Copenhague, Londres et Cambridge: trois universités traquaient son origine. Ils l’ont trouvée dans la culture natoufienne, à Shubayqa, sur le territoire du Levant.
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Copenhague, Londres et Cambridge: trois universités traquaient son origine. Ils l’ont trouvée dans la culture natoufienne, à Shubayqa, sur le territoire du Levant.
Aujourd’hui le héros de ma belle histoire est exceptionnel. Il n’est ni une personne, ni un animal, ni un objet. Si vous parlez le créole, vous avez peut-être déjà deviné. « Fwomajé » est le nom créole d’un arbre.
J’ai découvert par hasard le docu Tombée du ciel, sur la RTS 2 mardi dernier. Je suis resté scotché. Il s’agit d’un film de 43 minute sur un groupe de fous merveilleux, dont l’un dit que la principale qualité du highliner est: « Ne pense pas, fais-le! »
C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.
« L’expérience est saisissante. La joie de tout instant de beauté est décuplée par l’hypothèse que l’on pourrait n’en plus connaître de pareille. Sensation inouïe, bonheur immense. S’ouvrir à la joie et narguer la fatalité est une immense victoire. Je vous l’assure. »
En décembre dernier, le Faucon Pèlerin japonais larguait sur Terre plus d’un gramme de matière capturée dans le ciel. Capturée assez loin: sur l’astéroïde Ryugu à 440 millions de kilomètres.
J’avoue ne pas être original pour ce billet. Il y a longtemps que je voulais en parler et le film diffusé sur France 3 ce lundi de Pâques m’a motivé. Aujourd’hui c’est donc une histoire connue : celle de Joseph Ferdinand.
L’exploit est extraordinaire et mérite que l’on s’y arrête. On célèbre ces jours la première traversée médiane des Andes en avion. C’était il y a 100 ans, le 1er avril 1921, au point le plus haut de la chaîne montagneuse. « La Cordillère des Andes, une barrière rocheuse de 8 000 km de long, culmine à cet endroit à près de 7 000 m. Seule planche de salut : le col de Las Cuevas, à 4 200 m «seulement». »
Je continue avec ce focus sur l’actualité. C’est aussi une belle histoire, l’histoire d’une réussite à plusieurs niveaux. Elle montre, pardonnez-moi ce jeu de mot incertain, que la persévérance est parfois récompensée.
Je viens aujourd’hui sur une histoire plus médiatique, moins intimiste que les précédentes. Celle-ci a fait le tour du monde. Une histoire qui a fait rêver et a réuni des scientifiques à la fois très sérieux et délicieusement fous, et des millions de profanes aux yeux grands ouverts.
Deux belles histoires en une: je vous invite cette fois dans un univers peu connu, celui des éleveurs d’oiseaux. L’histoire d’Alan, résumée, commence dans son enfance quand il s’occupe avec passion de petits animaux de compagnie.
Pourquoi parle-t-on de castagne lors d’une bagarre? Ce mot est emprunté à un dialecte méridional – probablement le gascon selon le cnrtl.fr, ou est d’origine occitane selon Wikitionnaire (castanha). Ou simplement repris de l’italien castagne. Il désigne en vrai tout autre chose que la bagarre.
Aujourd’hui je jette l’ancre – et l’encre – de ma rubrique du côté du Massif central. Précisément à 45 kilomètres à l’ouest du Puy-en-Velay, à Saugues, dans une campagne plutôt pauvre.
Aujourd’hui je mets en avant un couple. Un de ces couples de fous merveilleux, engagés corps et âme dans une passion commune: grimper les murs. Un duo des cimes qui arpente les pistes verticales depuis 20 ans.
Un tracteur rouge ronronne entre les champs de lavande. Au volant, Fabien. Il traverse la vallée sous le soleil des Baronnies en Drôme provençale. On n’est pas loin de l’Ennuyé. L’Ennuyé, c’est la rivière qui donne son nom à cette vallée.