialiste: selon Le Parisien, la primaire pourrait sonner le glas de la présence socialiste lors de l’élection présidentielle même au premier tour.
Hillary Clinton a déclaré que Donald Trump était une menace pour la démocratie. Mais n’est-ce pas plutôt l’instauration de dynasties politiques qui la menace? Ou l’attaque de drones sur les combattants d’Al Qaïda, attaque contraire au droit international?