On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
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On ne naît pas homosexuel, on le devient. C’est le thème d’une manifestation qui se déroule à Paris. L’objectif est annoncé: théoriser pourquoi et comment quitter l’univers homo.
Trump, un chien? La charge est inouïe. L’acteur Robert de Niro s’est est pris au candidat lors d’une attaque verbale d’une violence rare. Au menu: insultes et menaces d’agression physique.
Le nombre de personnes abattues par la police aux États-Unis lors d’arrestations mouvementées, était d’environ 1’000 en 2015. Près de la moitié sont des natives americans, des américains de souche, blancs non hispaniques (image 1, cliquer pour agrandir).
Je poste ici cette affiche éditée par le gouvernement français sous la tutelle de Nadine Morano. Elle devrait figurer dans toutes les écoles comme exemple d’une posture des plus honteuses du gouvernement français en matière d’égalité des sexes.
Cette fois c’est Christiane Taubira, Ministre française de la Justice, personne sectaire, clanique et clivante, que l’on découvre faisant l’apologie de la race. Nadine Morano n'a rien inventé. Mais elle est attaquée, pas les autres. Deux poids deux mesures?
Cette campagne si sympa, si fraternelle en apparence, si jolie et successfull, fut en réalité une tromperie. Mais qui pouvait le dire à l’époque? Toute critique aurait été stigmatisée et qualifiée de raciste. Le débat était étouffé et la réciprocité inexistante.
Vous me direz: comment est-ce possible? Elle est née en 1963! Oui, oui, en 1963. Mais je maintiens en précisant: ses propos ont été condamnés en 1950. Pas par Nicolas Sarkozy et Les Républicains mais par l’Unesco. Précisément le 18 juillet 1950.
Imaginons: nous sommes un groupe de copains qui jouent au foot dans un parc. Nous avons posé nos marques de but. Un autre groupe vient alors sur l’espace que nous occupons. Que se passe-t-il? Cela grince. C’est comme ça, à l’échelle d’un pays comme d’un groupe de copains. Est-ce du racisme?
La polémique Morano justifie-t-elle le déchaînement qui a suivi et son ampleur? Je dirais deux fois non, une fois oui. Non, Nadine Morano ne mérite ni cet excès d’honneurs médiatiques ni cette indignité morale et ce lynchage idéologique. Elle est une amuseuse. Elle aime le fun et la lumière. Elle ne produit pas une pensée susceptible d’entraîner un mouvement d’opinion. C’est une ombre dans la nuit intellectuelle française. Si l’on crie autant pour une ombre il ne restera plus de voix quand le loup viendra pour de bon. La vie politique française me paraît décomposée intellectuellement et du point de vue éthique. Il n’y a plus rien, ou presque. On ne doit rien attendre du vide, sinon quelques cabrioles d’alouettes.
Le mot race crispe donc en France. Il est associé à la Shoah, l’esclavage, le colonialisme. Il est chargé de douleur, et la peur de certains antiracistes se comprend. Dans le même mouvement les deux guerres mondiales ont déclenché le rejet de l’homme mâle, associé à l’image toute puissante de l’homme nouveau nazi. 1er volet ici.
Nadine Morano fait le buzz avec sa sortie sur la « France, pays de race blanche ». Elle a repris, dit-elle, une citation faite en privé par De Gaulle et relatée à l’époque par Alain Peyrefitte. Citation qui n’en n’avait pas fait bouger l’une ni battre l’autre dans la France testiculaire d’alors. Aujourd’hui on guillotine: Nadine perd la tête… de liste aux régionales.
La Suisse veut donc ratifier le protocole d’Istanbul sur la violence faite aux femmes, suivant en cela les lobbies ultra féministes. Cette convention «sur la prévention et la lutte contre la violence à l'égard des femmes et la violence domestique est la première à prévoir, au niveau international, une protection des femmes contre toutes les formes de violence, y compris les violences domestiques.»