Hier un ami me demandait pourquoi, dans mon dernier billet, donner tant d’importance à un fait anecdotique, soit à cette touriste australienne empêchée d’allaiter en plein air à Disneyland.
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Hier un ami me demandait pourquoi, dans mon dernier billet, donner tant d’importance à un fait anecdotique, soit à cette touriste australienne empêchée d’allaiter en plein air à Disneyland.
Qui sont ces étrangers religieux qui soufflent comme des bêtes sur Marne-la-Vallée? Qui s’offusquent dès qu’un téton de femme est visible? Des Sikhs? Des Muslims? Des Shintoïstes? Des Hindouistes? Des Cathos?
Est.ce le réchauffement, donc supposément le CO2? Au Canada le village de Lytton B.C. a été rayé de la carte. Détruit à 90% par le feu: après le record de chaleur de près de 50° il y a quelques jours, des incendies ont éclaté.
Renvoi particulier puisqu’il s’agit de détourner une image et de lui faire dire autre chose sur le même thème. L’image 1 est une publicité pour le No d’urgence 147, avec un visage de femme en gros plan (clic pour agrandir).
J’aurais aimé écrire ce titre en deux mots: Sommer time. Le temps de Sommer, gardien de l’équipe de Suisse. Le temps d’un été de fête. Mais cela ne sera pas.
Pendant que les Suisses digèrent leurs émotions après la victoire de la Nati contre les Bleus, les forçats du bitume ont entrepris leur longue procession annuelle sur les routes de France.
C’est peut-être tôt pour en faire une belle histoire: il reste trois étapes avant le Graal européen. Mais l’émotion collective qui a saisi tant de Suisses jusque dans les quartiers de banlieue est belle à voir et entendre.
Disney vous a menti deux fois. Premièrement la Princesse n’est pas embrassée dans son long sommeil. Le film d’animation présente une scène modifiée par rapport au conte, sans doute pour embellir la story et faire pleurnicher dans les chaumières.
Les provocations genrées battent leur plein. On apprend par exemple que l’actrice noire Lashana Lynch interprétera le prochain agent au matricule 007. Elle remplacera Bond, James Bond, parti à la retraite.
Qu’en terme choisis cela est dit. La grossophobie s’étale hors de la bouche de la délicate, la délicieuse, la tendre Valérie. Elle n’a pas encore digéré sa disgrâce. C’est très anecdotique mais bien dans l’air du temps.
Aujourd’hui encore la majorité des gens ne croient pas à la réalité des hommes battus. C’est impossible à leurs yeux. Il n’y en a que pour les femmes: attention, médiatisation, financements pharamineux, culture victimaire valorisante, et rien pour les hommes. C’est presque gênant d’en parler.
Arte diffusait hier Coming Out. Ce documentaire réalisé par Denis Parrot est constitué de séquences vidéos reprises d’internet où des filles et des garçons annoncent leur homosexualité.
La tempête Xynthia de 2010 n’était pas la plus forte connue localement. Historiens et météorologues en conviennent. Mais elle a été présentée comme un effet du réchauffement du climat, selon la logique du CO2.
On lui a aussi attribué un autre surnom: le bulldozer. Elle fait partie de ces êtres qui ont quelque chose de plus, quelque chose qui les porte et les pousse vers des accomplissements inattendus.
Jour de votations ce dimanche, donc jour majeur de la démocratie suisse. Les résultats tombent. Satisfait ou déçu, chacun construit sa position, raconte sa story, pourquoi il a gagné ou perdu. Les gagnants d’abord, qui sont gonflés d’une légitime satisfaction.
On se souvient que la politique migratoire de Trump avait été très attaquée par les démocrates et les humanistes d’occasion. Le Donald avait été traité de manière infamante.
L’appel est clair, entre supplique et ordre. Le ton est plus modéré que celui de Donald Trump mais l’objectif est le même: tarir l’immigration illégale de masse venant du sud. C’est aussi la ligne de Joe Biden.
Qu’aurais-je fait à sa place? Mon envie, comme ça, serait de mettre un pain en pleine figure de celui qui m’a giflé. Mais ça ne se fait pas, surtout pour un président. D’ailleurs la sécurité ne m’en aurait pas laissé le temps.
La culture de l’exclusion contamine les universitaires aux USA. Le scénario est rodé. Cette fois c’est à l’Université de Georgetown, un quartier de Washington. Précédemment c’était à l’Université d’Evergreen.
Le cas de Lisa Keogh dont je parlais il y a deux jours n’est pas unique. Aux USA et au Canada de plus en plus de professeurs et d’étudiants sont ostracisés et parfois poussés au départ sous la pression des « progressistes ».