Dans la récente émission de Temps Présent « Guerre des sexes au chalet » on assiste à un moment qu’après-coup je trouve étrange. Le réalisateur a choisi de présenter quelques séquences d’anciens films où l’on voit des scènes de séduction.
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Dans la récente émission de Temps Présent « Guerre des sexes au chalet » on assiste à un moment qu’après-coup je trouve étrange. Le réalisateur a choisi de présenter quelques séquences d’anciens films où l’on voit des scènes de séduction.
La firme Mattel, qui produit les Barbies, annonce qu’elle va participer pendant plusieurs années à une recherche sur la représentation des femmes et sur les stéréotypes sexistes. Par conviction? Par peur des pressions? Ou pour un coup de pub?
Que valent-ils à 18 ans sur le marché sexuel? Et qu’ont-il dans la tête, ces superbes jeunes maîtres du monde (paraît-il), quand ils manquent de confiance en eux et sont confrontés aux filles sur le dancefloor? Combien passent le rideau de feu qui consiste à oser exposer ses désirs à une fille, à la courtiser?
La journaliste qui avait lancé l’expression et hashtag #balancetonporc, Sandra Muller, est aujourd’hui l’objet d’une plainte pénale pour diffamation. De victime elle devient bourreau. En voulant donner l’exemple elle semble en avoir trop fait.
Dysphorie de genre: c’est le terme médical qui définit le sentiment de n’être pas dans le bon corps et d’en vouloir changer. Bien que ce problème soit présenté comme une forme de normalité, dans laquelle il y aurait ni maladie ni asocialité, la définition même comporte un volet pathologique.
En principe, à la naissance, un bébé est fille ou garçon. Le sexe d’un humain est déterminé biologiquement dès la fécondation. Au début pénis ou vagin viennent de la même origine. Leur construction anatomique se passe au quatrième mois de gestation en fonction de certaines hormones.
La révolution culturelle qui a suivi mai 68 a fait prévaloir certains concepts relevant davantage des facultés que l’on nomme aujourd’hui féminines. Par exemple dans l’éducation, la prévalence était à la liberté plus qu’à la discipline et à la sanction. Dans la justice, on a mis en avant les humiliations subies dans leur enfance par des criminels parfois plus que leurs crimes et leur propre responsabilité. On est dans le soin, la thérapie, le «care», le maternant, pas dans la sanction.
Le Daily Mail rapporte l’information: un couple de lesbiennes de Californie a décidé de faire changer de sexe à son garçon adoptif de 11 ans. Thomas, qui se fait désormais appeler Tammy, prend un traitement d’hormones depuis l’âge de 8 ans pour retarder sa puberté et le préparer à l’opération chirurgicale.
Par sélectif il faut entendre ici la sélection du sexe de l’enfant. Certaines cliniques anglaises acceptent de pratiquer l’avortement à la demande de parents qui ne veulent pas de fille ou pas de garçon.
Les différences entre hommes et femmes reposent-elles vraiment sur l’idée que l’on s’en fait? Ne sont-elles que culturelles? N’y a-t-il rien d’essentiel, ou de naturel et biologique, ou d’archétypal dans ces différences? Dans un précédent billet je citais une étude récente qui montre que le cerveau des adolescents se spécialise différemment selon qu’on est fille ou garçon, sous l’influence d’hormones.
- Mesdames et Messieurs bonjour, ici Téléblog. Nous venons de recevoir un document unique, exceptionnel, que nous portons à votre connaissance séance tenante voire même illico presto.